Une nuit de plus ♥ [ Pv; un sale bête du nom d'Akio ] WARNING : Citron 8D

Invité

En fait, leur relation était indescriptible. Bref, Akio se sépara du bassiste, s’éloignant à reculons.

-Allez, c'est pas le tout mais on est pas encore arrivé à l'hôtel.

Le bassiste haussa un sourcil et reste quelques seconde immobile, se frappant ensuite au front, lorsque le blond fut retourner. Mais quel sale animal lui alors. Il le suivit sans pour autant le rattraper il venait de se faire avoir, certes, il se vengerait d’une manière ou d’une autre. C’est silencieusement qu’ils se dirigèrent vers l’hôtel. Intérieurement Reita se demandait pour il l’avait embrassait et non frappé. Ça commencer à vraiment le travaillé, perdre ses moyens à chaque fois qu’il s’en retrouvait trop près. Puis un question lui vint en tête: que pensait Akio de tout ça ? Ça devait plutôt l’amusé de voir Reita craquer à chaque fois.

Durant le voyage, silencieux, oui encore et toujours, le blond se frotta plusieurs fois la poitrine.
Les bandages étaient gênant, et la douleurs ressurgissait de temps à autre. Vexait d’avoir était laisser sur sa faim, il aurait presque était décidé à finalement, suivre les conseils de son médecins et ignorait son compagnon jusqu’au lendemain. Mais bien sur, il était aussi décidé à avoir ce qu’il voulait, c’est-à-dire bien plus que de ne faire que matté l’arrière d’Akio. Il finit par accéléré le pas, se retrouvant à coté d’Akio se demandant si l’hôtel était encore loin ou non. Mais bientôt il s’arrêta tout comme le guitariste, devant un grand bâtiment luxueux, l’hôtel en question sans doute. Il le suivit bien sagement à l’intérieur. Le bassiste ne se demanda pas comment Akio avait pu se payé une chambre dans ce bâtiment il savait très bien que celui-ci aimait le luxe et que tous deux avaient les moyens de passer 1 mois dans un hôtel du genre.

Ils entrèrent, toujours aussi silencieux, sa devenait une habitude.
Le bassiste s’assit sur un fauteuil dans le grand hall alors que le guitariste se dirigeait vers l’accueil. Il regarda se qui l’entourait, malgré l’heure tardive il y avait quelques personnes par ci par là. Certains sortaient, d’autres rentraient. Des couples en général, ou de fier hommes vêtus de costar. On devinait se qu’il devait rester dans la chambre d’où il venait. Puis son regard se posa sur un Akio qui revenait vers lui, avec une tête de l’homme le plus heureux du monde, ironie bien sur. Reita lança:

- C’est quoi c'te tête de déterré ?

Il se leva et le regarda, interrogateur. Pour qu’il tire ôte tête sa devait être grave.

( Je t'aime aussi atsu

)
XD

Ah quel magnifique moment que celui que le guitariste venait de vivre! C'était un jeu amusant que de planter son partenaire comme il venait de le faire, il devait avouer qu'il était plutôt fière. Ça lui apprendra à vouloir le frapper l'autre dingue.
Après quelques minutes supplémentaires de marche l'hôtel leur apparu enfin. Cet hôtel, Akio le choisissait tout le temps. C'était un des plus luxueux de la ville et il adorait ça, nombre de stars séjournaient dans cet hôtel, et les produits étaient d'une qualité impressionnante.
Toujours sans un mot l'un pour l'autre, ils pénétrèrent dans le spacieux hôtel. Abandonnant Reita sur un fauteuil, l'androgyne se dirigea vers le comptoir, sa veste toujours fermée pour ne pas laisser voir son habit de prostitué puisqu'ici il était connu en tant qu'Uruha, le mannequin.
Il fit un sourire aguicheur au jeune homme devant son ordinateur et lui dit qu'il avait réservé une chambre au nom de Takahashi Akio et qu'il voulait également savoir s'il était possible de changer sa chambre pour une autre avec deux lits. L'homme bidouilla des trucs incompréhensibles sur son clavier avant de répondre.

-Plus aucune chambre deux places n'est disponible.

...C'était une blague? Quelqu'un voulait se payer sa tête? Comment ne pouvait-il ne plus y avoir de chambre double place dans un hôtel de 8 étages?
Uruha demanda donc, toujours très calmement, s'il aurait l'amabilité de regarder une nouvelle fois. L'homme le fit, mais le verdict fût le même : il allait devoir dormir avec le fou furieux pendant une nuit. S'il n'avait pas été avec le bassiste toute la soirée il aurait cru à une farce de sa part.
Il fit donc volt-face complètement dépité par la nouvelle qui venait d'apprendre.

- C’est quoi c'te tête de déterré ?

Et il en rajoutait une couche en plus, quel ingrat. Le mannequin lui lança un regard hautain et glacial comme si tout cela avait été de sa faute.

-Il n'y a plus de chambre deux places...

Il le regarda brièvement, déçu de devoir dire ce genre de chose. Il détestait dormir avec quelqu'un d'autre, c'était d'ailleurs quelque chose qu'il ne faisait plus depuis le décès de son amant. Il murmura un « si j'avais su je serai rester avec mon client, il y avait deux lits au moins » avant de partir direction l'ascenseur pour appuyer sur le bouton orange. Quelle plaie.

Invité

- Il n'y a plus de chambre deux places...

Pour s’y peu il se permettait de parler sur ce ton à Reita. Mais bon, il se permettait tout alors un peu plus ou un peu moins, cita s’y habituait, mais c’était frustrant de se laisser parler ainsi. Certes, après leurs nuits ils dormaient tout le temps dans des lits différents. Sauf une fois ! Le jour ou ils avaient bu comme des trous et qu’Akio s’était réveillait en criant car le bras de Reita entouré sa taille.
Quelle nuit d’ailleurs celle la. Elle fut terrible pour leurs pauvres crânes.

Au final, tout ça avait fait que le guitariste était de nouveau distant et de mauvaise humeurs. Mais quand même ! Juste car ils allaient devoir dormir dans le même lit. En tout cas Reita ne dormirais pas par terre !Tellement que quand ils entrèrent dans le grand ascenseur, c’était presque si il ne s’étai pas mit à l’opposé du décoloré. Celui-ci soupira exaspéré. Il voulait jouait gosses, très bien. Il se dirigea vers les boutons des étages et appuya sur celui qui faisait arrêter. Une petit secousse puis plus rien, l’ascenseur s’était arrêter. Ensuite, il se posta contre le mur à côté de la palette des boutons.

- Bien, tant que tu change pas de comportement, on monte pas plus haut…

Il le fixa, d’un regard qui voulait en dire long si on été un minimum intelligent, ou comme Akio si on avait dé croisé ce regard. Mis désireux, mais bien plus sur de lui, il ne succomberais pas aux caprices et à la froideur du blond. Enfin sa dépendait de se que l’on voulait dire par caprice. En tout cas il ne bougea pas, tentait de se fumait une autre cigarette il se résigne, se souvenant qu’il était dans un ascenseur. A la place il ferma à moitié les yeux, appuyant sa tête contre le sur, le nez vers le plafond. S’ennuyant déjà il jeta une œil autour de lui.

