Connaissances [PV: Takahashi Akio ]

Invité

Il fit le tour des lieux et finit par se laissé tombé sur un lit qui semblait libre. Deux armoire étaient pleine et donc il avait choisi un lit près d'une armoire vide. Il resta allongé sur le lit un instant.

- Les lieux te plaisent?

Il se releva et s'assit en tailleur. Il retiran sa veste tout en jetant un oeil à se qui l'entouré. C'était assez grand, le lit avait l'air confortable, lumineux, et bref, Reita n'était pas quelqu'un de bien compliqué, cette chambre lui allait, même si il n'était pas habitué à la vie en colocation, et surtout pas avec des hommes. Rapellons que jusqu'ici, il avait été entouré de femmes: Mère, soeur et grand-mère.

- A part les couleurs affreuses, c'est grand et le lit est confortable, c'est le principal.

Le décoloré marqua une pause ressortant son portable de la poche, le rallumant et le posant sur la table de chevet. Il ne regarda ni les messages ni les appels en absence, sachant très bien de qui tout ca venait. Il glissa ses mains derrière sa nuque près à défaire son bandeau et se souvenut qu'il y avait encore le blond dans la pièce. Il fit comme c'il remettaire ses cheveux en place et ressera le tissu qui recouvrait une cicatrice qu'il trouvait affreuse. Le bandé se releva ensuite du lit ouvrant sa valise, pour une fois il l'avait plutôt bien fait.

- Et toi ta chambre ? Est-elle de si bon gout que celle-la ?

Honnetement il en doutait. Elles devaient toute être identique non ? C'était souvent le cas dans les internat, mais le peu de partie du mur derrière le lit de Reita allait vite changer. Il en referait la déco avec des posters et dessins, et irait chercher sa basse le week-end d'après rejoutant une touche personelle à sa partie de chambre.

- Et toi ta chambre ? Est-elle de si bon gout que celle-la ?

Ironie? Sa chambre était pareil sauf que dans la sienne il y avait minimum une fille, ce qui la rendait moins bien. Enfin peut-être que dans cette chambre aussi il y avait une fille, le blond regarda brièvement les armoires pleine : apparemment il allait partager sa chambre avec deux hommes, déjà. Akio toisa un instant le blond allongé sur son lit du regard, peut-être appréciait-il le présence de femme. Après tout ils n'étaient pas tou comme lui. Il n'avait rien contre les femmes en général mais elles ne lui inspiraient guère confiance. Les femmes sont des êtres manipulateurs c'est bien connu.

-La mienne est la même. En inversée.

Logique en un sens, puisqu'elle était du côté opposé du "mini"-hall. C'était grand... oui c'était grand mais c'était moche.
En tant qu'école friquée ils auraient pu faire un effort pour diversifier un peu les salles, au bout d'un moment ça allait être blasant.
De toute façon Akio avait la ferme intention de relooker un peu la sienne, avec l'accord de la peste ou non.

Un grand blanc c'était encore installé entre les deux hommes, Akio était comme qui dirait gêné. Ça ne lui arrivait que rarement mais avec un blanc comme ça dans une pièce vide avec une personne qu'il ne connaissait pas plus que l'école, si ça le gênait.
Il soupira légèrement pour meubler un peu le silence et fit un bouille de gamin en regardant un peu partout.

Invité

- La mienne est la même. En inversée.

Un silence s'installa à nouveau, sa devenait presque une habitude entre les deux garçons.
Il fallait trouver un sujet de discution avant qu'ils ne meurent d'ennuis, mais pourquoi tenait-il tant à tenir la discussion avec sa nouvelle connaissance ? Bonne question, mais il fallait qu'il est de l'entourage même si ca s'avéré n'être qu'une seule personne. Il soupira en oeuyr avec le blond ce qui le surpris. Puis le décoloré posa son regard sur lui, il affichait une bouille enfantine en regardant les divers coin de la pièce.

