Comment on se retrouve ... [ Pv; Akio ] [ warning: lemon /!\ ]

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Il était tard, mais une douche s'imposer. Même si l"horaire était dépasser, qui respecté vraiment les horaires ici ? Le jeune homme était sortit après la fin des cours et entré maintenant, 10h du soir. C'était plutôt tôt, mais Takeo avait juste envie d'une bonne douche et de se calé dans un lit au chaud. Il fit craqué ses doigs tout en entrant dans le batiment et se dirigea d'abord vers le dortoirs. Il lui fallait de nouvelles affaires ainsi que celle de toilette. Il esperait ne trouvait personne dans sa chambre, ou alors il devrait faire attention si quelqu'un y dormait. Il n'avais vue que très peu ses colocataires, il ne dormait pas souvent ici, et pour eux caqa devait être pareil.

Il entra donc dans sa chambre, vide de monde et tant mieux. Il alluma la grande lumière et manqua de s'étalet au milieux de sa chambre en s'emmelant les pieds dans les lanières d'un sac lancer par la. Il maudit le crétin qui avait pu faire ca et se dirigea vers son armoire. Il en sortit le necessaire qu'il prit dans son bras droit, il vérifia l'heure et ressortit de la chambre. Cette fois, direction la salle de bain. A cette heure si il ne devrait y trouver personne, et donc il serait tranquille !

Takeo entra dans la grande pièce carrelé. Il posa ses affaires propre sur une petite étagère accrocher au mur. Le blond se placa devant la glace ou il admira regarda son visage. Aucune marque de cou, ce soir il y avait été comme un pros ! Enfin, c'était pas comme si ca avait était très dur non plus. Il se déshabilla et lança sa serviette sur la porte de la cabine de douche ou il irait. Le tissu se cala et ne tomba pas. Le bassiste rejoins donc la capine ou il s'enferma, il fit couler l'eau et la réglé de façon à ce qu'elle soit très chaude. Il s'appuya contre le mur, bien que froid et resta longuement sous la douche. C'est fou ce que ca pouvait lui faire du bien, mais lui voulait ensuite aller se caler dans sonlit, la douche risquer plus de le réveilé.Mais, il n'y pensait pas vraiment la.

Il arrêta un moment la douche histoire de se laver. Takeo utiliser souvent du gel et de la laque pour se coiffé donc il lui fallait un moment pour que ses cheveux soit un minimum débarrasser de tout ca. Il se lava donc soigneusement les cheveux puis le corps. Il ralluma la douche et n'attendit pas la porte s'ouvrir.

Quoi de mieux qu'une bonne douche? On ne pouvait pas dire que ce fût une journée bien fatigante ou même longue pour le jeune mannequin. Il avait passer son après-midi dans les boutiques les plus chères de la capitale pour se dégoter le plus possible de nouvelles fringues pour tous les jours mais également pour son « job ». Une fois cet après-midi passé il avait reçu un coup de fil d'un vieil « ami » dirons-nous (puisqu'on sait tous qu'Akio est associable) qui est en réalité juste un de ses anciens coups, il ont but, fini dans un lit et il s'en est allé. Voilà pourquoi la douche était amplement méritée. Seulement en entrant dans la pièce le bruit d'une cabine de douche en service lui parvint aux oreilles. Peu désireux de prendre une douche avec un inconnu dans la cabine voisine, il s'adossa au mur ayant pour idée d'attendre que l'étranger sorte avant de se plonger lui aussi sous l'eau brulante. Il sortit son baladeur et enfonça les deux écouteurs dans ses oreilles pour dire de s'« occuper » un minimum. Il n'aurait pas penser trouver quelqu'un dans les douches de l'internat à 22h... Le mannequin fronça d'ailleurs les sourcils en voyant l'heure affichée par son portable, par réflexe il leva les yeux vers la pendule accrochée au mur, c'était la même. C'était tellement rare pour lui de rentrer aussi tôt... avant ça il ne s'était pas rendu compte à quel point la soirée avait dût peser sur son inconscient.

Environs cinq bonnes minutes s'écoulèrent et l'inconnu occupant l'une des douches n'était toujours pas sortit. Il comptait dormir dans la cabine ou quoi? Une drôle de vibration au niveau de sa poche fit sortir Akio de ses méchantes pensée envers cet étranger. Il ouvrit son portable d'un mouvement fluide du poignet en retirant au même moment l'un de ses écouteurs de ses oreilles.

- Takahashi Akio.

Ce fût en levant les yeux au ciel qu'il reconnu la voix de son interlocuteur. Bien qu'ils venaient de se quitter il fallait qu'il lui téléphone... Il y en avait c'étaient vraiment des cas. Il l'écouta d'une oreille distraite, prêtant plus attention à sa musique qu'il fredonnait silencieusement en remuant juste les lèvres. Il n'aurait sût dire si son coup du soir lui parlait de quelque chose de réellement important où d'un truc aussi débile que la météo. À cet instant l'amoureux de la douche se décida à ouvrir sa cabine.

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Après une bonne vingtaine de minutes il éteignit l’eau. Ca faisait un bien fou de prendre une douche bien chaude. Il attrapa la serviette qu’il avait précédemment accroché sur la porte de sa cabine de douche et se sécha négligemment le corps. Il se l’accrocha autour de la taille et sortie de la cabine. Précisons qu’il n’avait pas entendu la personne présente dans la pièce entré. Il était bien sur trop concentré sur sa douche. Il sortit donc de sa douche tout en se frottant les cheveux et se dirigeant vers les classe situé au dessus des lavabos. C’est d’ailleurs grâce au glace (ou à cause ) de ces glace qu’il manqua de faire une crise cardiaque en voyant Akio appuyé non loin contre un mur. Bon, il fut juste prit d’un hoquet de surprise. A la fois de le voir ici et puis si tard. Avalant sa salive et restant impassible il lança.

