I'm here, help me [ PV Takahashi Akio ]

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Il retira le pansement qui lui barré le coin de la bouche. Quelle idée de sortir la veille de sa rentré. Mais bon, c’était pire qu’une drogue maintenant, il avait besoin de se défoulé, comme si même se faire frappé ne le déranger plus. Il sortit de chez lui en s’étirant, puis attrapa sa valise. Question: Partir à pied ou en voiture. Il contempla un instant alors sa voiture, parfaitement propre et bien garé dans le garage. Bon il allait pas se trimballé son sac pendant vingt minutes alors qu’il pouvait y aller en voiture. Il chargea le sac à l’arrière. Il partit alors en vitesse, comme une envie de s’échappé à cette vie…comme qui dirait trop protégé, et surtout trop féminine. Oui, vivre entouré de femme c’est pas toujours facile. Il prit donc la route et en moins de dix minutes, il fut arrivé. Il ne fut pas étonné par la grandeur du bâtiment il l’avait déjà visité, Reita savait qu’il était très luxueux et très demandé. Oui, même si il n’en avait pas l’air, Rei’ pouvait bossé quand il le voulait, bien que cette fois, c’était plus l’argent qui l’avait aidé à rentré dans l’université. Cette internat allé le libéré de la bulle maternelle qu’avaient formé sa grand-mère, sa mère et sa sœur autour de lui. Il se gara dans le grand parking de l’école et sortit, attrapant sa valise et la traînant derrière lui - elle a des roulettes.

Il se retrouva dans le hall, cherchant un plan des yeux. Ouais, il se souvenait pads de tout en fait. De plus il était un peu en avance, ou allait-il bien pouvoir trouvé de l’aide ? Il finit par s’appuyé contre un mur, sortant son portable de sa poche, tapotant sur les touche, restant silencieux. Bah si il ne se débrouillait pas tout seul, quand l’heure viendrait, quelque un serait bien la pour l’accueillir non ? Ou au moins lui montré sa chambre. Au bout d'une dizaine de minutes il s'impatianta, il sortit du hall pour aller s'asseoir dans un morceau d'herbe de la cours. Il sortit son paquet de cigarette et s'en alluma une sans se préoccupé de si cela était interdit ou pas. Il s'appuya contre son maigre sac, clope au bec, les yeux mi clos. Il soupira et s'allongea presuqe. Il faisait beau et bon.

Deux heures. Deux joyeuses d'heures qu'il fréquentait cet établissement et il devenait déjà complètement barge. Après avoir arpenter les couloirs en long en large et en travers, le blond décida qu'il était grand temps d'aller respirer un peu d'air frais dehors. Non pas que l'air de sa sainte école lui faisait des hauts le cœur mais presque.
C'est donc avec hâte que le mannequin traversait les luxueux couloirs de l'université d'Hakujoo, il poussa les grosses portes de bois et arriva enfin dehors.
Il pris quelques secondes pour fermer les yeux et vider son esprit. Cette université dégageait vraiment l'ambiance des gosses de riches. Ambiance ennuyante à mourir, les étudiants ici parlaient un peu trop de ce qu'ils s'étaient acheter comme produit de luxe pour leur rentrée ici. Oui Akio aussi utilisait de bons produits, mais pas forcément les plus couteux. Ça servait franchement à rien.
Il continua sa marche rapide en traversant l'herbe sans regarder où il allait c'est alors qu'il percuta un tas chair étalé comme une serpillère par terre. Le blond leva les yeux au ciel avant de se retourner et de regarder l'homme qui l'avait freiner dans sa chute. Il fumait une cigarette, bon d'accord il était beau, mais ça n'effaçait rien. Akio avait failli se manger et par sa faute.

-Dis t'as l'air bien sympa mais faudrait penser à t'étaler autre part. J'tiens vraiment pas à m'étaler par terre.

Pour une fois qu'Akio n'avait pas été "trop" désagréable avec un de ses vis-à-vis. Il regarda une dernière fois l'homme à terre et fit demi tour dans le but de partir.