- T'es en quelle année ? Quelle matière ?

Lui resta assis sur son lit, il devait pout-être lui proposer de venir s'asseoir non ? Quoi que sa aurait parut un peu...plein de sous-entendus, mais Reita n'était pas vraiment comme ca. Il tapota donc sur le lit, lui faisant signe de venir tout en lmançant.

- Reste pas debout comme ca.

Il avait une voix plus poser et plus calme. Lui c'était appuyé contre le mur fixant le garçon puis détournant son regard sur la fenêtre. Il s'étira et attendit une réponse d'Akio.

- T'es en quelle année ? Quelle matière ?

Akio sursauta légèrement à l'entente de la voix de son vis-à-vis, il s'était habitué au silence qui régnait entre eux depuis quelques minutes.
Avant que le mannequin ai eu le temps de dire quoi que ce soit Reita lui dit de venir s'assoir en tapotant légèrement sur le lit.
Uruha aussi un sourcil et le remercia doucement avant de s'assoir à côté de lui. Il était vraiment sympa ce Reita. Et bizarrement Uruha avait envie de le connaitre un peu mieux. Pourtant ça ne lui ressemblait pas. Il n'avait jamais ressenti l'envie de connaitre vraiment quelque hors mis Kioshi.

-Je suis en deuxième année, en section musique puisque c'est une des rares choses qui m'intéresse.

Sa guitare était l'objet auquel il tenait le plus. Il avait commencer alors qu'il avait six ou sept ans et il ne s'est jamais arrêté depuis.
Lorsqu'il jouait il avait l'impression de s'évader d'être seul sur terre. C'était une sensation très agréable.

Akio regarda son vis-à-vis en inclinant légèrement la tête sur le côté. Et lui dans quelle section pouvait-il bien être? Arts? Sport? Ou alors musique lui aussi. Uruha regarda une nouvelle fois la pièce comme à la recherche de quelque chose. Il n'y avait aucune partition, aucun instrument, rien.
S'il était musicien c'était assez étrange, comment abandonné son instrument en venant à l'internat? Cela dit faire de la musique peut être aussi imposé.

-Et toi?

Invité

Akio vint donc s'asseois sur le li à côté de Reita. Il le remercia aussi avant de répondre à sa questions.

- Je suis en deuxième année, en section musique puisque c'est une des rares choses qui m'intéresse.

Oh musique lui aussi ? Le hasard faisait bien les choses, tous deux en seconde année et en musique. Reita se demandait se qu'il pouvait bien pratiquait alors il posa d'abord ses yeux sur les mains du blond, il avait de longs doigts fins, ses mains ne semblait pas trop abimer mais on y voyait quelques marques au bout des doigts. Ses bras ? Fin, sans doute musclé, peut-etre batteur ? Ou peut-être jouait-il d'un instrument plus classique... Il n'en savait rien.

- Et toi?

- En seconde année et en musique aussi...J'ai préféré laissé ma basse en sureté pour le premier jour, j'irais la chercher ce soir ou ce week end.

Et puis il n'avait pas envie d'arrivé avec tout son matos, basse emplie sac et compagnie. Sa cher et tendre basse, cela faisait un peu plus de dix ans qu'il en faisait, il avait commencer par de la guitare à 8 ans puis c'était mi à la basse deux ans après. Il aimait ce son grave qui s'accordait avec la batterie. Il ne savait pas si il devait placer la musique avant ou après ses bastons...Les deux étaient un moyen de se défoule,r de se détendre...

- Et toi, tu fais quoi ? Tu chante, Tu jou ?

- Et toi, tu fais quoi ? Tu chante, Tu jou ?