La pièce, rectangulaire était plutôt spacieuse pour un simple ascenseur. Il y avait une vitre contre la parois ou était appuyé Akio. Ensuite, la moitié de chaque mur était recouvert de bois sur le bas, l’autre moitié était simplement peinte en nacrée. Sur la paroi face à la porte se trouvait une lampe de façade elle diffusait une lumière orangé. Le panneau ou se trouvaient les divers bouton était fait d’un bois semblable à celui du bas des murs, dessus, le bouton d’arrête de l’ascenseur clignotait sagement.

L'androgyne était partit se coller contre le mur du fond de l'ascenseur contre la paroi vitrée, dégouté de devoir dormir avec quelqu'un, bien que ce soit le bassiste et qu'ils avaient déjà dormit ensemble - une fois - il avait les nerfs. Il avait toujours eu pour opinion que seul un couple pouvait partager le même matelas, hors Reita et lui n'étaient pas un couple, ni même le quart d'un couple, et ça l'énervait de devoir allez contre ses opinions à cause d'un foutu hôtel pas assez grand à son goût. Il s énervait contre ce foutu hôtel en pensé, fixant le sol de ses prunelles dorées, lorsque l'ascenseur s'arrêta. Il releva doucement les yeux regardant son vis-à-vis avec incompréhension. Que lui prenait-il tout à coup? Alors qu'il allait lui demande ce qu'il y avait Takeo parla.

- Bien, tant que tu change pas de comportement, on monte pas plus haut…

Le guitariste arqua un sourcil, il croyait qu'il lui en voulait personnellement? Quel parano décidément... Uruha pensait qu'il était à peu près 'habitué' à son caractère mais apparemment il avait tord. Il haussa les épaules et reprit sa contemplation du sol avant de lancé d'une voix pas très audible :

-Comme tu veux.

Il n'avait pas l'intention de changer de comportement parce que ce dernier déplaisait à monsieur. S'il n'était pas content d'avec qui il passait la soirée il pouvait partir. Mais Uruha ne comprenait toujours pas pourquoi il croyait qu'il en avait après lui, il avait répondu à son baiser après il était partit en direction de l'hôtel. Il ne l'avait pas envoyé chier pour autant... Ou peut-être était-il tout simplement vexé qu'Akio soit partit pendant leur échange?
Ben tant pis il n'avait pas l'intention de s'excuser ou quoi que ce soit. Au bout de plusieurs minutes le mannequin commença à fatiguer et décida de s'asseoir contre le mur en face de Takeo attendant que celui-ci ai la gentillesse de rappuyer sur ce foutu bouton pour redémarrer cet abrutie de cage. Uruha lui jouait avec l'une de ses mèches dorées, la faisant tourner entre ses doigts, fixant le sol l'air complètement absent.

Invité

- Comme tu veux.

Bon, ils allaient finir par dormir ici si sa continuer. Akio était borné, Reita aussi.
Très bien on verrait comment le tout se déroulerait. Lui aussi se laissa glisser contre la paroi s’asseyant par terre. Vue l’heure ils ne risquaient pas d’être déranger, et l’hôtel ne devait pas manquer d’ascenseurs, alors ils pouvaient bien passer la nuit ici ! Mais bon, s’il risquait de fermer l’œil ou de s’endormir, le mannequin pourrait faire redémarrer la cage, se barrer dans sa chambre et peut-être même laisser Reita roupiller dans la pièce… Hors de question. Mais il allait s’ennuyait, il n’avait pas son portable, rien sur lui. Ou pas…. Il fouilla les poche de la veste de naos des clopes, des cachets anti-douleurs; sa pourrait lui être utile ça. Rien d’autres, quelques papiers, des numéros, rien de très important.

Il retira la veste, fallait dire qu’il faisait assez chaud dans l’ascenseur. Il la posa dans le coin et s’assit dessus. Puis vint le tour de son pull. En le retirant, son débardeur se souleva un peu, laissant apparaître bout de torse et bandages. Il mit en boulet le vêtement et s’en servie de coussin . Ainsi il était à moitié coucher contre le mur dans une position bien plus confortable. Son avant bras droit était recouvert de bandes, sa lui donner l’air d’une momie. Il rigola doucement pour lui-même. Il fouilla ensuite ses poches, il y trouva son porte feuille et par chance son nm4. Certe il devait être à moitié vide de batterie mais c’était déjà mieux que rien. Il l’alluma et enfonça les écouteurs dans ses oreilles, fermant les yeux. Si Akio n ‘avait pas été la il se serait sûrement mit à chanter, mais bon, même si il adorait le groupe dont il était en train d’écouté une chanson, il se retiendrait. Il leva les yeux vers le blond.

- Ca va, tu t’ennuis pas trop j’espère ?

Ouais car bon, il ne voyait pas se qu’il y avait de distrayant à se tortillait une mèche de cheveux…
Reita s’affala davantage et posa main sur son ventre fixant à présent le plafond chantant dans sa tête. De toute Façon qu’avait-il d’autre à faire ?

Un soupira traversa les lèvres du mannequin, à cet instant il ne saurait dire s'il détestait plus les gérant de l'hôtel ou Reita pour les laisser coincer dans cette cage d'ascenseur. En continuant de tourner et de retourner sa mèche entre ses doigts il lorgna son vis-à-vis s'allonger presque dans la cage métallique de la musique dans les oreilles.

- Ça va, tu t’ennuies pas trop j’espère ?

Uruha détourna les yeux, ne prenant même pas la peine de lui répondre, en colère, comme si la soirée n'avait pas suffit il fallait qu'il en rajoute, et pour couronné le tout il faisait une chaleur monstre dans l'ascenseur. Après intense réflexion il décida de retirer sa veste malgré sa tenue osée juste en dessous, après tout il n'allait pas crevé de chaud pour le bon plaisir du bassiste. Il se leva donc et retira sa longue veste qu'il laissa au sol. Puis il s'appuya contre la rambarde pour regarder dehors, la ville plongée dans la nuit. De là où il devait être, la vue pour Reita devait être plutôt satisfaisante puisque le blond portait des portes-jarretelles, comme à son habitude. Au bout d'un moment, il s'accouda même à la barrière, posant sa tête sur ses mains, à la recherche d'une idée lumineuse pour sortir d'ici. Alors qu'il suivait des yeux les rares voitures qui passaient par là, l'idée parfaite vint à son esprit. Il se retourna et regarda Reita : il était quasiment allongé de tout son long et avait les yeux fermés. Quelle parfaite opportunité! Le guitariste s'approcha tout doucement du bagarreur, pour ne pas lui faire ouvrir les yeux, et s'assit à califourchon sur son bassin. Il voulait jouer? Eh ben il allait être servit. Le blond approcha son visage tout proche de celui de son vis-à-vis le regardant le plus hautainement possible.
À quelques millimètres de sa bouche il s'arrêta pour chuchoter quelques mots.

-Ben alors? Je te croyais plus endurant...

Certes il aurait pu essayer d'atteindre le bouton pour arriver à ses fins mais ce n'était une bonne idée que s'il désirait s'en prendre une. Il n'avait pas la force de Reita, il était doué dans un tout autre domaine. Il continua de fixer les prunelles de son vis-à-vis de ses yeux dorés. Il baissa par la suite les yeux vers les lèvre du bassiste et passa doucement sa langue sur celles-ci avant de remonter plonger ses yeux arrogants dans les siens.

Invité

Il avait peut-être les yeux fermer, mais il ne dormait pas. La musique le tenait éveillé. Mais malheureusement, elle le coupait aussi du monde extérieur et il ne vu donc pas quand Akio s’approcha de lui pour s’asseoir à califourchon sur lui. Il rouvrit les yeux sous le coup d’une légère douleurs qui lui traversa l’abdomen et toisa le regard hautain du guitariste. Heureusement qu’il ne s’était pas assit plus haut sur son ventre, il l’aurait fait gémir de douleurs. Il se redressa un peu se rendit compte que son visage était à quelque centimètres de celui du blond, voir quelques millimètres.