Invité

Takeo n'entendit pas la personne avançait vers lui et ne l'a vit pas non plus. Cela sembla réciproque. Il sentit juste quelqu'un trébuchait sur lui, sans pour autant tombé. Sa aurait pourtant était drôle. Il ne bougea pas, restant tranquillement au sol, appuyé la tête sur son sac, les yeux clos, fumant paisiblement. Ce n'ets qu'en entendant les paroles sur un ton plutôt désagréable du trébucheur qu'il réagit....un peu...

- Dis t'as l'air bien sympa mais faudrait penser à s'étaler autre part. J'tiens vraiment pas à m'étaler par terre.

Il grogna légèrement. Impassible, tirant une bouffé de plus de sa cigarette, c'est à peine si il l'avait sentit trébucher sur lui, légèrement dans les vappes. Il s'étira et se redréssa sur les coudes. Regardant le garçon de haut en bas, de droit à gauche. Il voulait quoi ? Se battre peut-être ? Fallait faire attention à être plus agréable non ? C'était pas uen façon d'acceuillir les nouveaux, mais bizarrement, après avoir entendut les pires rumeurs sur le batiment, il ne sembla pas surpris, du moins pas plus que ca. Reita n'était pas vraiment une personne qui se laisser faire, il aurait très bien pu se mettre en colère et lui coller son poing dans la face, mais peut-être que se jolie minois ne méritait pas d'être maltraité. Il soupira...

- Fais attention ou tu marche toi, ca ira mieux aussi.

Ca voix était assez sèche mais calme. Il se ré appuya sur son sac, continuant à fumé tranquillement. Il aurait pu penser à lui demandé son chemin non ? Bizarement il n'y pensait plus, il n'avais pas non plus forcement envie de se faire guider par quelqu'un d'aussi désagréable sans avoir de raisons valable. Reita n'était certainement pas le mieux placer pour parler mais il restait quelqu'un de plutôt pacifique si personne ne lui brisé la grappe. Un nouveau soupire s'échappa de sa bouche, il ferma les yeux un moment, tirant une nouvelle fois sur ca cigarette qu'il allait bientôt finir. Si le jeune homme ne se rendait pas compte que Reita était nouveau ou que celui ci ne lui demandait pas d'aide - il n'en avait pas vraiment l'envie la- il se débrouillerait pour trouvé le secrétaria tout seul.

Akio soupira. Sa voix avait été froide certes, comme d'habitude; mais ce n'étais pas une raison pour lui répondre comme ça il se prenait pour qui celui là?
Personne n'avait une bonne éducation par ici? Tout le monde était associable et fier de l'être? Ça devenait du grand n'importe quoi.
Le blond allait continuer à tracer sa route tout en fumant une cigarette lorsqu'il se rendit compte qu'il avait perdu son briquet. Sûrement quand il avait faillit mourir sur l'autre là. Ses yeux balayèrent la pelouse lorsqu'ils repérèrent le briquet noir. Akio jura quelques instant pour lui même et se rabaissa pour prendre son objet échoué non loin de la tête de l'homme au bandeau. Le blond se releva et...nan il ne partit pas. Il resta planté là à toisé le jeune homme du regard...
Il étais convaincu de l'avoir déjà vu quelque part... Un de ses clients? Non, il l'aurait tout de même reconnu, au moins au son de sa voix. Alors qui? Un coup d'une nuit qui n'avait pas payé? Non plus il s'en souvenait mieux que de ses quelques clients.
Le blond secoua le tête de gauche à droite comme pour chasser ses questions bizarres de son esprit et se remis en route vers... bonne question.
Alors qu'il n'avait pas encore atteins les dix mètre Akio fit rapidement demi tour et s'agenouilla à la hauteur du jeune homme qui l'intriguait.
Il était con-vain-cu de l'avoir déjà rencontré quelque part. Mais ce qui l'inquiétait le plus c'est que cet homme pouvait peut-être être au courant de son "passe-temps". Il fallait trouver un moyen d'engager la conversation.

-Dis moi euh... t'es du coins?

Pas dans le sens "tu connais l'université? ^w^" nan dans le genre est-ce qu'il venait des alentours. Car s'il venait des alentours alors là il était dans la merde et c'était le cas de le dire. Il trainait souvent dans les ruelles mal fréquentées lorsque l'envie lui prenais. Akio continua de regarder le blond une lueur de panique dans le regard. Ca ne lui ressemblait tellement pas de paniquer comme ça. Fallait se reprendre.