- Salut Akio.

Il ne lui jeta qu’un bref regard avant de se re concentré sur ça tenue. Plus ou moins légère sois disant passant. Il passa une nouvelle fois sa main dans ses cheveux et songea à une chose extrêmement importante: comment allait-il se changer. Devait-il se la jouer vierge pudique et effarouché ou exhibitionniste fier de son corps d’athlète ? Non il ne fuirait pas ! Se séchant il enfila ensuite son boxer sans retiré sa serviette. Une fois le sous vêtement mis, la il l’enleva et sécha correctement le reste de son corps. Le bassiste mit son jean et prit une serviette propre avec la quelle il frotta négligemment ses cheveux.

Les deux garçons cherchaient toujours à s’évité au mieux, mais le hasard voulait le contraire. Depuis l’épisode du café sa devait bien faire une semaine ou deux. Mais Reita n’était pas malheureux de revoir son ancien amant de toutes ses nuits, mais pourquoi fallait-il que se soit dans ce genre de circonstance ? Bon Akio l’avait déjà vue plus dénudé que ça, et un nombre incalculable de fois, mais quand même ! Bon quelques marque sur son corps prouvaient qu’il se battait encore, une méchant cicatrice sur sa hanche par exemple, mais il était nettement moins amoché que d’habitude. Allait savoir si c’était car il avait plus d’expérience ou si il se battait moins fréquemment. Le jeune homme n’avait jamais était particulièrement fier de ses cicatrices, c’est comme les animaux ce genre de chose, sa nécessite trop d’entretient au goût du bassiste. En y repensant, c’était une blessure qui avait causer la première nuit entre les deux asociaux. Reita se souvenait de l’aide qu’Akio lui avait porté pour la bandé, puis que son corps coller au siens, sens doute involontairement, avait éveillé son envie.

Le garçon revint à la réalité des choses. Il savait qu’il était loin d’être indifférent à la beauté du guitariste, et qu’il fallait avoué, leurs nuit lui avaient manquer pas qu’il en soit dépendant. Le blanc entre eux pesé trop au goût de l’étudiant. Akio semblait aussi surpris que lui. Takeo plongeant son regard dans la glace un instant. Il était incapable de dire quoi que se soit, il ne savait surtout pas quoi dire en fait. Il maudissait juste l'idée d'être venue se doucher si tard.

Nouvelle chanson. Il se trouvait que la précédente durait bien sept bonnes minutes, et le pot de colle était toujours en train de jacasser à l'autre bout du fil, c'était au point qu'on avait du mal à savoir s'il avait besoin de reprendre sa respiration. Enfin, Akio ne se posait pas la question puisqu'il ne l'écoutait toujours pas, il se contentait de remuer les lèvres au son des paroles. La tête appuyée contre le mur, il n'entendit pas l'eau se couper les oreilles trop occupées par les jacassements de l'autre et par la chanson en court. Cependant tout ce vacarme ne l'empêcha pas de voir qui sortit de la douche. Ce qui rassura le jeune mannequin c'est que Takeo sembla aussi surprit que lui, avec l'eau il n'avait pas du l'entendre.

- Salut Akio.

Occupé au téléphone il se contenta d'un signe de tête pour saluer son vis-à-vis, sinon son interlocuteur aurait remarqué qu'il n'était pas seul, et du temps où il le fréquentait plus souvent il était exagérément possessif, bien qu'il ne fût jamais son petit ami. En reprenant à ça le guitariste leva les yeux au ciel et décida d'écouter brièvement de quoi parlait l'homme, par simple curiosité. Il évoquait leur nuit. Le mannequin fit une grimace dégouté en entendant de quoi parlait son interlocuteur et monta le volume de sa musique.
Il reporta ses prunelles dorées sur le bassiste pile au moment où ce dernier enfilait un boxer tout en gardant sa serviette. Akio se mordit les lèvres pour se retenir de rigoler face à ce geste pudique, chose qui ne ressemblait pas tellement à Reita en y réfléchissant bien.
Lasser d'entendre le boulet jacasser à l'autre bout du fil et de voir son vis-à-vis gêné par le silence, il décida de parler tant qu'il était de bonne humeur. Il mis sa main sur son téléphone pour étouffer le son et pour que son interlocuteur n'entende pas, bien qu'il s'agisse d'une question de pure politesse.

-Comment vas-tu Takeo?

Sitôt sa question formulé il lâcha son combiner avec réticence et se remis à écouter distraitement le monologue que lui tenait sa connaissance. Il fallait reconnaitre une chose : ce qu'il y avait de bien avec lui c'est qu'il n'exigeait même pas un minuscule intérêt de la part de son interlocuteur. Uruha porta une main à ses cheveux les secouant brrievemment plus pour s'occuper les mains quelques secondes que par nécessité.

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Reita remarqua aussi que le blond était au téléphone…et qu’il écouter la musique en même temp. [ c’est aoi qui lui à apprit x’D ]. Mais en fait il en parlait pas, il semblait plus concentré sur la musique, sans doute son interlocuteur parler dans le vide, monologuer quoi. Le guitariste boucha le combiné et sembla être près à parler. Il venait enfin de calé le silence pesant entre les deux musiciens, il était temps.

-Comment vas-tu Takeo?

Alors pour dire ça il bouchait le combiné. Enfin, le bassiste ne se tortura pas l’esprit sur avec qui il pouvait être au téléphone, déjà ça le regardait pas, puis il en avait pas grand-chose à faire.

- Je vais bien, et toi ?