Le pauvre... S'il savait ce que ça faisait d'entendre Uruha chanter il ne proposera certainement pas cette option. Dans la musique c'était le domaine où le mannequin excellait le moins. C'était son point faible. C'est pourquoi lorsqu'il y avait une sorte de karaoké collectif, Akio trouvait toujours des excuses pour ne pas y aller. Il suffisait qu'il n'y aille pas doucement sur la boisson et il saisissait le micro tel un affamé devant un plat de spaghetti bolognaise et se mettait à chanter tout son répertoire musical, en passant par les plus horribles chansons jamais inventées sur terre. C'était donc par respect pour les autres qu'il ne s'y présentait pas. Qu'on aille dire qu'il était égoïste.

-Je fais de la guitare, j'aime bien composé aussi.

Il se dit qu'il était préférable de ne pas préciser que c'était une catastrophe au chant, autant gardé cette tare sécrète. Ça le fait pas trop de chanter aussi mal, c'est une honte qui ne doit pas être dévoilé. Il espérait que personne ici ne le verrai aussi mal en point un jour.

Donc sa nouvelle connaissance faisait de la basse? Intéressant. Le regard du guitariste s'attarda sur les bras et les mains de Reita. Oui effectivement ça y ressemblait. Akio lui avait pris le risque de prendre sa guitare, il n'avait guère confiance en les gens qui nettoyait régulièrement sa maison, aussi vide soit elle. Ils avaient tous des têtes louches de gens à la recherche du parfait trésor. Sa guitare avait coûtée une fortune et, de plus, c'était un cadeau du seul homme qu'il avait réellement aimé. Il n'allait pas l'abandonnée, il y tenait tellement.

Invité

-Je fais de la guitare, j'aime bien composé aussi.

De la guitare donc ? Reita lui c'état énormement attaché à ce son lourd et grave qu'était celui de sa basse et ne sachant pas avec qui il allait tomber dans les chambre il préféré la garder en sécurité. Sa basse était l'objet à qui il tenait le plus au monde. Après avoir échanger ces quelques mots avec le blond il savait qu'ils allaient surement bien s'entendre, apparement ils semblaient partager une passion pour la musique, semblaient surpassé leur côté désagréable et s'interréssaient l'un à l'autre.

- J'aimerais bien t'entendre jouait un de ces quatres

Il ferma les yeux un instant, completement appuyé contre le mur, c'était presque si il s'endormait sur place. Fallait vraiment qu'il bouge ou qu'il se dépense...qu'il tape sur quelque chose ? Non quand même...Il n'allait pas frappé le pauvre Akio qui était plutôt simpa et qui n'avait rien demander. Pourquoi un de ses habituels rival ne voulait pas pointé le bout de son nez. Il soupira.

Reita plongea une fois de plus son regard dans celui de sa nouvelle connaissance. Il avait les yeux plus maquillé qu'il ne le pensait, sa peau avait l'air bien lisse et de teins clair se mariant parfaitement avec sa couleur de cheveux. Il se surprenait lui même à s'intéréssait tant à son physique. Mais il se demander si il ne l'avait pas vu plus qu'une fois.

- J'aimerais bien t'entendre jouait un de ces quatres

Akio lui fit un sourire sincère, pour une fois que cela lui arrivait. Au moins il avaient une passion en commun peut-être s'entendraient-ils bien par la suite? Malgré le début difficile de leur conversation il avait l'air très sympathique ce blondinet.

-Ouais moi aussi j'aimerai bien t'entendre.

Et voilà le petit Akio sociable à souhait n_n. La musique rapproche les âmes non? Uruha remarqua le regard de son vis-à-vis sur lui mais ne dit rien et ne fit rien comme s'il n'avait rien vu. Peut-être était-il en train de le reconnaitre? Lui, vêtu d'une tenue en cuire moulante, avec des portes-jarretelles laissant apercevoir ses cuisses blanches. Lui adossé contre un mur d'une ruelle, fumant une cigarette attendant que son prochain client se présente.
C'était dans ces moments là où Akio avait honte, lorsqu'il était à deux doigts de se faire découvrir. Par un homme non loin de sa chambre qui plus est.
Pourquoi n'avait-il pas été plus méfiant? Mais en même temps comment aurait-il pût l'être? S'il se cachait, avec son "passe temps" il n'était pas près de trouver quelqu'un avec qui passer la nuit. S'il faisait toujours cette chose dégradante pour lui-même c'était parce que c'était lui qui l'avait trainer là dedans, il considérai ça comme un "souvenir". Honteux.