Invité

L'étudiant sembla vexé, ou du moins dégoûté du ton employé par Reita. Ce n'était qu'une impression.
Puis ses yeux scrutèrent la pelouse, comme à la recherche de quelque chose. Il sembla vite trouvait et se rapprocha un peu de Reita puis se pencha, récupérant quelque chose au sol. Le bandé vit un briquet dans sa main, il l'avait sans doute fait tombé. Mais au lieu de complètement se relevé et partir, il resta la sans bouger, pencher au dessus de lui. Il fut finalement debout mais l'observait encore. Reita leva un sourcil d'incompréhension, comme si tout d'un coup l'autre blond trouvé une quelconque marque d'intérêt. Le bandé plongea son regard dans le siens, une légère lueur d'interrogation dans les yeux.

- hmm ?

Reita le regarda faire demi tour, s'éloigné un peu avant de s'arrêter. Reita leva un sourcil, celui-ci avait-il changer d'avieita le regarda faire demi tour, s'éloigné un peu avant de s'arrêter. Reita leva un sourcil, celui-ci avait-il changer d'avis, s'excuser ? Ou peut-être s'installé ici pour se reposé. Il tourna la tête dans tous les sens et se retourna vers le décoloré qui avait enfin finit sa cigarette et qui se demandait à présent si il s'en fumait une autre ou pas. Il s'étira, laissant le garçon s'éloigner. Il bailla, plus ou moins délicatement. La veille il n'aurait vraiment pas du sortir et plutôt rester cher lui et se coucher tôt pour prendre des forces. Le décoloré sortie une nouvelle fois son paquet pour en sortir une nouvelle cigarette, ce l'alluma et en tira une première bouffée.Une minute plus tard il remarqua sa connaissance revenir et s'installer à côté de lui.

-Dis moi euh... t'es du coins?

C'est qu'il avait l'air bien lunatique ce gars. Son ton avait changer, tout comme la lueur dans ses yeux.
Il semblait un peu paniqué, cela fit sourire le nouveau. Il mima de réfléchir tout en tirant sur la cigarette, et hocha la tête en poussant une sorte de grognement voulant dire oui. Il allait pas non plus se montrait hiper simpathique alors que lui, lui avait parler sur un ton hautain puis était revenus pour poser une quelconque question. Mais d'ailleurs, pourquoi cette question ?

- Pourquoi ?

Akio attendit patiemment que le blond en face de lui daigne lui répondre. Plus les secondes passaient et plus Uruha angoissait. Dans quel pétrin s'était-il encore mis?
C'est ça d'avoir un passe-temps mal vu par la société actuel. Pourtant il n'y avait aucune honte, à l'avis du mannequin.
Il continua de toiser l'homme du regard et son coeur faillit louper un battement lorsque le blondinet fit oui de la tête. Eh merde.
Akio se mordit la lèvre, mais il essaya de positiver la chose : cet homme n'avait pas spécialement l'air de le reconnaitre, il avait surtout l'air d'être septique sur le changement de comportement d'Akio, un peu schizophrène sur les bords sur ce coup, il l'avouait.

- Pourquoi ?

Pourquoi quoi? Ah oui pourquoi cette drôle de question alors qu'il l'avait tuer du regard quelques instants avant? Oui il n'avait pas gérer sur ce coup là.
Le mannequin haussa les sourcils avant de se résigner à dire la vérité, de toute façon il était un piètre menteur, surtout dans des situations comme celle-ci.

-Je suis presque sûr de t'avoir déjà rencontré... L'ennui c'est que je ne sais pas où.

Il avait l'air fin comme ça tiens. Il ne fallait pas qu'il soit trop méchant avec lui, sinon ça allait se finir en une gueguerre comme chez les enfants en bas âge.
Enfin les riches adorent jouer à ce genre de jeux parait-il... pathétique.
Akio fit un petit sourire en coin totalement gêné et se releva comme il pouvait. Une fois debout il frotta ses mains comme pour les nettoyer (il venait quand même d'être sur la pelouse).