Il se frotta la tête et ne pu s’empêcher d’observer le guitariste. Il était toujours aussi beau. Reita sans voulait de craquer si facilement en présence de son ancien amant. Akio n’était bien sur pas stupide, il le lui avait même fait remarquer lors de l’une de leurs nombreuses soirée ensemble. En repensant aux mauvais moments, il y avait celui dans l’ascenseur, quand Reita avait exprimer sa jalousie à voix haute. Cette soirée fut d’ailleurs la dernière ou ils passèrent la nuit ensemble. Les deux avaient sans doute prit la décision de ne plus fréquenté l’autre. Sage idée qui avait était compromit deux fois en comptant ce soir même. Lorsqu’il sentit que le regard d’Akio allait rencontré le siens, il détourna les yeux, manquer plus que ça qu’il se fasse prendre à le mâté.

Mais bon, il était affreusement désirable, comme tout le temps en fait, appuyé ainsi contre le mur, cet attitude moins hautaine que d’habitude. Bon il ne pouvait pas résisté. Toute façon en y réfléchissant même si Reita faisait souvent le premier pas, Akio suivait sans résistance. Il n’était jamais insensible aux baiser bien placer du bassiste. En fait les deux étaient irrécupérable en présence de l’autre.

Une idée pas très scène mais amusante lui vint à l’esprit. Il jeta la serviette sur le bord du lavabo et se retourna. Un but, une cible, le cher Akio ici présent. Non, le guitariste ne lui en voudrait pas, il avait l’air tellement peu à fond dans sa conversation téléphonique, enfin, il avait carrément l’air de s’ennuyait, alors, le bassiste allait l’occupé, à sa manière. D’un pas sur et lent il se rapprocha du jeune homme. Il allait tout de même pas s’enfuir hein ? Pour évité ça il le prit par surprise. En quelque temps, il lui avait attraper la main tenant le portable et l’avait plaqué fermement mais sans violence, au mur, prenant soin que le combiné ne soit pas bloqué. Son autre main vint se loger près du visage d’Akio et il l’embrassa tendrement. C’est fou ce qu’elles lui avaient manquer, ses lèvres pulpeuses. Décollant légèrement ses lèvres de celle du guitariste, prenant quand même soin de reste en quelques millimètre pour sentir sa respiration, il appuya dangereusement sa hache contre son entre jambe avec un but bien précis: le faire gémir. Reita était pas en manque de sex, non, il était en manque d’Akio.

- Je vais bien, et toi ?

Une fois n'est pas coutume, Akio fût contraint de lui répondre par une moue agacée, son interlocuteur commençait sérieusement à lui taper sur le système. C'est d'ailleurs pour cela qu'il s'efforçait de ne pas faire entendre à l'homme qu'il n'était pas seul, éviter la crise de jalousie de plusieurs heures qui l'attendait au cas où était son principal soucis pour le moment.
Toujours en fredonnant sa musique il coinça brièvement le combiné entre son épaule et son oreille de façon à pouvoir bénéficier de ses deux mains pour remettre en place son t-shirt. Avec un soupire il reprit l'appareil en main toujours plaqué contre l'oreille il fixait d'un air blasé le mur en face de lui. Arrivait-il à se débarrasser de ce pot-de-glu dans la soirée ou devra-t-il feinter une panne de batterie? Une moue fière de lui apparut sur son visage : c'était une idée...
Sentant un regard posé sur lui il se détourna de ses plans mutins pour regarder dans la direction du bassiste une lueur d'incompréhension dans le regard. Ben quoi? Il voulait sa photo peut-être? Le sourcil droit du mannequin s'arqua quand son vis-à-vis se retourna en s'approchant de lui le regard glouton. S'il ne l'aurait pas vu dans des états pire que ça il aurait pu le croire possédé, hypothèse à prendre en compte toutefois...
Il était sur le point de lui demander si tout allait comme il voulait mais il fût coupé par son interlocuteur qui lui demandait s'il était encore là. Il répondit que oui, inutile de lui préciser qu'il n'écoutait pas mais à peine eut-il le temps de prononcer ce mot que Takeo se jetait sur ses lèvres. Le premier réflexe du mannequin fut de se coller au mur, geste qui ne servit évidemment à rien, de une parce que le blond était plus fort que lui, de deux ben parceque, justement il y avait le mur. Mais malgré ça le blond ne put s'empêcher de répondre au baiser du bassiste, ce n'était pas quelque chose que l'on pouvait refuser. Seulement il commença à être en désaccord lorsque son vis-à-vis se mit à appuyer avec un peu trop d'insistance sur son entre-jambe dans le but, il en était convaincu, de lui arracher un soupire. Ses yeux papillonnèrent entre le téléphone - duquel s'échappait un petit bourdonnement signe qu'il continuait son monologue - et Reita. Il encra ses prunelles dorées dans celles de ce dernier et remua ses lèvres pour former un « tu fais quoi là?! » avec une moue qui se voulait choquée à souhait.

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Reita profitant au maximum du baiser, fut encore plus ravie lorsque son amant le lui rendit. Il avait bien prévue son coup cette fois. Mais il savait que se ne serais pas si facile d’arrivé à ses fins. Le bassiste se souvenait de leur ébats, tous deux avaient pour habitude de retenir plus ou moins gémissements Changement de plans alors. Il s’écarta u peu de son bassin, soutenant son regard, magnifique regard d’ailleurs. Surtout quand il était pris d’incompréhension et de surprise…comme maintenant quoi. Il tendit l’oreille pour l’écouter murmurait un « tu fais quo là ? », il n’allait pas répondre, non il avait une meilleure idée en tête, je ré embrassé. Ce qu’il fait sans plus attendre. Il força le passage entre ses lèvres, ben que se ne fut pas vraiment forcé. Entreprenant donc d’approfondir leur baiser, il maintenait quand même le GSM et la main d’Akio contre le mur, son autre main descendit sur la hanche de sa victime. Une fois leur baiser rompu, il se décida enfin à parler.