- Ben alors? Je te croyais plus endurant...

- Fais-toi tabasser à coup de barre en fer, on reparlera d’endurance après, tu veux bien ?

Un sourire ironique s’étira sur sa bouche, celle-ci fut bientôt caresser par la langue du guitariste. C’était déjà bien mieux comme caractère, mis à part ce sale regard arrogant. Reita garda son calme et son sang-froid. Il ne devait pas se laisser manipuler, pas une fois de plus, il fallait que lui gère le tout. Et pour ça il lui fallait le point faible d’Akio. Après avoir coucher avec lui un bon nombre de fois et donc le connaître un minimum il savait par ou attaquer ! Il resta un moment immobile puis se décida à passer à l’action. Il se redressa encore et posa ses bras sur les épaule du mannequin, joignant ses mains derrière sa nuque. D’un ton enjoué, oui car il peut l’être, il lança

- Pourquoi tu viens me voir ? Tu te sens seul ?

Il rapprocha sa bouche de l’oreille d’Akio, soufflant doucement dedans. Puis il resserra son étreinte, donnant une sorte de câlin très affectif au blond tout en murmurant à son oreille.

- Tu veux un câlin ?

Le bassiste rigola doucement, tout en gardant le blond dans ses bras sachant pertinemment que lui détestait ce genre de geste affectif. C’était de la provocation et c’était aussi plein de sous-entendus. De plus il gardait sa bouche près de l’oreille de son compagnon, soufflant contre à chaque expiration. Il ne fallait plus qu’esp que sa marche. Au cas, ou ayant remarquer qu’il s’était défait de son manteau avant de venir voir Reita, celui-ci entrepris d’en rajouter une couche:

- Cette tenue te rend encore plus beau que tu ne l’est déjà, Akio …

Reita espérait voir rougir son vis-à-vis et il se serait venger pour de bon ! Mais bon il espérait aussi qu’Akio ne se rende pas compte de l’éveil de son anatomie vue de la proximité de leur deux corps et de la chaleur dans l’ascenseur. Cette histoire aller vraiment mal tourner…

- Fais-toi tabasser à coup de barre en fer, on reparlera d’endurance après, tu veux bien ?

Quel comique, s'il s'était fait arrangé le portrait avec des barres en fer il y avait bien une raison à cela, il avait dût faire le gros dur avec l'un d'eux quelques temps auparavant. Qui sème le vent récolte la tempête. Uruha resta malgré tout assis sur le bassin de son vis-à-vis, d'humeur plutôt joueuse soudainement, il contait bien s'amuser un peu. Quitte à être coincé dans cet ascenseur autant en profiter, n'est-ce pas?
Seulement il n'y avait qu'une chance sur mille pour que le bassiste ne réagisse pas et donc...

- Pourquoi tu viens me voir ? Tu te sens seul ?

Le mannequin leva les sourcils, c'était quoi la blague là? Genre il se sentait seul... Ce n'était pas son genre, il avait juste envie de s'amuser un peu en compagnie du grand blessé.

- Tu veux un câlin ?

Sans s'en rendre compte il se retrouva serré contre son vis-à-vis pour un "câlin". Bien que le souffle chaud du bassiste dans son oreille était quelque chose de plutôt excitant, le mannequin serra les dents, il détestait ce genre d'étreinte affective. Toujours dans les bras de Takeo, Uruha réfléchissait à commencer lui renvoyer la pareille. Au fond ce jeu l'amusait assez.

- Cette tenue te rend encore plus beau que tu ne l’est déjà, Akio …

Un sourire orna les lèvres du jeune blond et il répondit du tac au tac :

-Je sais, mon client m'a dit exactement la même chose tout à l'heure.

Sur ce il se défit légèrement de l'étreinte du bassiste et tourna la tête dans sa direction pour lui mordiller le plus sensuellement possible son lobe d'oreille. Une fois lassé il poussa Reita par les épaules à terre se pencha en dessus de lui; une main de chaque côté de son visage, le regardant avec un air joueur qui ne disait rien qui vaille.

-Blessé ou pas, je remarque que je te fait toujours facilement de l'effet.

En disant cela, et sans décroché son regard de celui de son vis-à-vis, sa main attrapa violemment le sexe tendu du bassiste. Un sourire provocateur ornait les lèvres d'Akio.

Invité

- Je sais, mon client m'a dit exactement la même chose tout à l'heure.

Son visage changea littéralement d’expression. La il était jaloux, en colère, au bord du pétage de plomb et de la crise de nerfs. Pourtant il ne bougea pas, resta aussi immobile qu’une statue, les yeux plonger dans la contemplation de la vitre, les lèvre serré et un regard plus que mauvais accrocher au visage. Et il comprit qu’il était bel et bien jaloux et tellement occupé à se prendre la tête que quand Akio s’occupé à lui mordillé le lobe qu’il n’en ressentit rien. Il ne reprit ses esprit qu’un fois allonger sur le sol, quand le guitariste posa violemment sa main sur sa virilité tendus après avoir lancer une quelconque phrase qui ne faisait qu’énervé un peu plus le blond. Son expression froide était de retour, comme au jour de leur rencontre. Il aurait pu à la limite lui pardonner, mais c’est qu’il n’avait pas été délicat avec l’anatomie du creux.

- K’so…

Un murmure, un soupire. Il se redressa très vite, empoignant le guitariste par le col.
Il se releva, emmenant avec lui le léger blond sans problème. Une fois tous deux sur leurs de jambes il le repoussa, contenant quand même sa colère, en arrière et lança sèchement

- Bien alors, t’as cas appeler ton client, il sera sans doute bien plus excitait que moi à l’idée de baiser avec toi dans l’ascenseur, et puis tu seras sans doute bien plus délicat avec lui.

Il était devenus vulgaire dans sa lancer. Mais il venait de dévoilait sa jalousie en quelque sorte.
Quoi que, il pouvait très bien penser qu’il ne s’était énervé qu’a cause du manque de délicatesse qu’il avait eu envers lui. Il supportait les coups et pensais en avoir déjà bien assez prit ce soir. Alors, il se retourna vers les boutons et remis l’ascenseur en marche, mais cette fois vers le bas. Il n’avait qu’une envie à présent: se barrer et se cacher sous son lit. Mais connaissant Akio, celui-ci allait sans doute faire un ou deux commentaires, ridiculiser Reita ou bien l’embetait. Il enfila sa veste et s’appuya contre le mur, dos à Akio. Il ne voulait même pas lui adressait un regard.

C'est avec satisfaction qu'Akio vit le visage de son vis-à-vis changer littéralement d'expression. Bien fait, il n'avait cas pas le bloquer dans ce foutu ascenseur. Il n'avait l'air pas content du tout ce qui rendait le mannequin tout à fait fière de lui, lui aussi savait toucher ou ça faisait mal. Contrairement à son air je m'en foutiste il avait légèrement remarqué le comportement de Takeo en sa présence.
Le blond se vit toisé froidement du regard par le bassiste, ce même regard froid qu'il avait eu pour lui la première fois qu'ils s'étaient vu où Akio lui avait dit d'aller s'étaler autre part sur un ton on ne peu plus glacial.