-Bon eh bien apparemment on ne se connait pas je vais te laisser à tes.... occupations

[C'est la piiiire réponse de toute ma vie. Bidon à souhait quoi oo']

Invité

-Je suis presque sûr de t'avoir déjà rencontré... L'ennui c'est que je ne sais pas où.

Reita cligna des yeux. Déjà vue ? Il n'en avait pas le souvenir pourtant il avait une assez bonne mémoire.
Il fouilla un peu, repensa à sa soirée, celle davant, une semaine et autres. Le décoloré se gratta l'arrière de la tête pensif. Il était face à un lunatique schyzofrène qui avait des halucinations. Youhou revenons sur terre, il s'assit en tailleur, ignorant presque le garçon. Quand même si il le disait et qu'il en avait l'air si sur, ce devait être juste, ils s'étaient peut-être déjà croisé quelque part.
De plus le blond avait l'air légèrement angoissé, comme si il stressé, pourquoi ?

-Bon eh bien apparemment on ne se connait pas je vais te laisser à tes.... occupations

Il l'observa se lever et se frotté les mains comme si il venait de s'appuyé dans de la boue. De vrais chochotte ces riches de nos jours. Il soupira, lui adressant un leger signe de tête tout en réfléchissant. Les endroits ou trainé Reita étaient soit pire que non fréquentable, soit dans les quartiers riches ou de jolies demoiselle se jetaient à ses pieds. Son interlocuteur avait plus l'air de faire partie de la secondes catégorie, mais on ne pouvait pas vraiment savoir. Reita n'avait peut-être pas l'air de bagarreur de première à première vue, pourtant c'était bien le cas. Il tilta, quelques instants plus tard. Retraçant les contour d'une silhouette fine, bien habillé, près de l'usine désafecté ou il lui arrivait de se battre. Les même cheveux clair, même taille...Peut-être que c'était lui. Quoi que ce jour là, il lui avait sembler croisé une fille... ou du moins quelqu'un de très éfféminé.

- Shimbashi...Peut-être...

- Shimbashi...Peut-être...

Et c'est là qu'on tire la sonnette d'alarme. C'était officiel il était dans un sacré pétrin. Shimbashi était une des rues qu'il fréquentait le plus sur Tokyo, quelle plaie.
Ça lui apprendra à ne pas se déplacer jusque Kyoto tous les jours. Bon alors maintenant la question était... comment faire passer la pilule?
Enfin avant toute chose : savoir s'il avait compris ce qu'il avait vu. Il pouvait tout à fait avoir rendez-vous avec son copain du moment après tout, seulement il avait préféré une tenue assez légère (pour ne pas dire carrément légère) à un pull. Normal quoi.
Akio resta figé quelques instants et se retourna affichant une mine faussement heureuse d'avoir vu juste. Quelle plaie cette histoire.

-Oui certainement... Je vais souvent par là bas

L'air de rien. Le plus malheureux dans l'histoire c'est qu'il était mauvais comédien mais que là il s'y retrouvait forcer.
Il fit un nouveau sourire à son vis-à-vis et se présenta

-Takahashi Akio, et tu es..?

Autant faire connaissance, si ça se trouve il pourrait être quelqu'un d'intéressant. Ce qui serait certainement très rare dans cette université.

[ J'casse pas des briques avec mes rp moi oô' ]

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Le bandé, toujours confortablement assis par terre le regardé se retourner. Un sourire sonnant bienf aux accroché au visage. Il avait une attitude quelque peu bizarre, était-il en train de mentir ? Reita ne savait pas vraiment quoi pensé. Il observa à nouveau son vis-à-vis, se rappelant de la personne qu'il avait croisé quelques temps plus tôt.

- Oui certainement... Je vais souvent par là bas.

Alors, Reita lui lança un regard pleins de sous entendus. Shimbashi, quartier à la fois fréquenté, mais aussi quartier à prostitué et bar malfameux. Mais après tout, lui aussi y avait était. Ce qui l'étonner c'est que quelqu'un de sis élégant que son interlocuteur puisse y avoir était. Ce quartier avait de bon et mauvais côté, autant il fallait avoir de bon arguments pour se promener dans les ruelles qu'être friqué et classe pour se baladé devant les grandes boites de nuits et autres bar. Il lui répondit un vague "moi aussi". Toujours pensif il l'écouta se présenter.