- Tu m’as manquer, Akio

Un sourire ornait ses lèvres alors que le bourdonnement qui était la preuve du monologue de l’inconnu s’arrête. Un nouveau sourire s’étira sur le visage du bassiste. Akio semblait aussi surpris que ne devait l’être le garçon à l’appareil. Mais bon, même si lorsqu’il l’avait dit ce n’était que pour embetait Akio et voir, ou plutôt entendre les réaction de l’interlocuteur au téléphone, dans sens, il le pensait vraiment. Enfin, il faisait tout pour prouver que ce n’était qu’un jeux en ce moment même, il avait déjà montrer de la jalousie auparavant, pas besoin de s’enfonçait d’avantage.

Il relâcha un peu sa pression sur la main du guitariste qui tenait le portable. Il déposa un baiser dans le cou du blond, et pour une fois n’y laissa aucune marque. Puis il le laissa carrément en plan. Pur provocation ou non, même si il s’éloigner, il ne comptait plus le laisser tranquille pour le reste de la soirée. Donc c’est après avoir embrasser son cou qu’il retourna près du lavabo ou il avait abandonnait sa serviette quelques instant plutôt. Serviette qu’il re posa sur sa tête, ses cheveux encore humide avaient laisser quelques goûtes d’eau perlé sur son torse nue. Ce ne fut pas la première chose qu’il remarqua, il se contenta de se frotter les cheveux comme si de rien n’était, attendant une réaction de la part de l’homme qu’il venait d’embrasser.

Rah mais ça le torturait quand même ! Il ne pouvait pas s’empêcher de penser que sa lui avait fait ne serait-ce qu’un peu de bien de ré avoir eut le guitariste entre ses mains, de l’avoir à nouveau embrassé. Ces drôle de questions qu’il avait finis par oublier en ne voyant plus Akio, venaient de resurgir. Peut-être avait-il eu une mauvaise idée… Non, il ne fallait pas regretté maintenant c’était trop tard pour revenir en arrière.

Et ce fût un nouveau baiser qui répondit à la question du jeune guitariste. Ce dernier ne vit pas l'intérêt de s'opposer à ce nouvel échange avec son ex-amant, après tout ce n'était jamais quelque chose de désagréable. Il ne se souvenait que trop bien de leurs fous ébats dans diverses lieux, et il se rappelait également que même si son cerveau lui ordonnait d'arrêter de faire ça avec le bassiste, son corps lui s'opposait à tout ordre allant dans cette direction. Plaqué contre le mur il répondit donc généreusement au baiser que Takeo lui donnait. Son cellulaire n'était qu'à quelques centimètre de sa tête, le micro complètement découvert, Uruha savait bien que son correspondant continuait éternellement son monologue d'homme comblé mais il savait également que le moindre petit gémissement qui pourrait sortir de ses lèvres serait très bien entendu par ce même interlocuteur. Il se fit violence durant toute la durée de leur torride baiser et respira doucement lorsque le fougueux bassiste se décida à le laisser respirer. Seulement tout ces magnifiques efforts pour ne pas que son interlocuteur se doute de quelque furent gâcher en une seconde :

- Tu m’as manquer, Akio

À peine la phrase terminée, le bourdonnement du téléphone cessèrent à leur tour laissant place à un grand blanc limite gênant. Les yeux du mannequin eurent, tout d'abord, pour réflexe de se tourner dans la direction où le silence avait remplacé le monologue pour ensuite se poser sur l'homme en face de lui. Après tout... pourquoi ne pas s'amuser un peu? Un léger sourire en coin fit son apparition sur les lèvres pulpeuses du guitariste puis il accrocha la nuque de Takeo avec ses bras pour le coller contre lui et l'embrasser encore plus fiévreusement que lui ne l'avais fait avant. Le micro du cellulaire toujours découvert, Uruha répondit à son amant en chuchotant assez distinctement pour être sur que son interlocuteur l'entende :

-Toi aussi tu m'as manqué.

Sa voix contenait volontairement des accents de séduction et son regard vrillait celui de son vis-à-vis. À l'autre bout du fil il entendit un « Akio...? » qui lui laissait bien le luxe d'imaginer la mine décomposée de interlocuteur. Ça sera toujours un pot de colle en moins.

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Bizarrement, ça ne le surpris pas plus que ça que le guitariste réponde une nouvelle fois à son baiser. Fallait avouez que c’était très agréable de sentir Akio se coller à lui, partager ses lèvres avec encore plus de chaleur. Il bouillonnait déjà d’impatience, bah oui, après tout ce temps à ne pas avoir était aussi près de son meilleur coup ! Enfin, meilleur coup … Lorsque enfin ils se séparèrent une nouvelle fois Le guitariste chuchota.

-Toi aussi tu m'as manqué.

Il jouait le jeu, mais Reita aurait sans doute aimé que se soit vrais. Mais à quoi pensait-il ? Il tourna le visage vers le téléphone, histoire de cacher un minimum son air contrarié de ses pensées. Bon oublions tout ça il devait se concentré sur autre chose que ces salles questions et bizarreries sentimentale. Ce téléphone devenait gênant pour le futur des choses qui se passaient en ce moment. Reprenant assurance, il plongea son regard dans celui de son amant, il déposa un chaud baiser sur ses lèvres, puis il prit un chemin vers son cou qu’il embrassa à son tour. Il releva un peu la tête pour murmurer fiévreusement à l’oreille du blond.