-Et...Tu joues depuis longtemps?

Un autre sourire. Pour ne rien laisser paraitre de son inquiétude quand à son secret. S'il savait qu'il se prostituait il allait pas conséquent voir qu'il est gay. Et donc il pourrait parler et ce serai la fin de sa carrière de mannequin. Pourtant il était gentil..peut-être ne représentait pas une menace?

Invité

De moins en moins silencieux, ils se détendaient. Mais une gêne semblait régnait entre eux, les poussant à rester plutôt discret est pas trop bavard...du moins pour le moment. Ils s'observaient, se posaient des questions, y répondaient, sans jamais trop développer.

-Ouais moi aussi j'aimerai bien t'entendre.

Un pas de plus dans leur relation qui avait l'air d'avancé à pas trèèèès lent. Mais bon, après tout il fallait un début à tout, mais se qui pourrait être l'amitié de deux associables né. Reita cessa d'observer le blond car celui-ci aller le prendre pour un matteur, ce qu'il n'était vraiment pas. Il cessa aussi de se tourmenté avec ses questions de sa première "rencontre" avec Akio, à Shimbashi... Il faudrait qu'il y retourne pour en apprendre plus, peut-être que quelques personnes le connaissaient.

-Et...Tu joues depuis longtemps?

En temps exact, à la basse cela faisait onze ans, mais il avait vraiment démarrer la musique à 7 ans. Ce sujet les emporté dans un jeu de questions réponses plutôt amusant.

- J'ai commencer à faire de la guitare à 7 ans, et à dix je me suis mi à la basse, cela fait donc pas mal de temps quand même.

Il lui adressa un sourire amical, plus large et détendus. Il aimait pouvoir parler de ca avec quelqu'un comme lui. Reita était sur qu'ils allaient bien s'entendre à présent, et sinon, il l'espérait.

- Et toi ?

[ HS: on pardone ce post merdique mais il est 1h20 et je suis cfrevé =_= ]

- J'ai commencer à faire de la guitare à 7 ans, et à dix je me suis mi à la basse, cela fait donc pas mal de temps quand même.

Oh, donc il avait lui aussi joué de la guitare à une époque de sa vie. Même si Akio n'allait sans doute pas l'avouer de si tôt, il appréciait sa nouvelle rencontre. Quelle chance d'être tombé sur un charmant jeune homme lui aussi musicien. Peut-être était-ce là une chance de se faire une nouvelle fréquentation. Bien qu'il était réellement difficile d'obtenir la confiance du blond. Il se méfiait des autres comme de la peste.
Mais ce Reita avait l'air plutôt intéressant alors, à défaut de lui faire confiance, il peut toujours sympathiser. Après tout ça n'engage à rien.

- Et toi ?

Un petit blanc s'installa entre eux lorsque la voix du jeune homme au noze-band s'arrêta. Akio regarda le vide tout en réfléchissant. Sur ce point sa mémoire lui faisait toujours défaut. Il n'arrivait jamais vraiment à dire s'il avait commencer à l'âge de six ou de sept ans, problématique. Ce problème l'avait toujours révolté contre lui-même, comment oublier l'âge exacte où il a découvert sa passion? C'était insensé.

-Quand j'ai commencé j'avais...six ou sept ans. Je n'arrive jamais à m'en souvenir exactement, pourtant dieu sait à quel point ça m'énerve.