- Takahashi Akio, et tu es..?

- Tagaki Takeo des'.

Il ne cessait de le regardé, de haut en bas. Oui il en était certains il l'avait vue à Shimbashi, bien sûr les détails ne lui revenaient pas...que pouvait-il bien faire la-bas ? De plus il ne lui semblait pas avoir déjà entendus ce nom et ce prénom. Il passa sa main dans ses cheveux blond et brun tout en s'asseyant en tailleur. Et ce fameux Akio, avait-il déjà entendus parler de lui ? Il était plus connu sous le nom de Reita avec ses bandes d'amis, une sorte de pseudo. Il s'étira puis placa sa main devant sa bouche pour baillé, les yeux légèrement larmoyant du à "l'action". Le décoloré avait une folle envie de dormir...et ce depuis un sacret petit moment.

- Certains m'appellent Reita.

- Certains m'appellent Reita.

Reita... Ça lui disait vaguement quelques chose. Peut-être était-ce parce qu'ils s'étaient déjà croisé dans l'endroit bizarre qu'est Shimbashi.
Il fallait vraiment apprécié les endroits où les bagarres sont fréquentes pour trainer par là-bas. Bien sûr Akio lui n'y était pas dans ce but, oh non, il y était juste pour se divertir. Mais vu que c'était son premier jour ici et qu'il avait déjà croisé quelqu'un qui l'avait vu dans cette rue (ou plutôt ruelle pour son cas) il se dit que dorénavant il aurait plutôt intérêt à trainer autre part. Il ne voulait certainement pas que cela se sache dans cette école. D'autre drogués, dealeurs, chefs de gangs étaient sûrement inscrits ici vu la réputation de l'école, mais ça, ce n'était pas bien grave comparé à l'acte trop souvent jugé "dégradant" qu'est celui de la prostitution.
Surtout par plaisir... Même si au départ cela avait été une contrainte.

Akio fixa quelques instants son interlocuteur dans les yeux. "Reita"...se pourrait-il qu'il ai un goût pour la bagarre? Non quelle idée stupide : le jeune homme n'avait pas une marque de blessure sur le visage...Logiquement quand on se tape dessus on vise au visage.. Le blond continua de le scruté...sous son bandeau?
Uruha se frappa intérieurement, il commençait à dérailler totalement. Il était sûrement là bas pour les bars riches et autres trucs...Pour affaires peut-être aussi, après tout il n'en savait rien lui.

-Eh bien enchanté...Reita.

Il inclina légèrement la tête en signe de politesse.
Ce jeune homme l'intéressait curieusement même s'il ne voulait pas se l'avouer. Il n'avait pas l'air de ressembler à tous ses gosses pourris gâté..
Il avait l'air plus zen, plus naturel que ceux-ci. Une grand qualité dans cette école sûrement.

Invité

- Eh bien enchanté...Reita.

- De même, Takahashi san

Il lui adressa à son tour un signe de tête ne cessant pas de se poser des questions.
Pourquoi son interlocuteur avait l'air de stressé autant ? Qu'avait-il de mal à trainé à Shimbashi, Reita ne le cacher pas lui en tout cas. C'était la bas qu'ils y avait les bagarres les plus folles...c'est aussi la-bas qu'il était la veille. Il s'en était ressortit en assez bon état bien qu'il avait parfois le souffle coupé par un coup pris en pleine poitrine et qui l'avait bien fais souffrir cette nuit. Voilà ce que c'était que de jouer les bagarreur. Il était parfois oblier de secher du à son état.
Maintenant il fallait penser à autre chose, à une visite peut-être, ou du moins ou étaient les dortoirs ? Il se gratta l'arrière de la tête toute en levant les yeux vers lui se même air banal, proche du froid accroché au visage.

- DIs, j'viens juste d'arrivé, tu serais pas m'indiquer les dortoirs ?