- K’so…

Un soupira sortit de la bouche de Reita et le guitariste continuait de la fixer, attendant sa réaction. Cette dernière vint rapidement : le bagarreur l'empoigna par le col pour le relever. Akio se disait que décidément c'était une brute celui-là, il pouvait la traité un peu mieux que ça même s'il était mal luné, zut.

- Bien alors, t’as cas appeler ton client, il sera sans doute bien plus excitait que moi à l’idée de baiser avec toi dans l’ascenseur, et puis tu seras sans doute bien plus délicat avec lui.

Oh. Mais quel a-d-o-r-ab-l-e trait de caractère que voilà! Le bassiste était jaloux, comme c'est chou!
Uruha haussa les sourcils et se retourna pour appuyer d'un coup sec sur ce bouton qui, quelques secondes auparavant, était son pire ennemi. Le mannequin se dirigea vers Reita, le regardant intensément. La cage d'ascenseur était stoppée entre deux étages et Akio n'allait pas lui faire la joie de la redémarrer sans rien lui dire.

-Comme c'est mignon... tu es jaloux.

Uruha n'aurait jamais cru que son vis-à-vis était le genre de personne a être jalouse, surtout pour quelqu'un qui n'est pas son petit ami, mais le fait était là : il n'avait pas réussit à le cacher. Le blond s'adossa à la cage d'ascenseur juste à côté du bassiste.

Invité

L’ascenseur s’arrêta de nouveau. N’empêche que quelques minutes plus tôt c’était lui qui n’avait pas l’intention de laisser l’ascenseur redémarrer, à présent qu’il voulait se barrer d’ici, Akio venait de le remettre à l’arrêt. Fallait savoir ce qu’il voulait à la fin ! Ils se regardèrent pour l’un froidement et pour l’autre hautainement. Décidément cette soirée s’avéré être pleine de rebondissement.

- Comme c'est mignon... tu es jaloux.

Hors de question de faire quoi que se soit d’idiot. Il resta calme, regardant le blond bouger et s’adosser au mur juste à côté de lui. A son tour, il se déplaça. Il alla se mettre devant Akio, une jambes de chaque des siennes, il prit appuis sur le mur de sa main placer à côté de la tête du guitariste. Son autre main vint de poser sur la taille du blond. Alors que sa bouche s’approcher de l’oreille du mannequin, sa main se déplaça aussi. Elle glissa jusque l’entre jambe du guitariste qu’il pressa doucement.

- T’emporte pas, j’vais te faire subir la même chose, tu me dire si tu es jaloux ou en colère ? Ou tu préfère que je ne le fasse pas…peut-être ?

Il avait tout d’un pervers, psychopathe complètement taré. Il souffla contre l’oreille du blond avant d’aller mordiller à son tour son lobe d’oreille. Sa main se faisait plus insistante mais il attendait d’avoir une réaction du blond avant de réellement passait à l’attaque. Au fond il n’avait aucunement l’envie de lui faire du mal, mais si Akio tenait tellement à chercher des noises, il pourrait vite changer d’avis. Mais il savait aussi qu’avec cette voix il pouvait être tout fait persuasif, il sourit, arrêtant de martyrisé le lobe. De nouveau son souffle vint se perdre contre l’oreille du guitariste, puis il déposa un baisers suave près de celle-ci. Sa pressa un peu plus le sexe du mannequin au travers de son pantalon, il essayait de ne pas dépasser les limites et il ne voulait pas non plus passer pour un réel psychopathe avec des envies de viols. Reita avait envie du corps d’un Akio consentant, mais bon, rien n’était encore sur.

- Alors, tu as changer d’avis ?

Il haussa un sourcil, gardant sa bouche près de l’oreille du mannequin, pour être sur que celui-ci entende bien ce que lui susurrer le bassiste. Son autre main vint déplacer quelques mèches sur le cou d’Akio, comme une vampire qui dégagerait le chemin à ses crocs.
Mais Reita faisait seulement ça pour se distraire, bien que les réaction du mannequin étaient tout aussi marrante.

Le guitariste s'attendait à se faire frapper, brûler, assassiner mais pas à ce que Reita agisse comme il le fit. Ainsi Uruha arqua un sourcil, suspicieux, en voyant le bassiste mettre ses jambes de part et d'autre des siennes, sa main juste à côté de sa tête. D'ailleurs Akio suivit des yeux sa main lorsqu'elle vint se poser à cet endroit. Il ne le me prenait pas...mal? Seulement son autre main vint se poser sur sa hanche pour ensuite glisser contre son entre-jambe, Uruha le regardait faire ne comprenant pas comment son vis-à-vis pouvait changer aussi rapidement de comportement et d'humeur.

- T’emporte pas, j’vais te faire subir la même chose, tu me dire si tu es jaloux ou en colère ? Ou tu préfère que je ne le fasse pas…peut-être ?

Akio plissa les yeux en toisant le regard de Takeo d'un regard qui montrait bien qu'il ne comprenait pas trop où il voulait en venir. Il assumait le fait d'être jaloux? Ah non ça c'était trop bizarre! Il sentit la pression sur sa virilité se resserré légèrement alors qu'il ne réagissait toujours pas, c'était un malade ce type. Mais ce serait mentir s'il disait qu'avec ce regard son vis-à-vis n'était pas complètement attirant. D'ailleurs ce dernier se mit à lui mordiller doucement l'oreille comme lui quelques minutes auparavant. Les mordillements furent suivis d'un chaud baiser juste à côté de son oreille, décidément il était convainquant.

- Alors, tu as changer d’avis ?

Uruha le regarda avec arrogance avant de le pousser violemment contre l'autre paroi du mur pour l'embrasser furieusement. Il se colla tout aussi violemment à lui passant une de ses jambes autour de sa taille, pour se rapprocher un peu plus de lui. Si c'était ce qu'il voulait il avait drôlement bien réussit son coup. Uruha força l'entrée de sa bouche avec sa langue, ne lui laissant pas la possibilité de le repousser. Puis il se recula et le fixa intensément.

-T'es jaloux mais c'est étrangement excitant dans ton cas...

Il attrapa la lèvre inférieur du bassiste et la lui mordilla en restant les yeux encrés dans les siens.

Invité

Les choses sérieuses allaient enfin commencer ! Bon avouons que, Akio et la délicatesse c’était pas encore ça mais bon il s’y ferais vue que ce n’était plus si désagréable que ça. Il passa ses bras derrière le cou du blond, prenant part au baiser, le plus langoureux de la soirée pour l’instant. Puis Akio y mit fin. Il se recula un peu et le fixa dans les yeux.

-T'es jaloux mais c'est étrangement excitant dans ton cas...

Reita ne dit rien, soutenant le regard de son futur amant. Il leva un sourcil, provocateur. Puis le guitariste revint à lui, commençant à lui mordillé la lèvre inférieure tout en le fixant de ses yeux dorées. A nouveau il soutint son regard et s’empara de sa bouche. Ses bras encerclèrent le coup de son vis-à-vis qu’il sera un peu plus contre lui. Sa cuisse vint doucement pressé son entre jambe et ses mains longèrent le dos du blond.

C’était enfin partie, et cette fois pour de bon. Reita se sépara de son partenaire le temps de retire sa veste. Il commencer à faire très très chaud dans la pièce. Ses mains partirent exploré le dessous des vêtement de cuir d’Akio, tantôt ses hanches tantôt son torse. Leur baisers se rompaient parfois, le temps de regard de braise. Dans un ascenseur, qu’Est-ce que sa pouvait être excitant ! En plus il donnait sur la ville, mais il devait être dans les 2 heure du matin, personne ne verrait quoi que se soit. L’hôtel s’était calmer par rapport à leur arrivé, ils ne risquaient donc pas d’être interrompus. Du moins il l’espérait.