- Ce téléphone devient gênant…Akio

Sa voie était tremblante d’impatience. Il fit glisser sa main le long du bras du guitariste, atteignit le portable. Il appuya sur le bouton pour raccrocher et mettre fin aux diverses questions de l’interlocuteur telles que: Tu es avec qui ? Qu’Est-ce qu’il se passe ?? AKIO ?… Enfin que des questions gênantes qui entravaient les action des deux amants. Il sourit presque innocemment au jeune homme, puis il embrasse le coin de ses lèvres, puis ses lèvres elle-même. Il devait ressemblait à un pire garçon en manque ! Mais c’était plus fort que lui, c’était Akio qu’il avait en face, son amant fétiche, le garçon avec qui il avait coucher le plus de fois en toute une vie, et sur le quel il se posait le plus de question, pour le quel il s’était surpris à éprouvé de la jalousie. Pour le bassiste, il était exceptionnel. C’était peut-être exagéré mais bon. Il se concentra sur le baiser qu’il était en train de donner au jeune homme et glissa ses mains sous sa chemise, caressant son torse. Il devait avoir les main chaude et peut-être un peu humide. Il avait toujours cette peau douce et pâle.

Le bassiste descendait lentement la tête pour embrasser doucement le cou d'un Akio qui n'opposait aucune résistance. Il laissa ses mains se balader sur le flanc de son amant, le frôlant à peine du bout des doigts.

- Ce téléphone devient gênant…Akio.

Parfaitement d'accord, qui plus est le bourdonnement devenait gênant. Toujours plaqué au mur, il frissonna lorsque la main chaude du bassiste glissa le long de son bras pour allez couper la communication, Uruha lui fit un regard aguicheur et laissa tomber le portable au sol sans un regard pour l'appareil malmener. Ça faisait tellement longtemps qu'il n'avait pas toucher le corps du blond, même s'il ne voulais pas se l'avouer, il lui avait vraiment manqué...Un peu. Ou plus.
Collant de nouveau ses lèvres à celles de son vis-à-vis Akio s'empara des mains du jeune bassiste pour les sur ses flancs; il se laissa docilement faire lorsque ces mêmes mains vinrent déboutonner lentement la chemise bleu marine qu'il portait ce soir de là. S'en suivit alors toute une suite de préliminaires qui les conduisit totalement nus dans une cabine de douche, sous l'eau presque brulante. Uruha avait toujours la place de l'amant coller dos au mur fait de carrelage glacé. Sensation agréable contre sa peau brûlante de désir pour le bel étudiant qui l'embrassait de façon assez sauvage, ce qui n'était pas pour déplaire au mannequin qui y répondait plus que volontier. Les caresses se faisaient de plus en plus insistantes et les baisers de plus en plus empraints de désir. Le corps de Reita était collé, presque englué, au corps du guitariste. Le souffle court, ils se séparèrent et Akio encra ses prunelles dorées dans celles chocolats noir de son compagnon. Ca faisait tellement longtemps qu'il n'avait pas vu le bagarreur le regarder avec cette étincelle d'envie dans les yeux. Uruha rapprocha ses lèvres à quelques milimètres de celles de son amants. Il ferma les paupières, toujours aussi près du bassiste et chuchotta ces paroles sur un ton seducteur au possible

-Fais-moi tiens...

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Tout ce passait plutôt vite, accéléré par le désir ressentit. Reita se demander si Akio ressentait un manque aussi…Enfin question stupide. Juste un manque de sex sans doute. Même si c’était pareil pour le bassiste il savait que Akio lui-même lui avait manqué et c’était plutôt dur à assumer. Oui trop dur pour un bagarreur associable comme lui. Il entreprit de déshabillait son amant, ne se préoccupant plus que de ses lèvres sur les siennes et de son corps contre le siens. Leurs vêtements tombèrent les uns après les autres. Et c’est toujours coller l’un à l’autre qu’il se retrouvèrent dans une cabine de douche, fermé à clef bien sur, sous l’eau bouillante.

Ses mains arpentés sans relâche le corps du guitariste comme si il ne l’avait pas vue depuis des années. Il l’embrassait avec fougue, caressait ses hanches, mordillait ses lèvres, mais toujours avec douceur, comme si c’était une fragile chose qu’il avait peur de casser. Non, il ne fallait pas qu’il le brise il lui était trop important [ sa devient romantique tout ça ] pour le perdre, puis il venait juste de le retrouver ! Mais bon, il fallait se dire que tout ça n’était que sex aux yeux des deux garçon, enfin l’un se voilé la face, et l’autre, qu’en pensait-il ?

Une nouvelle fois leur lèvres se séparé entre les gouttes d’eaux qui s’abattaient sur leurs deux corps. Les deux musiciens se contemplaient avec envie folle, puis l’un se rapprocha de nouveau de l’autre. Akio murmura tout près des lèvres de l’autre blond:

- Fais moi tiens…

Sur le coup, Reita aurait bien répondu un « pour toujours » belles paroles qu’il aurait sortie à l’une de ses conquêtes mais la il en fut incapable, et pour même cacher sa gêne qui pouvait sans doute se lire sur ses joux, il enfouit sa tête dans le cou de son amant. Pourquoi une telle phrase le mettait dans tous ses états ? C’était loin d’être la première fois qu’ils faisaient ça ensemble, mais il n’avait pas l’habitude d’entendre une telle chose sortir de la bouche d’Akio. De plus ils n’étaient pas protéger, et pour qu’ils couchent ensemble sans avoir prit le soin de se protéger, il fallait vraiment qu’ils soient bourrer. Le bassiste soupira contre le cou de son amant, camouflant ça par un simple souffle séducteur puis releva la tête et colla son front à celui de son amant.