En même temps il se releva, attrapant son sac et se plaçant face au blond. Il faisait sa taille voir, il était un petit peu plus grand... Le garçon en face avait un visage semblant lisse, un peu maquillé et ca lui allait très bien. Il avait l'air gracieux et soigné, sa finesse le rendait encore plus éfféminé. Takeo le trouvait très beau, ca c'était certains. Il n'y avait que de rare fois ou il lui arrivait de détaillé autant un homme, oui surtout un homme, mais celui la était vraiment spécial. Reita n'en avait jamais vue d'aussi soignée t surtout d'aussi lunatique.

Takahashi-san? Il pouvait l'appeler Akio, il n'allait pas le bouffer... Enfin quoi que vu son comportement très agréable du début de leur conversation rien d'étonnant. Akio sourit amicalement au blond en face de lui. C'était décidément très rare lorsqu'il se montrait sympathique avec quelqu'un.
Il préférait éviter un maximum l'entente avec d'autres personnes, sans doute pour se protéger lui-même.

- Dis, j'viens juste d'arrivé, tu serais pas m'indiquer les dortoirs ?

Un autre nouveau... C'était peut-être pour ça qu'il n'était pas encore contaminé par la lourde ambiance d'Hakujoo. Comment tenir un an dans ce trou à riche?
Et encore si ses parents ne lui forçaient pas encore la main à rester l'année suivante...Quelle plaie.
Reita se leva et Akio remarqua qu'ils avaient la même taille, ou presque. Son vis-àvis avait l'air légèrement plus petit que lui, mais sa coiffure lui donnait une taille à peu près égale. Le mannequin aimait beaucoup son style, son bandeau lui donnait un côté mystérieux à souhait.

-À vrai dire je suis nouveau aussi mais je connais le bâtiment où se trouvent certaines chambres. Tu as quel numéro?

Si le jeune homme se trouvait dans les premiers numéros de chambres ils pourraient sûrement l'aider. Mais si c'était un numéro dans les cents et quelques alors là c'était ils allaient se perdre à coup sûr. Les chambres étaient séparées en plusieurs bâtiments, Akio ne savait pas combien de chambre comportait un bâtiment mais il était convaincu que c'était très mal expliquer pour s'y rendre. S'il n'avait pas suivi sa "camarade" de chambre il serai sûrement encore en trin de les chercher. Ou pas.
Akio regarda son interlocuteur dans les yeux et attendit patiemment sa réponse. Savait-il à quoi il s'attardait en mettant les pieds dans cette université?
Il perdait son temps à coup sûr.

Invité

- À vrai dire je suis nouveau aussi mais je connais le bâtiment où se trouvent certaines chambres. Tu as quel numéro ?

Instant de réfléxion. On le lui avait dit lors de sa "visite" des batiments un mois plutôt. La 4, oui c'était la 4. Takeo afficha un faible sourire, presque amical. Il faisait quelques efforts et caché son côté arrogant et bagarreur. Il n'avait aucune raison de l'être de toute façon, le fameux Akio avait changer de comportement pour être plutôt simpathique alors Reita allait faire de même. Il fit un pas et se plaça à côté du blond tout en lui répondant.

- Chambre 4 si j'me souviens bien.

Il fit de lui même les premiers pas vers le batiment, se dirigeant vers la grande porte tout en ajustant sa veste. Il entendit le garçon le suivre et se mettre à ses côtés. Ils marchèrent jusqu'aux portes, silencieusement. Reita s'arrêta et suivit Akio. Il le détailla de dos, il retrouvait les forme qu'il avait vue ce soir la en se retournant sur son passage.

- Et toi, tu es dans quelle chambre ?

Sans sous entendus bien sûr. Le silence genée assez le décoloré, et puis il était d'humeurs bavarde et surtout il voulait retourné au sujet shimbashi. Sérieusement que pouvait-il bien faire la bas, dans une ruelle ce soir la ?