Le bassiste plaqua son compagnon contre la vitre et entreprit de lui retiré son en baissant ô lentement la fermeture éclair. Il dévoila enfin le torse imberbe du mannequin sur le quel il fit glisser ses doigts. Bon, n’empêche que debout, pour leurs petites affaires, se ne serait pas très pratique. Il attira Akio avec lui sur le sol, se couchant, le blond par-dessus lui. Il goûta une nouvelle fois à ses lèvres, qu’il mordilla un peu avant de quitter.

- Dit, tu préfère coucher avec qui ? Ton fameux client de tout à l’heure ou moi ?

Il leva un sourcil et étira un sourire sur son visage.

Une pression sur son entre-jambe et des mains qui longent le dos du guitariste. Eh bien s'il y avait une chose de sûr c'est que Reita était jaloux mais pas longtemps.
Rapidement le mannequin se vit plaquer contre la baie vitrée donnant sur la capitale alors que son vis-à-vis s'activait à baisser lentement la fermeture éclaire de son costume en cuire noir. Akio se laissait docilement faire, il le préférait tout de même comme ça qu'à la limite de le frapper avec des yeux de psychopathe. Takeo continuait d'embrasser Uruha comme si c'était la dernière fois qu'ils se voyaient, rompant de temps à autre le lien pour un échange de regard torrides. Apparemment l'ascenseur stimulait fortement la libido de ce cher bassiste. N'avait-il jamais fait ça dans un ascenseur? Ça paressait assez inconcevable à l'androgyne. Puis le bagarreur sembla se rendre compte que debout, pour ce qu'ils avaient l'intention de faire, ce n'était pas très confortable, il attira donc le mannequin à terre avec lui le faisant s'allonger sur son corps. Akio ne dit rien, se laissant une fois de plus embrasser par l'homme qui allait être son amant une fois de plus.

- Dit, tu préfère coucher avec qui ? Ton fameux client de tout à l’heure ou moi ?

Le jeune mannequin haussa un sourcil en dévisageant son vis-à-vis. Il avait une irrésistible envie de répondre « mon client, il était vraiment canon! » juste pour voir la réaction qu'aurait le bassiste face à cette provocation non dissimulée. Mais pensant à ce qu'ils étaient sur le point de faire, et surtout pensant à son pauvre visage qui serait sûrement défiguré s'il disait ça il répondit ce qu'il pensait vraiment, il prit un ton sensuel à souhait pour souffler près des lèvres du blond :

-Oh ben toi!

Puis il posa ses lèvres sur celles de Reita. Il commençait vraiment à croire qu'ils étaient des animaux incapables de se contrôler... Ils ne pouvaient pas rester sans se voir sans que l'un saute sur l'autre. Ça faisait assez peur. Tout en continuant le langoureux baiser, Akio baissa la braguette du bassiste caressant du bout des doigts la bosse qui s'était formée à cet endroit.

Invité

- Oh ben toi!

Le blond sourit, participant ensuite à un autre baiser. Honnêtement, si Akio n’avait pas répondus ça il ne l’aurait pas frapper, il lui aurait simplement fait changer d’avis. Du moins essayer.
Il sentit la fermeture de sa braguette descendre sous l’action des doigts agiles de son amant. Puis celui caressa la partie d’anatomie qui commencer à étouffer sous le tissu. Sous l’effet, le bassiste se cambra un peu, lâchant les lèvres de son partenaire pour récupérait un peu d’air.
Il sourit, fixant le blond de son regard de braise. Il passa sa langes sur les lèvres du garçon avant de la faire entré dans sa bouche pour un nouveaux baiser. Ses mains partirent explorer tantôt le dos tantôt le torse imberbe du dominant [ pour le moment huhu xD ], il était plutôt doux avec lui, d’ailleurs il s’étonnait lui même un peu. Mais ce n’était que le début du commencement. Reita retira complètement le haut du blond, donnant plus d’accès à ses mains, qui se baladaient torride un partout.

Reita se demander si il n’y avait pas quelque chose qui allait pas entre eux deux. Chaque fois s’était pareil, hop il se croisait quelque part et sa finissait en coucherie. Certes il avait l’habitude de fréquenté ses meilleurs amants et amantes plusieurs fois. Mais la, quand il s’agissait d’Akio sa pouvait très bien être plusieurs fois par semaine, sa en devenait effrayant. De plus il se rendait bien compte qu’il était jaloux du fait que d’autres personnes puissent toucher son compagnons. Pourtant rien de les lié à part cette simple relation sexuelle, pas si simple que ça mais bon.
Il se disait qu’il avait sans doute peur de ne pas satisfaire le blond, ou que celui-ci se servait simplement de lui mais cette idée pouvait être réciproque. Mais pourquoi ne le satisferait-il pas ? Il avait dit qu’il était son meilleurs coup, alors bon. Le bassiste secoua un peu la tête entre deux baiser et laissa toutes ses pensées s’échapper. Oublions tout ça il avait d’autres chats à fouetté en ce moment même. [ 8D ]

Il donna un langoureux coup de bassin au guitariste et son genoux se releva pour frotter doucement sa cuisse. Quand à sa bouche, elle s’attaqua au cou du blond. Une fois de plus, il y laisserait sûrement sa marque, c’était ce qui arrivait souvent entre eux.
Il mordilla d’abord son cou, l’embrassa, le lécha avant d’y laisser un belle marque rouge/violette.
Il sourit comme fier de lui puis déposa un baiser par-dessus.

Le décoloré ne répondit rien et, très franchement, Uruha s'en fichait pas mal. Il était bien trop occupé à penser à ce qu'il faisait, son client était d'ailleurs bien loin de ses pensées actuelles. Là tout ce qui l'intéressait c'était cet ascenseur, ce bassiste et cette bosse entre ses jambes. Un langoureux coup de bassin de la part de son vis-à-vis et Akio lui lança une œillade torride, pleine de sous entendu. Il sentit également le genoux de son amant se frotter contre sa jambe, à l'endroit dénudées, puisque le porte-jarretelle laissait une belle vue ses les cuisses blanches et douces du guitariste. La bouche de Takeo glissa de ses lèvres jusqu'à son cou, Akio passa sa main dans les cheveux décoloré du bassiste, tenant ses mèches entre ses doigt alors que celui-ci embrassait son cou. L'androgyne se disait que celui-ci devait encore laisser une marque violette, il avait remarqué qu'il aimait faire ça, voulait-il avertir qu'Akio était à lui? Cette pensée faisait doucement rire le mannequin, bien que Reita soit jaloux ils n'étaient pas un couple et Uruha ne se refusait aucun plaisir avec qui que ce soit, sans doute le bassiste serait-il vert s'il savait le nombre d'amants qu'il possédait en une semaine en plus de lui... Mais il pouvait également être heureux : en dehors de son ex amant, Takeo devait sûrement être celui avec qui Akio avait couché le plus de fois. Généralement ses amants possédaient un grand maximum de deux nuit en compagnie du mannequin, alors qu'avec le bassiste il en était à un nombre incalculable.