- Avec plaisirs…

Il avait essayait d’adopté une voix sûre et désireuse. Il ne fallait pas poser davantage de question, si tel était le désirs d’Akio à ce moment même, alors le bassiste se ferait une joie d’obéir à ses désirs. Il souleva sa cuisse et tira un peu sur ses hanche pour le pénétrait avec un maximum de douceur. D’habitude il s’occupé de préliminaires plus attentionné, non la il l’avait prit sans vraiment prévenir. Il se colla à lui, soupirant d’aise contre son oreille, entreprenant un premier vas et viens en lui. Agrippant sa hanche et sa cuisse, il en fit suivre d’autres, de plus en plus rapide. Sans vraiment sans rendre compte il gémissait parfois le nom de son amant il ne l’avait jamais fais auparavant.

Au bout de quelques secondes de silence de la part de son amant, l'inconscience d'Akio avait sans doute déjà renoncer à obtenir une réponse à sa phrase. Certes, ça ne lui ressemblait pas vraiment de sortir des niaiseries pareille. Tout du moins, Takeo ne connaissait pas vraiment le côté sympa de la personnalité du mannequin. Lui il connaissait l'être sur de lui, arrogant et sans sentiment. Pas celui qu'il était il y a quelques temps. A lui paraissait même être une autre vie aujourd'hui. On lui aurait dit, il y a quelques années, qu'il allait finir dans ce trou à fils à papa qu'il n'y aurait pas cru. Et pourtant...le voilà dans une douche en charmante compagnie.

- Avec plaisirs…

Un sourire satisfait vint étirer le coin de la lèvre du mannequin suite à cette réponse. Que pouvait-il répondre d'autre d'ailleurs? Certains cheveux mouillés de Reita étaient collé à son front et Akio ne put s'empêcher de penser qu'on aurait dit qu'il tournait là une marque pour shampoing.
Avant même que le mannequin est put esquisser le moindre mouvement, son amant souleva sa jambe et la pénétra en douceur, ne s'attendant pas à ce qu'il fasse ça aussi rapidement (les préliminaires c'est son truc d'ordinaire) il se mordit la lèvres inférieur et ferma rapidement les yeux pour retenir le gémissement qui avait bien faillit lui échapper. Il se serait bien laissé allez, seulement suffisait qu'un surveillant ne passe dans le couloir et ne les surprenne pour que ce soit fini de leur admission dans cet établissement. Bien sur Uruha s'en fichait royalement, mais apparemment ce n'était pas vraiment le cas de son vis-à-vis...
Le guitariste plongea sa tête dans le creux de l'épaule de son amant pour le mordre doucement pendant que ce dernier commençait une longue série de vas-et-viens.

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Bon il y était aller un peu fort, sans préliminaire, mais bon, le désirs, l’envie d’Akio avait été trop forte pour patienté plus de temps. Il rejeta sa tête en arrière en sentant que son amant lui mordillé le cou, un nouveau soupir s’échappa d’entre ses lèvres. Il accéléra ses vas et viens, griffant les hanches du blond. Il bouillonnait il allait finir par exploser, ça faisait tellement de temps qu’il n’avait pas coucher avec le blond, et il en fallait si peu pour le mettre dans cet état. Il ne se reconnaissait pas lui-même. Une de ses mains partie à l’aventure sur un torse qu’elle connaissait déjà que trop bien, le caressant, le griffant, allant jusqu’à torturé ses tétons.

Reita releva comme il pu le visage de son amant pour joindre ses lèvres aux siennes. Le baiser s’approfondis bien vite, leurs langues dansèrent avec ardeur et le bassiste ne cessait jamais c’est mouvement contre le bassin du soumis. Il n’allait pas tardé à venir, il le sentait. Il se décrocha des lèvres de son amant, les gardant à une courte distante des siennes quand même et murmura entre ses halètements.

- Je…Je vais venir…Akio…

Sa phrase se termina en un soupir. Et il fut surpris, voir plus que surpris, de sentir Akio le coller encore plus à lui, l’empêchait de se retiré. Mais il était malade ou quoi ? C’était vraiment pas dans ses habitudes. D’abord faire l’amour sans protection, puis le laisser aller jusqu’au bout des choses. Mais il ne résista pas, il ferma les yeux et enfouis son visage dans le cou de son amant, et dans un ultime vas il se déversa en lui. Il étouffant un gémissement rauque dans le cou du guitariste.

Il reprit ses esprit et se retira, mais il ne réussit pas à se séparé du corps du blond. C’était tellement agréable d’être coller à lui. Il lui embrassa le cou, remonte sa mâchoire par de petits baiser et l’embrassa avec douceur. Oh non ! Les évènement de leur dernière nuit ensemble se reproduisaient, était-ce une bonne ou une mauvaise chose ? Takeo ne savait pas trop, enfin la seule chose qu’il savait ou même pensait à ce moment même c’était qu’il voulait sentir le blond contre sa peau, encore, un tout petit peu… Il glissa sa main derrière la nuque du blond pour approfondir son baiser, rabattant ses cheveux en arrière de sa main libre. Un vrais couple, enfin ils en avaient l’air !

Réagissant enfin à son acte anormal il se décolla carrément de lui. Il tourna la tête sur le côté, voulant éviter le regard quel qu’il soit de son amant. Sérieux c’était plus fort que lui, à chaque fois il fallait qu’il fasse une boulette. Bon la il devait avoir l’air bien fin, coller à l’autre bout de la petite cabine de douche, le visage tourner sur le côté et les joue sûrement rougit pas la gêne.

- Haem…je…

Aller ridiculise toi encore plus ! Malgré sa tentative d’aligner deux ou trois mots derrière les autres, sa loupa. Il devait être mignon tiens donc.