Uruha tenta un petit sourire enfantin. C'était honteux d'oublier une chose pareil. Alors que le blanc s'était, une fois de plus, interposé entre eux le mannequin cherchait une nouvelle question à poser à Reita. Histoire qu'ils se connaissent mieux. Le blond supprima toute question en rapport avec les relations amoureuse, déjà pour éviter les sous-entendus et ensuite pour ne pas s'attirer lui même sur un terrain miné.

-Et sinon, tu as un job?

Aïe ça aussi ça pouvait être risqué...

Invité

Un autre blanc, habituel quoi la routine presque. Il semblait réfléchir, ne se souvenait-il pas de quand il avait commencer ?

- Quand j'ai commencé j'avais...six ou sept ans. Je n'arrive jamais à m'en souvenir exactement, pourtant dieu sait à quel point ça m'énerve.

Il sourit plutôt amusé, ce n'était pas bien grave, il avait une idée, il hésiter juste pour un ans de plus ou de moins, non ce n'était pas grand chose. Petit silence, chacun de son côté cherche quelque chose, à nouveau...un sujet qui les fairais bien parler...se connaître un peu plus. Reita s'étira et reposa son regard sur Akio. Il allait parler, un autre sujet de discution donc...

-Et sinon, tu as un job?

Un job...bah après tout il est payé, en quelque sorte, pour cassé la guele des gens...pas vraiment un métier, mais bon il n'allait pas non plus le lui dire. Il avait lancer un "je..." suivit d'un gros blanc. Comment allait-il pouvoir se justifier maintenant ? Il se mordit la lèvre inférieur, tentant de passé inaperçu, puis soupira pour continué.

- Comme tu dois t'en doutait, pour m'être retrouvé ici, je dispose d'assez d'argent pour ne pas m'embété à travaillé, et puis je ne suis pas quelqu'un qui aime recevoir des ordre.

Il avait dit c'est derniers sur un ton plutôt froid mais sans pour autant vouloir perturbé le blond d'en face. Il lui demanda ensuite, à son tour si lui travaillé.

Un "je" resté en suspens. Akio regarda le jeune homme en arquant un sourcil, ce dernier se mordit la lèvre comme pour s'empêcher de trop parler. Ah ben apparemment Uruha n'était pas le seul à cacher quelque chose sur ses occupations. Après tout lui aussi trainait à Shimbashi, sans doute pas pour les mêmes raisons certes, mais il y était. Et tout le monde savait que Shimbashi, à certains moments, ça crains quand même.

- Comme tu dois t'en doutait, pour m'être retrouvé ici, je dispose d'assez d'argent pour ne pas m'embêter à travaillé, et puis je ne suis pas quelqu'un qui aime recevoir des ordre.

Oui, bien sûr. En même temps s'il faisait quelque chose de "mal" dans sa vie comme dealeur etc. il ne lui dirait sûrement pas. Il garderait le silence tout comme Akio. Donc il ne faisait rien... rien du tout. Il se contentais d'aller à hakujoo et fin de l'histoire soit. Après tout ça peut être possible. Peut-être que lorsqu'il a croisé Uruha à Shimbashi il s'était tout simplement perdu? C'était possible mais le mannequin avait un doute. Pour qu'il le reconnaisse aussi vite il n'avait pas dû le voir qu'une seule fois.

Seulement il avait tellement changé d'attitude quand il parlait, son ton était devenu très froid... C'était sûr : il avait au moins autant à se reprocher qu'Akio. Enfin de toute façon il s'en fichait, se n'est pas ses affaires. Un vague "et toi?" parvint aux oreilles du blond, à lui de répondre sans se trahir.
Un vrai jeu de comédien.

-Moi je suis mannequin... J'ai également assez d'argent pour venir ici sans travailler mais je suis quelqu'un qui s'ennuie vite. Il me faut toujours quelque chose à faire, donc ça m'occupe.

Ça et la prostitution.