Une fois que le bassiste laissa le cou d'Akio en paix, celui-ci se pencha sur le côté pour mettre Reita au dessus de lui, lui lançant un regard aguicheur rempli de défit. Il agrippa soudainement le t-shirt de son vis-à-vis pour lui voler un baiser tout en passant sa jambe autour des hanches de celui-co.
Puis le blond attrapa les bords du t-shirt de Reita pour le lui retirer pour le jeter négligemment dans un coins de la cage métallique. Il laissa ses doigts frôler les flancs du décoloré et comme il était toujours aussi proche de lui, Akio posa sa langue dans le creux de l'épaule de son amant, la léchant doucement attendant par là des frissons de son compagnon.

Invité

Le bassiste se retrouva au dessus. Il croisa le regard torride de son amant et releva le défit qu’il devinait dedans. A son tour il fut torse nue. Il posa sa main sur la cuisse d’Akio, la longeant doucement, passant sous le tissu pour aller caressait une partie plus haute de sa cuisse. Le décoloré frissonna en sentant la langue d’Akio près de son épaule. Il plongea son regard dans le siens tout en se léchant la lèvre supérieure. Sa bouche vint à la rencontre du haut de son torse, il le couvrit de baisers, descendant un peu plus à chaque seconde. Sa main qui arpenté un peu plus tôt la peau du guitariste partit s’activait avec la braguette du short.

Puis il décida d’aller torturé les bouton de chair de son partenaire. Du bout de la langue, il traça un sillon humide sur le torse imberbe du blond se dirigeant ainsi vers un de ses tétons. Il l’attrapa entre ses lèvres, le mordilla, le lécha il durcit tout comme l’autre qui subit le même sort. Reita remonta jusqu’au visage d’Akio. Il en dégagea quelques mèches, car il en avait depuis longtemps finis avec la braguette de son vis-à-vis. Le décoloré déposa un baiser au coin de ses lèvres, puis un plus insistant. C’est qu’il les aimait les lèvres pulpeuses de ce blond. Après un baiser il le regarda chaudement, souriant d’un sourire qui exprimait les douce torture qu’il allait lui faire subir ! Ses lèvres se reposèrent sur le torse pâle du guitariste et sa langue descendit jusqu’au nombril. Il retira son short ainsi que ses jar elle au blond et commença à lui masser sa virilité par-dessus le tissu de son sous vêtement. Pendant ce temps, sa langue jouait autour de son nombril et il fixait, souriant, son amant du regard. Il déposa un baiser à la limite de l’élastique du boxer du blond et libéra enfin sa partie d’anatomie qui ne demandait sûrement que ça.

Mais, ! Il n’y toucha pas, ou presque. Il la frôlait du bout des doigt, ses baisers et sa langue n’allaient qu’à la limite et il fixait sans s’en lacer le blond qui allait finir par pété un câble. Ça aurait été drôle en tout cas. Puis il remonta jusqu’au visage du guitariste Et lorsqu’il l’embrassa, sa main vint se refermé sur la virilité dressé de son amant. Il y exerça de lent vas et viens qui s’accélérèrent peu à peu.

Bien que le sol en bois de l'ascenseur n'était pas quelque chose de vraiment très confortable pour ce qu'ils étaient en train de faire, Akio ne bronchait pas et laissait le dominant prendre soin de lui. C'était souvent comme ça d'ailleurs : Reita au dessus et Akio en dessous. Même si quelques exception à la règle étaient toujours les bienvenue. L'androgyne ferma les yeux, laissant les paumes du bassiste se balader sur son corps imberbe et pâle tel le teins d'une poupée de porcelaine. Il se mordit légèrement la lèvre inférieure lorsque les dents de son amant s'aventurèrent sur ses boutons de chair qui durcirent rapidement sus le geste de son vis-à-vis, le blond se forçait de ne pas gémir aussi rapidement : ce n'était que le début.

Ses yeux s'ancrèrent dans ceux de Reita lorsque celui-ci dégagea quelques mèches dorées de son visage pour ensuite l'embrasser une nouvelle fois. C'était étrange cette façon qu'ils avaient de s'embrasser, l'un réclamait toujours des les lèvres de l'autre, même lorsqu'ils ne couchaient pas ensemble par la suite. Le guitariste fit glisser ses mains de haut en bas du dos de Reita, le rapprochant de lui pour approfondir leur baiser.
Puis, les lèvres du décoloré glissèrent le long de son torse pour arriver à la hauteur de son nombril pour en lécher le pourtour alors que ses mains s'activaient à libérer son sexe douloureux. Sous la caresse des doigts de Takeo, aussi douces qu'une plume, des frissons parcoururent le corps du mannequin, tout le long de son échine. Akio se cambra contre le corps de son amant. Un déclic survint et l'androgyne se redressa légèrement pour enlever rapidement le pantalon du bassiste rapidement suivit pas le boxer de celui-ci qui vu envoyé comme un vulgaire bout de chiffon à l'autre bout de l'ascenseur. Uruha lui fit un sourire aguicheur et prit sa main pour mettre ses doigts dans sa bouche et les lécher de façon provoquante, ses yeux ne se détachant pas de ceux de son vis-à-vis.

Invité

Reita fut satisfait de sentir le corps du guitariste cambré contre le sien. Ils restèrent quelques secondes ainsi, torse contre torse. Le bassiste fut bientôt contraint de lâcher le sexe dressé de son amant car celui-ci se redressait un peu pour le mettre complètement nu à son tour. Il était bien pressé d’un coup et lui-même frémit d’impatiente quand la langue de son compagnon lécha ses doigts. Le dominant, assis à califourchon sur Akio lui donnant un autre cou de bassin. Puis il sortit ses doigts de sa bouche, les faisant glisser sur son menton et son torse pour enfin parvenir à ses cuisses. Reita se déplaça et s’agenouilla entre les jambe du guitariste. Il déposa ses lèvres sur son sex dressé, il n’y laissa qu’un baiser, relevant les yeux vers le blond.

Il re humidifia ses doigts et les glissa sous le fessier d’Akio. Il le pénétra pour commencer avec un seul doigt, commençant à élargir doucement son entrée. Son autre main se posa sur la hanche du soumis, remontant parfois caresser ses abdos. Sa bouche se rabaissa contre le sex érigé de son amant. Il allait enfin vraiment commencer sa douce torture. Tout en faisant entré un second doigt en Akio, il lécha de tout son long la partie d’anatomie gonflé de désirs. Arrivé en haut de celle-ci il y déposa plusieurs baiser, le suçota gourmandement. Il fixa le blond d’un regard ardant avant de prendre l’objet totalement bouche accélérant par l’occasion ses mouvements de doigts.

Bon il restait un petit problème à réglé pour la suite des évènement. Les protections ! Reita n’en avait pas sur lui et il n’en avait pas trouver dans les poches de la veste de naoki. Mais tel qu’il naissait Uruha, celui-ci devait en avoir sur lui, en tout cas il l’espérait. La seule fois ou ils l’avaient fait sans protection ils étaient plus que bourré car sino ils avaient toujours fait attention à avoir des préservatifs sur eux.