Chambre quatre donc. Heureusement pour son interlocuteur il allait pouvoir lui montrer où se trouve sa chambre.
Enfin heureusement ou pas. Peut-être que lui aussi va regretter sa prochaine rencontre avec les gens qui partagerons sa chambre. Au moins pour Akio c'était déjà chose faite. Enfin pour une partie, de toute façon il pense que ça ne pouvait pas être pire. Si ça chambre avait été faite entièrement d'hommes peut-être que l'école lui aurait fait une moins mauvaise impression? Car même sans ça, elle restait horriblement blasante cette université.
Uruha passa devant son vis-à-vis, normal puisque c'était lui qui connaissait le chemin jusqu'aux dortoirs.
Ils montèrent donc les escaliers et pénétrèrent à l'intérieur du grand hall, ou pleins de nouveaux arrivant faisaient la queue pour lire les instructions.
Pourquoi faire? Les règlements sont tous les mêmes, tous autant inutiles.

- Et toi, tu es dans quelle chambre ?

La question mis quelques secondes à percuter dans la tête du jeune mannequin. Il s'était habitué au long silence qui s'était installé entre eux.
Et il y avait un vacarme monstre dans le hall, ils n'ont pas autre chose à faire que jacasser ses crétins? Akio soupira à tout ce raffut et répondit à son interlocuteur, en ralentissant sa marche pour se retrouver à côté de lui.

-Chambre une. C'est une chance que tu sois dans la quatre, sinon j'aurai eu du mal à t'indiquer le chemin.

Quelle idée aussi de séparés les bâtiments. Géographiquement ils ne se situaient même pas tous à côté dans l'école.
L'architecte devait être un sacré boulet pour faire quelque chose comme ça, un riche aussi sûrement qui avait réussi grâce à papa et maman.
Ils continuèrent leur marche jusqu'aux dortoirs, le blanc était revenu et Akio cherchait désespérément quelque chose à dire.

Invité

Il le suivait donc encore et toujours dans ce hall bruyant et remplit. Ca changer de tout à l'heure, lorsque qu'il y était seul et dans le silence. Ce vacarme lui monta vite à la tête, il lui tardait de sortir de la. On aurait dis une bande de gamins qui attendaient pour payé sa place dans un cirque. Il vut Akio ralentir et se mettre à côté de lui pour lui répondre.

- Chambre une. C'est une chance que tu sois dans la quatre, sinon j'aurai eu du mal à t'indiquer le chemin.

Il lui adressa un signe de tête recnnaissant. Sa chambre ne devait pas être bien loin de la sienne alors. Les deux connaissances continuèrent alors leur route jusqu'aux dortoirs, le silence était reetombé, autant entre les deux jeunes hommes et parce qu'ils s'étaient assez éloigné du hall. Ils traversèrent des couloirs, montèrent des escaliers, toujours dans ce même silence plat. Pourquoi l'ambience avait l'air si tendus ? Le décoloré s'étira les bras derrière son dos tout en suivant son "guide"

- C'est encore loin ? Cet université est vraiment immense...

Ca faisait penser aux enfants en voitures qui demande sans cesse au parents si ils arrivent bientôt car ils s'impatiente, mais la c'est car le silence le saouler assez. Il soupira légèrement tout en marchant, son portable sonna, le stoppant dans sa course. Il s'arrêta lanssant un petit "excuse moi" à Akio tout en sortant son portable. A peine vue-t-il le nom de sa soeur qu'il ne décrocha pas et etteind son portable, faisant signe à Akio qu'ils pouvaient reprendre leur chemin.

- C'est encore loin ? Cet université est vraiment immense...

Le blond allait répondre lorsque le portable de son vis-à-vis se mit à sonner. Lui avait éteins le sien lors de son arrivée ici.
De toute façon qui allait lui téléphoner? Une de ses nombreuses conquêtes? Il n'avait pas envie de se taper la discutions avec ses connaissances.
Ils étaient trop inintéressant pour qu'il leur accorde trop de temps. Apparemment c'était de même pour Reita qui regarda qui était la personne qui lui téléphonait avant de couper son portable. Akio arqua un sourcil mais ne dit rien de toute façon ça ne le regardait pas.
Ils continuèrent de marcher et arrivèrent devant un grand bâtiment blanc, personne ne trainait aux alentours.

-Et voilà. Le bâtiment de la chambre une à la je ne sais combien.