Invité

Le blond avait sans doute déjoué son hésitation mais Reita resta impassible, comme si de rien n'était. Puis uil l'écouta sans bronché.

-Moi je suis mannequin... J'ai également assez d'argent pour venir ici sans travailler mais je suis quelqu'un qui s'ennuie vite. Il me faut toujours quelque chose à faire, donc ça m'occupe.

C'est vrais qu'il était beau, il n'avait sans doute pas eu de mal à le devenir, il était soigné, élégant et plutôt sexy. Reita se suprenait à penser ca, mais il el pensait vraiment, alors bon ... Bon il n'allait pas lui avouez qu'il se battait souvent, ça pourrait l'effrayait...ou pas. Mais un nouveau blanc c'était à nouveau installé. Il fallait brisé ce nouveau silence, tous ces blanc commencer à emmerder sérieusement le décoloré.

- Hnn, et côté entourage, tu as des proche ou des amis dans l'université, tu connais des gens déjà ?

Il voulait évité le sujet job finalement, c'était la seule chose qu'il avait à caché, enfin même si ca ne fairait surement pas des ravage si Akio l'aprenait. Il soupira et ferma les yeux, appuyé contre le mur il redressa un cousin pour être plus confortablement assis. Le décoloré toisé le blond, encore et toujours...sa nouvelle connaissance allait le prendre pour un matteur, alors il finit par détourner les yeux vers la fenêtre.

Akio sentit le regard de son vis-à-vis sur lui, une fois de plus, et détourna le regard. Il ne savait pas pourquoi mais il était gêné, pourtant ce genre de regard sur lui n'étaient pas rare, ça arrivait souvent lorsqu'il se prostituait où qu'il travaillait... Mais d'ordinaire il restait très froid et distant avec les autres, alors dans son quotidien par quelqu'un d'aussi proche que Reita l'était en ce moment même, ça le gênait.

- Hnn, et côté entourage, tu as des proche ou des amis dans l'université, tu connais des gens déjà ?

Sans le savoir, l'homme au noze-band venait de toucher du doigt une question à laquelle Uruha lui-même n'avait pas de réponse.
Connaissait-il quelqu'un dans l'établissement? Vu qu'il passait ses nuits avec pleins d'hommes étrangers il ne pouvait pas savoir si, un jour, quelqu'un dans Hakujoo allait venir le voir en lui affirmant qu'il ne connaissait. Il s'en voulait de ne pas avoir pensé à tout ça avant d'exercer ce genre de passe-temps dans les alentours. Mais en même temps, il ne pouvait pas deviner que ses parents allaient l'inscrire dans une école de bourges.
Eux qui n'avaient jamais été présents dans l'éducation de leur fils se comportaient seulement maintenant, alors que leur fils a maintenant vingt-et-un ans, comme de véritables parents.

Akio leva doucement les yeux vers le décoloré et s'efforça de sourire en cachant ses questions et son mal-être. En espérant que Reita la croit.

-Normalement non je ne connais personne ici.

Il espérait aussi que le "normalement" n'attirerait pas les question du bassiste. Car, logiquement, on est censé savoir si des amis à nous viennent étudier dans le même endroit.

-Et toi? Tu as des amis ici?

Invité

La tête ncore tourner vers la fenêtre, il ne remarqua le peu de gêne qu'Akio éprouvé. Il l'écouta dire qu'il ne connaissait personne, mais pourquoi avait-il ajouter le "normalement" ? Reita ne comprenait pas, mais bon, ca ne l'intéresser pas plus que ca non plus. Puis il lui retourna la question. Reita ? Des amis ? Ici ? A sa connaissance non, et puis il était rare que l'on l'approche, il parraissait bien souvent intimidant aux yeux des autres. Et puis les autre personnes que fréquentait Reita étaient soit bien plus vieille soit n'avaient pas assez d'argent pour se payé une inscription dans une université comme Hakujoo.