Akio regarda, avec une légère étincelle dans le regard, le visage de Reita qui était concentré sur le fait de faire glisser ses doigts humidifiés pas le guitariste de son coup jusqu'à son torse pour arriver par la suite sur les cuisses douces du guitariste. Les lèvres de son amant se posèrent sur son sexe tendu et le jeune homme rejeta la tête en arrière, il sentit un rapidement un doigt entrer en lui. Reita était un des rares à prendre cette peine avec l'androgyne, vu qu'il se prostituait ses clients ne se souciaient guère de son bien-être, ils se contentaient de tirer leur coup et Uruha comprenait très bien : il était là pour ça après tout, pas pour prendre son pied lui aussi.
Tout aussi rapidement un deuxième doigt s'insinua en lui, le guitariste commença à bouger doucement son bassin sur les doigts de son amant. En même temps celui-ci fit glisser sa langue le long de sa virilité, la tête toujours en arrière, Akio ferma les yeux appréciant simplement la sensation de bien être que cela lui produisait. N'importe qui aurait put penser que Reita n'étais qu'une brute dans n'importe quelle situation et pourtant Akio avait toujours pensé qu'avec lui il était très souvent compréhensif, même si ce dernier ne voulait pas forcément le montrer ça se voyait. À un moment, Takeo prit sa virilité douloureuse par le plaisir en bouche, jouant de sa langue comme s'il s'attaquait à une sucrerie. Le blond restait dans sa position de départ, se mordant la lèvre pour ne pas gémir : jusque preuve du contraire les ascenseur n'étaient pas insonorisés.
Puis, le décoloré lâcha sa friandise regardant dans le vague, Uruha se releva sur les coudes et le fixa longuement : il ne mit pas dix ans à comprendre ce que cherchait son amant.

-Préservatif?

Le mannequin se pencha légèrement sur le côté de façon à attraper sa veste en cuire et tendit le petit carré à Reita avec un sourire malicieux.

Invité

Akio se releva et comprit vite le pourquoi du comment. Et comme Reita l’avait prévue, il avait effectivement des préservatifs sur lui. Il lui tendit le petit carré en souriant. Le bassiste ne le déchira pas de suite, il se pencha au dessus du soumis, profitant que celui-ci sois un peu redressé pour aller l’embrasser langoureusement. Il frôla son torse du bout des doigts puis sa virilité encore humide par le passage récent de la bouche du bassiste. Il se remit à genoux et ouvrit le préservatif pour ensuite se le mettre. Puis, il souleva le bassin du blond, il attrapa ses cuisse pour qu’elles soient contre ses hanche et doucement rentra en lui. Il empoigna ses hanches et descendit sa bouche contre le torse du blond l’embrassant, le léchant et le mordillant.

Enfin il commença de lent vas et viens. Reita se trouvait lui calme et attentionné quand il couché avec Akio. Mais il se disait que, comme il était une prostitué, tous ses clients ne devait pas prendre soin de lui, non sans doute loin de la. Pour eux il n’était qu’un vidoir, en tout cas c’était se qu’il pensait de ses personnes la. Reita eut un peu mal au cœur pour le guitariste. Il avait tout pour plaire, il avait de l’argent, était mannequin ! Alors pourquoi se rabaissait-il à faire les trottoirs pour gagner plus d’argent ? Mais bon, sa devait être aussi bizarre, Akio qui était fort de caractère devait se montrait bien soumis à ses clients… Décidément, le bassiste ne comprenait vraiment pas pourquoi. Il oublia toute ces pensées inutiles et se concentra davantage sur ce qu’il était en train de faire. D’ailleurs il se rendait compte aussi, que quand les deux couchaient ensemble, Reita dominé la plus part du temps. Enfin, leur première nuit ensemble, Reita avait voulu que l’on s’occupe de lui et Uruha avait prit les rennes en main et se fut l’une des rares fois ou il le fit. Sa devenait un reflex pour le blond d’être au dessus et de s’occupé du bien être de son amant.

Il accéléra ses mouvements et empoigna la virilités, qui devait se sentir délaissé, du guitariste. Il entama des vas et viens qui se rythmèrent au mouvements de bassins. Le bassiste fixa l’androgyne dont la tête était rejeter en arrière, celui-ci semblait se retenir de gémir, d’un côté, l’ascenseur n’était pas insonorisé, d’ailleurs aucun ascenseur n’était insonorisé au savoir du blond. Puis en son tour en envahis par le plaisirs, il leva les yeux au plafond. Il se mordit la lèvre inférieure en rabaissant la tête. C’est qu’il était incroyablement beau le mannequin, nue, couvert de sueur, haletant…

Le bassiste prit le carré et profitant qu'Akio soit légèrement plus proche pour lui voler un baiser langoureux, pendant l'échange la main du guitariste vint se poser sur la joue de son amant sans même qu'il ne s'en rende compte, ce baiser était étrangement tendre, Uruha n'était pas habitué à ça. Vraiment pas.
Il se rallongea et sentit Reita prendre possession de ses hanches pour l'empaler correctement sur lui, le blond fermait les yeux, respirant calmement.
Une fois en lui jusqu'à la garde, le bassiste commença de longs et langoureux coup de bassin à l'intérieur du mannequin, celui-ci avait la respiration qui commençait à s'accélérer mais avait les yeux fermer, s'imaginant les mimiques du visage de l'homme avec qui il partageait tant d'intimité.
Le guitariste rouvrit les yeux et regarda Takeo qui avait la tête penchée en arrière tout en accélérant quelques fois le mouvement de ses coups de hanches, Akio sourit légèrement, même parmi ses avant il était rare que quelqu'un soit aussi délicat avec lui, en un sens il ne savait pas trop quoi penser de sa relation avec Reita..Il sentait bien qu'il commençait à s'attacher à lui mais il ne voulait pas, il savait à quel point il était un petit ami difficile à supporter, d'autant plus il n'aurait sûrement pas la force d'arrêter la prostitution, et il aurait sans doute l'impression de tromper son ex-amant bien que celui-ci soit décédé.
Uruha secoua légèrement la tête comme si toute ses sombres pensées allaient disparaitre. Les coups de hanches du décoloré redoublèrent de vitesse ainsi que les coups de bassin de celui-ci pour sentir Reita plus profondément en lui. Lorsque le bassiste toucha la prostate d'Akio, celui-ci se libéra en un léger gémissement puisqu'il retenait toujours ses lèvres closes pour ne pas crier trop fort. Quelques secondes plus tard Reita se libéra également. Tout deux retombèrent à terre, haletant et épuisé. Akio tourna la tête vers le bassiste

-Je crois qu'on est des animaux, incapables de nous contrôler.

Un léger sourire vint éclaircir le visage du guitariste.

Invité

Les deux finirent allonger par terre, haletant et épuisé par ce qu’ils venaient de faire. Ils reprenèrent leur souffle. Reita fixer le plafond, souriant légèrement. Cet acte lui avait fait oublier ses récentes douleurs mais il se doutait que le lendemain, tout ressortirait. Heureusement qu’il avait les pilules contre la douleur, Naoki ne lui en voudrait pas si il lui en empruntait quelques une. Finalement, la voix d’Akio rompit le silence qui s’était installer dans la petit pièce.

-Je crois qu'on est des animaux, incapables de nous contrôler.

Il ne répondit pas de suite. Finalement il roula sur le côté et s’appuya sur le torse du blond. Lui aussi souriait. Dans un sens il n’avait pas tord mais Reita ne pouvait s’empêcher de rajouter une couche, ou du mois de dire quelque chose qui pouvait embetait le blond ou encore par chance le faire rougir. C’était comme si il aimait s’attiré les foudres du blond, mais au final sa finissait toujours bien alors il n’avait pas à s’inquiété.

- Tu as tord ! Si c’était le cas, on serait pas encore entrain de se reposer.