- Je…Je vais venir…Akio…

Il avait parfaitement compris ce que cette phrase signifiait pour le bassiste, il fallait qu'ils se séparent avant qu'il ne jouisse. Bien que le cerveau du mannequin était parfaitement d'accord avec cette façon de procéder, son corps semblait en avoir décider autrement : au lieu de se retirer comme prévu il colla encore plus son vis-à-vis à lui. C'était quoi ça?! Avant même qu'il n'ait put commencer à réfléchir à ce que son corps avait fait, le blond se vida en lui.
Uruha le laissa se séparer de lui en gardant les yeux rivé sur l'endroit où l'eau chaude entrain en contacte avec le carrelage. Comment avait-il put faire ça? Ce n'était tellement pas lui, mais bon. De toute façon c'était fait maintenant.
Il finit par relever les yeux en constatant que Reita n'avait quasi pas bouger depuis la fin de leur ébat. Il s'amusait désormais à lui embrasser le cou. Les idées totalement occupé par son geste débile au moment de l'orgasme, il ne songea même pas à le repousser. Quelques baisers de plus ou de moins...
Seulement ses lèvres vinrent bien vite à la rencontre de celles du guitariste..Un baiser tendre...pas celui d'un amant d'une nuit. Pas un qu'il avait l'habitude de recevoir de la part de Takeo. Malgré tout il répondit à son baiser, essayant de faire abstraction de cette main qui repoussait dans un geste tout aussi tendre ses cheveux mouillés. Délirait-il ou tout ça était bien réel? Il se permettait de douter de l'authenticité de ces gestes. Un vague courant d'air frais vint effleuré la peau d'Akio et ce dernier prit conscience de la soudaine distance de son amant. Il regrettait. Ça se voyait.

- Haem…je…

Le mannequin le vrillait d'un regard curieux, ça c'était vraiment bizarre. Ce comportement...ce n'était tellement pas lui. Où était donc passé le bagarreur fière comme un paon? Alors qu'Uruha s'apprêtait à sortir de la cabine de douche surchauffée son corps décida, une fois n'est pas coutume, de s'approprier une dernière friandise. Ce fut donc, sous les protestation de sa conscience que l'inconscience pris le dessus et qu'Uruha alla embrasser tout aussi tendrement qu'il ne l'avais fait avant lui le blond. Après plusieurs secondes d'échange, le cerveau du mannequin reprit soudain fonction. Il se sépara de son compagnon en évitant soigneusement son regard.

-...Faut que j'y aille!

Il se propulsa presque en dehors de la douche, attrapant au passage une serviette blanche qu'il attacha autour de ses hanches. Arrivé aux lavabos, il estima être assez loin pour reprendre ses idées. C'était quoi ce délire?! La tête basse il appuya ses mains sur les bords du lavabo, les yeux clos, essayant de respirer calmement.

Invité

A sa plus grande surprise le blond revint à l’attaque. Enfin il lui offrit un nouveau baiser, auquel il prit soin de participé. Il ne comprenait pas se qui se passait dans sa tête ni dans celle de son partenaire. Tout cela était bien trop anormal, d’où sortaient tous ces gestes affectif ? Tout se chambouler, c’était la guerre entre conscience et cerveau, tout se contredisait. Si ça continuer il allait exploser. Mais le même évènement, à l’inverse, se reproduisit. Cette fois se fut Akio qui évita son regard à lâchant une quelconque excuse. Reita le regarda sortir de la cabine de douche, dans son élan la porte se referma laissant Takeo avec lui-même.

Il régla l’eau de façon à ce qu’elle soit bien plus froide et s’appuya contre le mur de carrelage, la ou plus tôt il maintenant fermement son amant. Enfin, il essaya d’effacer ces visions de sa tête de penser à autre chose. Facile à dire. Il soupira et leva la tête vers le plafond tout en fermant les yeux. Il cherchait sans doute à faire disparaître toute trace de son ex amant sur son corps. Inconsciemment il posa ses doigts sur ses lèvres, on aurait dit une collégienne venant de donner son premier. Mais quelle honte ! Il n’en revenait pas de devenait aussi stupide et bizarre à cause de maudit mannequin. Sa main vint heurté plutôt violemment une de planches de bois qui séparé sa cabine de douche de voisine d’à côté. Si Akio n’était pas partit il aller se demander ce qu’il se passait la dedans.

Bon il n’allait pas restait ici pendant trente ans non plus, mais si bête que ce ne pu l’être il n’osait pas sortir. Il ne voulait pas croisé le regard d’Akio. Mais maintenant que des mots clairs et explicatif lui avaient fais comprendre la réalité des choses mieux valez y aller franco non ? Le bassiste arrêta donc l’eau et se dirigea vers la porte, il posa la main dessus. Et si son ex amant était partit ? Il souffla un grand coup. Il ouvrit enfin la porte de la cabine de douche et attrapa la serviette la plus proche, l’attachant autour de sa taille.

Reita rejoignit alors le lavabo à côté de celui du blond. Mais lui s’y appuya dans l’autre sens. Il fixa la cabine de couche en face de lui, se triturant nerveusement les mains. Quand il était question d’avouer ou de déclarer, le bassiste était loin d’être un pro ! Mais il fallait, au moins s’expliqué.

- Hmm…Pour se qui vient de se passer…enfin, ça m’fait bizarre quand….quand…

Non il était vraiment incapable de dire quoi que se soit. Il avait un peu accepté ce qu’il ressentait et donc le pourquoi de ces étranges actes mais c’était sans doute encore trop tôt pour en être sur ou avouer quoi que se soit. Il se mit à rire nerveusement en levant les yeux au plafond.

- J’dois avoir l’air bien fin la.

Un nouveau petit rire nerveux s’échappa de sa bouche.

Un bruit de coup, apparemment, parvint aux oreilles du mannequin. Bruit auquel il ne réagis même pas, trop concentré sur ses inspirations et expirations régulières pour se préoccuper de quoi que ce soit autour de lui. Il ne saurait même dire durant combien de temps Reita resta enfermé dans cette cabine de douche. Toujours est il que ce dernier finit quand même par revenir, Akio décida de rester immobile. À quoi bon relever la tête pour le regarder après tout?
Alors que le bagarreur appuya son dos contre le lavabo glacé, le guitariste, lui, reprit vie et se jetta sur ses affaires éparpillées un peu partout dans la pièce.