- Hmm, non pas vraiment

Fallait-il rajoutait: et puis je suis pas très sociable, et tout le blabla inutile ? Non, Reita n'était pas du genre à raconté sa vie, vraiment pas. C'est vrai, d'habitude pas très sociable, il avait trouver quelqu'un de quelque peu semblable à lui, ils avaient parler de musique et faisait des efforts pour rester plus ou moins sociable. Reita était plutôt content d'avoir fait une telle rencontre. Bon maintenant il fallait ranger sa valise et puis il commencer à avoir un peu chaud. Il se leva du lit, et ouvrit la fenêtre, un courant d'air très froid en echappa mais ne le dérangea pas. Il s'appuya contre le mur près de la fenêtre.

- Cela fait combien de temps que tu es ici.

Il resta ainsi, les main dans les poche, et le dos contre le mur, fixant le blond dans l'attente d'un réponse. Si celui-ci ne connaissait personne il ne devait pas être ici de puis longtemps ? Reita soupira, il posait parfois bien des questions sans réfléchir.

Ah? Alors lui aussi ne connaissait personne dans l'établissement. Apparemment ils étaient tout deux tombés sur la bonne personne de l'établissement.
Ils avaient l'air, l'un comme l'autre, de ne pas être très doué dans le domaine de la sociabilité mais étaient passionnés de musique. À croire que le hasard fait parfois bien les choses.
Akio le suivi du regard lorsqu'il se dirigea vers la fenêtre pour l'ouvrir : il devait avoir trop chaud. Il est vrai qu'il faisait étrangement chaud pour un mois de septembre, on se croirait presque encore en plein milieux du mois de Juillet, à l'exception qu'à partir de ce jour ils étaient tous coincés dans cet établissement. Akio n'avait jamais fait parti de ses gosses qui attendent impatiemment les vacances pour ne plus rien faire, car lui ne faisait rien même en cours. Il était d'ailleurs très rare qu'il fasse honneur de sa présence aux professeurs, le seul cours qu'il ne manquait que rarement était la musique. Mais s'il ne séchait pas lorsqu'il était au collège c'est parce qu'il couchait avec son prof, pas parce qu'il s'intéressait réellement aux cours. Ils étaient d'un ennuie mortel avec lui. Ce fût d'ailleurs un de ses premier amants.

- Cela fait combien de temps que tu es ici.

Pensait-il qu'il était nouveau? Quelle idée absurde aurait-il là. Il n'avait pas dû le croisé à Shimbashi qu'une seule fois, et il n'aurait très certainement pas eu la motivation de prendre le train pour "exercer". Enfin ça Reita n'était pas censé le savoir.

-Je suis né à Tokyo je vis ici depuis ma naissance donc. Mais j'ai arrêté de suivre des cours dans des écoles à la fin du collège.

Voilà, comme ça il éviterai sûrement de lui poser d'autres questions pouvant engendrer l'embarra du mannequin. Akio s'éclaircit la voix, il s'apprêtait à retourner la question à son vis-à-vis seulement il sentit une vibration dans sa poche. Son portable.
Uruha lança un bref coup d'œil à Reita, soupira et sortit l'appareil. Il l'ouvrit et il lu un rappel qu'il avait enregistrer pour être sûr de ne pas zappé avec son entrée à Hakujoo : « Rendez-vous avec Mr. Watanabe ». Un de ses clients. Son nom était bien entendu faux car il était mal vu pour les hommes de n'importe quel pays de prendre du bon temps avec une prostitué. Celui-là avait eu de la chance, puisque ce n'est qu'un passe-temps parmi d'autre pour Akio il ne choisissait que les hommes à son goût. Il déballa un sourire de comédien à reita en le regardant dans les yeux

-Excuses-moi je doit m'en aller, j'ai un rendez-vous. J'espère te revoir

Un autre sourire puis il se leva et partit.

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