Il sourit brièvement à son interlocuteur et tira la grand porte. Il passèrent dans un long couloir sombre et étroit, le même qu'Akio avait pris quelques heures auparavant et virent la porte de la chambre numéro une en première. Celle de la chambre d'Uruha.
Une sorte de grand hall avec des plantes, des lumières et des pots de fleurs était devant leurs yeux. Les portes des chambres une et deux étaient face à face avec la chambre trois juste à côté de la une et évidemment la quatre en face de celle-ci.
Akio regarda un instant le numéro "4" inscrit sur la porte de la chambre à Reita et se retourna face à celui-ci

-Bon eh bien voilà tu es arrivé.

Il lui fit un bref sourire suivi d'un hochement de tête pour lui dire au revoir et commença à partir.

Invité

Akio ne posa pas de questions sur cet appel, de toute façon pourquoi l'aurait-il fait ?
Ils semblairent bientôt arrivé, Reita leva les yeux, contemplant un grand batiment blanc.
S'élevant sur facilement 2/3 étages.

- Et voilà. Le bâtiment de la chambre une à la je ne sais combien.

Takeo fut assez impressioné, il ne se souvenait pas avoir vue se batiments, et c'est qu'il était vachement grand, ildevait contenir une centaines de chambres, voir plus. Il ne répondis pas, lachant un vague "hnn". Il avait était dans des écoles, des collèges, des lycée trèèès grand, mais cet université l'impressioné vraiment vraiment beaucoup. Il savait qu'il pouvait être surpris à tout moment à prèsent. Ils entrèrent ensuite dans le batiment, toujours Rei' derrière Akio. Le couloir dans les quel ils se retrouvèrent était assez étroit et sombre. Pour remédié à cela, Reita trouvé vite le bouton pour allumé les lumières car malgré les fenêtres la lumiète n'était pas assez forte. Il regarda une à une les portes trouavnt vite la 4 face à la trois, celle ci à côté de la une qui était face à la deux.

- Bon eh bien voilà tu es arrivé.

- Thank you

C'était avec un sublime accent anglais qu'il avait lancé ces deux mots. Il se plaça ensuite face à la porte. Il l'ouvrit, il n'y avait personne dedant. Et c'était...trèèèès grand. Il en écarquilla les yeux, mais bon, il y avait bien quatres lit, deux en faces de deux autres, une fenêtre, et une porte sans doute reliant la salle de bain à la chambre. Il entra, faisant signe au garçon de le suivre, il n'allait tout de même pas le laisser en plan sur dans le couloir.

- Thank you

Akio sourit brièvement, il était vraiment sympathique ce garçon. Ça en faisait au moins un sur tout le tas de l'université.
Avant que le mannequin ai eu le temps d'esquisser le moindre mouvement son vis-à-vis lui fit signe d'entrer. Sans protester il le suivit donc à l'intérieur de sa chambre. Laquelle était totalement similaire à la sienne mais dans le sens inverse. Deux lits l'un en face de l'autre d'un côté de la pièce et deux autres de l'autre côté. Exactement pareil, la même tapisserie hideuse, le même carrelage qui ne s'accorde pas avec le reste. Le même lieu. Ils n'avaient pas vraiment innovés questions chambres. À l'exception que dans celle-ci ça ne sentait pas le rat mot u_u.

Akio scruta quelques temps la pièce et reporta son attention sur son interlocuteur qui, lui, découvrait les lieux.
Il n'avait pas eu l'occasion de la voir avant, était-il aussi déçu des lieux qu'Akio l'avait été? Le blond ne dit riene t regarda Reita faire la tour la pièce, silencieux à souhait.
Uruha trouvait ça bizarre qu'il lui avait dit de rentrer dans sa chambre, après tout il se connaissaient à peine il n'avait pas de compte à lui rendre ni rien.

-Les lieux te plaisent?

Quelle question débile, ces chambres étaient les lieux où le bon goût vivait ses derniers instants.
Ils avaient voulu faire dans l'ancien très certainement, on se croyait plus en séjour chez une grand-mère, l'odeur suffocante des bougies en moins.

[ > Chambre n°4 ]

» Le hasard est détestable. [ pv; Takahashi Akio ]
» » Début d'une nouvelle année [ PV Takahashi Akio ]
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