Le bassiste sourit presque vicieusement et posa ses lèvre sur le torse du blond. Il remonta jusqu’à son cou, prenant un malin plaisirs à le mordiller. Puis il contempla la marque qu’il y avait laisser quelques temps plus tôt. Il lui léchouilla tendrement le cou et remonta jusqu’à sa bouche qu’il ne se lasser d’embrasser. Sa main gauche se posa sur la hanche du guitariste l’autre lui servait d’appuis. Il ne comprenait pas ses envies,certes deux animaux mais parfaitement conscient et consentant de se qu’ils faisaient. Quelque chose ne devait pas tournait bien rond entre eux. Enfin, c’était dans leur tête, Reita s’éffocait de croire qu’il ne ressentait absolument rien envers Akio, à par l’envie de son corps bien sur. Juste la jalousie le troublé mais d’être aussi tendre et attentionné envers un simple amant sexuel. Quoi que ça devenait plus compliquer qua ça. Leur relation tournait à l’étrange enfin à quelques choses d’étrange pour ces deux garçons bien trop asociaux pour comprendre la vérité.

- Tu as tord ! Si c’était le cas, on serait pas encore entrain de se reposer.

Akio le toisa du regard, un sourcil relevé. Oui enfin il n'avait pas dit qu'ils étaient des animaux hyper endurants ni quoi que ce soit. Il laissa son vis-à-vis embrasser son cou pour remonter jusqu'à ses lèvres pour l'embrasser tendrement...un peu trop tendrement d'ailleurs. Le mannequin répondit un son baiser mais de drôle de question se bousculaient dans sa tête et il y avait de quoi : jamais il ne faisait ça. D'habitude ils couchaient ensemble et puis c'était tout, plus aucune caresse, plus aucun baiser, rien du tout. Pourquoi agissait-il comme ça? Il était bizarre depuis un certain temps, il était jaloux, colérique et étrangement câlin après le sexe. Ce n'était vraiment pas normal. Le baiser prit fin, Uruha sonda un long moment les yeux du bassiste avec incompréhension, ne comprenant décidément pas cette soudaine marque d'affection. Après quelques secondes à se fixer l'androgyne reprit contenance.

-Bon allez, on va pas rester dans l'ascenseur pendant dix ans hein.

Prenant bien soin de regarder ailleurs il se releva et ramassa ses affaires une pas une avant de les passer. L'ascenseur sentait le sexe à plein nez, Akio priait pour que personne ne soit en haut à l'attendre, il ne supporterai pas d'avoir une sale réputation dans cet hôtel alors qu'il était toujours très bien traité puisque c'était un mannequin reconnu. Il alla se placer devant le bouton de l'appareil, attendant patiemment que le décoloré ait fini de s'habiller. Une fois chose faite il appuya sur le bouton et la cage de fer redémarre pour les emmener au cinquième étage où se trouvait leur chambre. Avec tout ça il avait complètement oublié qu'il devait dormir avec son vis-à-vis, tant pis il était bien trop épuisé pour se soucier de ça maintenant. Ils arrivèrent à l'étage en silence et Akio ne pût réprimer un soupir de soulagement en voyant que personne n'attendait l'ascenseur. Il se dirigea rapidement vers le numéro de sa chambre, passa la clef dans la serrure et ouvrit la porte sur une magnifique suite. On voyait bien que cet hôtel était une endroit bourgeois et bourré de classe. Il jeta les clefs sur un meuble présent à l'entrée et alla se jeter littéralement sur le lit comme un gosse qui venait de passer une journée assommante.

Invité

Reita se rendait bien compte qu’il faisait une connerie, mais c’était plus fort que lui ! Il était comme appelé par les lèvres d’Akio. Celui-ci répondit à son trop tendre baiser…Il y avait donc quelque chose qui clochait chez les deux non ? Ils se fixèrent quelques secondes, pourtant, cela parut une éternité aux yeux du pauvre guitariste qui regrettait à présent son geste. Heureusement, Akio rompit le silence, faisant presque sursauté le blond qui retira sa main de la hanche de son amant et se redressa un peu.

-Bon allez, on va pas rester dans l'ascenseur pendant dix ans hein.

Oh, mais qu’elle sublime idée ! Enfin…Reita profita qu’Akio, le dos tournait se change pour se frapper le front. Cela lui provoqua un affreux mal de tête. Il soupira d’exaspération et s’habilla. Au moment ou il enfila son tee-shirt, une douleur lui transperça l’épaule. Il murmura une quelconque injure à se la massant douloureusement. Bah oui, logiquement, les médicaments du médecin ne faisaient plus effet, et il venait de se fatigué et du moins d’en demander sans doute trop à son corps. Tout ce que lui avait déconseillé le docteur en gros. Il fixa la baie vitrée durant leur trajet jusqu’au 5ème étage. D’un coup un gros blanc et de la distance c’était re installer. D’un coup il s’en voulait comme pas possible, jamais il n’aurait du montrer sa jalousie, jamais il n’aurait du le ré embrasser. Mon dieux, il se sentait tellement idiot et stupide, jamais il ne s’était sentie aussi mal de sa vie.

Un petit "ting", son habituel des ascenseurs, signala qu’ils étaient enfin arrivée. Personne n’était la, l’hôtel était silencieux…tant mieux! Le bassiste suivit le guitariste le long du couloir. Il gardait une certaines marge de distance entre eux, allez savoir pourquoi, c’est pas comme ci il allait le manger quand même ! Reita soupira une nouvelle fois et entra la chambre à la suite de l’androgyne. Il ferma la porte derrière lui et regarda vaguement le blond se jeter sur le lit. Il toisa la chambre, très grande, luxueuse. Pourquoi dépensait-il de l’argent pour passer une seule nuit ici, c’était immense et sa comportait un seule grand lit deux places. Une sorte de mini salon trônait près d’une grande baie vitré. Il y avait une télé face au lit, poser au dessus d’un mini bar. Reita chercha des yeux la porte donnant sur la salle de bain. Une fois repérée il se dirigea vers celle-ci.

- J’vais m’doucher.

Il passa enfin la porte et fut bien heureux d’être enfin seul avec lui-même. Il ne prit pas soin de fermer la porte trop pressé de se faire finalement couler un bain. Sa ressemblait plus en jacouzi tellement il était grand mais bon, tant mieux. Il mit les jais d’eau à fond pour que le bain se remplisse plus vite. Le bassiste se plaça ensuite devant le grand miroir. Un énième soupir s’échappa d’entre ses lèvre et il commença à se déshabillait. Il posa ses fringues sur le bord du lavabo et sortit la boite de pilule du de son ami. Il en avala deux avec un verre d’eau et se dirigea vers son bain. Il stoppa les robinets et entra dedans avec un soupir de soulagement. Il avait prit soin de retiré tout ses bandages, et ayant prit de quoi faire disparaître ses douleurs se sentait bien mieux. Il voulait se laver de cette odeur de sex qui lui embrumait l’esprit. Son cerveau était malgré tout, accablé de nombreuses questions qui commencer à le mettre hors de lui. Reita s’enfonça dans l’eau jusqu’au nez, l’air perplexe. Il fallait que tout soit mis au clair, ou alors il finirait dans un hôpital psychiatrique ! Sa devenait plus qu’un simple désirs sexuel à ce rythme et sa effrayé le blond plus que tout.

» Comment on se retrouve ... [ Pv; Akio ] [ warning: lemon /!\ ]
» La belle et la bête { titre by atsu } [ pv: Akio Takahashi ]
» La belle est la bête {bis} { titre by ichi u_u xD } ~ /!\ LEMON ~ [ PV Tagaki Takeo ]
» Première nuit
» » Une nuit à risques