- Hmm…

Uruha releva brièvemment les yeux vers son vis-à-vis : celui-ci avait l'air de s'apprêter à parler, tant mieux, ça lui évitera de le faire à sa place. Et puis, que dire? Sans dùétacher ses prunelles dorée du visage du blond déchiré par...le doute? Akio continua d'enfiler rapidement ses vêtements. Tant pis pour la douche qu'il avait l'intention de prendre en venant ici, il préférait désormais attendre le lendemain matin qu'il n'y ai plus personne. Ou alors, il pouvait toujours allez dès ce soir dans cette chambre d'hôtel que son client du lendemain avait loué pour qu'il y "travail", c'était une bonne idée ça... Un peu d'eau chaude en plus ou en moins ne le ruinerait pas, vu le nombre de yen qu'il dépensait pour avoir le privilège de passer sa nuit avec Uruha.

-Pour se qui vient de se passer…enfin, ça m’fait bizarre quand….quand…

Le mannequin finissait de boutonner sa chemise lorsque la phrase tomba. Sa réaction fut une immoblité totale avant qu'il ne relève doucement la tête vers Reita, son expression devait être celle d'un homme face à un difficile problème de mathématiques... il avait peur de comprendre, là.

- J’dois avoir l’air bien fin la.

Ben tous les deux là. Uruha était en blocage complet, les traits d'éformés par une moue incompréhensive bien qu'au fond il avait parfaitement compris ce qui allait suivre. Mais voulait-il vraiment que ça suive? À quel jeu jouait Takeo bon sang?!

-....Je comprends pas.

Essayant de parraitre le plus décontracté possible, il allâ s'adosser à un mur, a une bonne distance de Reita.

Invité

-….Je comprend pas.

Cherchait-il à l’enfonçait plus bas qu’il ne l’était déjà ? Reita était affreusement gênée par ses propres paroles, il n’avait jamais penser à ses sentiment de cette façon. En fait il n’avait jamais pensait à éprouvé ce genre de sentiments, c’était plutôt inconnu pour lui, mais si en plus il devait expliquer tout ça avec des mots. Sa s’annonçait vraiment difficile. Même si il essayait de le cacher, le bassiste remarqua la surprise et l’incompréhension sur son visage. Il fut quelques instant en arrêt sur image puis se déplaça.

Bon il avait fait la moitié du chemin, mais il ne pouvait pas ou plus s’arrêtait en plein milieux du chemin. Mais sa semblait si dur à expliquer et surtout à avouez. Le bassiste ravala sa salive et reporta son regard sur une des cabines de douche. Il se mordit plusieurs fois la lèvres inférieure réfléchissant Mais tout était tellement confus Peut-être que finalement ce n’était pas une bonne idée. Après tout Akio était une personne fière. De plus c’était une prostitué, enfin pour Reita il n’était pas ça il était son amant. Comment avait-il pu s’attacher à une personne qui se donner aux autres pour de l’argent ? Puis même il avait une chance, accepterait-il de savoir son homme dans les bras de quelque un d’autre…Et voila qu’il se mettait à penser comme une fillette, avoir une chance et blablabla.

Il se frotta le visage et replaça ses cheveux trempe en arrière. L’eau qui goûtait sur son front était gênant, et c’était surtout histoire de ne pas rester planter la à rien faire. Bon, il fallait qu’il s’explique une fois pour toute ou alors c’était le moment de prendre ses affaires et de s’enfuir à toute jambe. Non Reita n’était pas un fuyard, il avait déjà eu affaire avec plus gros que ça dévoiler ses sentiments devrait être plus facile…non ? A ses yeux, il aurait préféré se retrouver face à une bande de dis délinquant armé de barres en fers plutôt que de devoir dire se qu’il allait dire. Il baissa les yeux. Oh et puis il avait très bien compris ! Pourquoi s’acharnait-il à vouloir entendre tout ça sortir de la bouche du bassiste ?

- Tu as très bien compris…je pense. C’est pas…pas très facile de dire ça..surtout une personne comme moi…Et puis je ne suis…pas vraiment sûr. Enfin … C’est pas comme sis ça s’exprimer en trois mots.

Si justement, le pire c’est qu’il n’avait pas fait attention au fait que dans « je crois que je t’aime », le plus important et former de trois mots. Il continua à fixer intensément le sol, il se demandait si il devait fuir ou pas. Il en mourrait d’envie, cette tension était trop lourde et gênante pour le garçon qui n’avait jamais penser à avoir à dire ça un jour dans sa vie. Mais voila que tout se démêlait pour un jeune homme qui n’aurait du être, seulement son amant de sexe.

C'était comme s'il était collé par une force gravitationnelle au mur de la salle. Il attendait silencieusement que son vis-à-vis daigne prononcer la phrase qu'il redoutait. Il avait forcément deviné ce qu'il avait à lui dire, mais il espérait tout de même se tromper de pronostique... Même si ses propres sentiments vis-à-vis du bassistes n'étaient pas ce qu'il y avait de plus clair pour le jeune mannequin, il se plaisait à éviter d'y penser. Ça ne ferai que le tracasser plus.
Le silence continuait de remplir la pièce et Akio évitait soigneusement de croiser le regard de Takeo. Il n'avait pas besoin de lire dans ses yeux ce qu'il pensait deviner que trop aisément.

- Tu as très bien compris…je pense. C’est pas…pas très facile de dire ça..surtout une personne comme moi…Et puis je ne suis…pas vraiment sûr. Enfin … C’est pas comme sis ça s’exprimer en trois mots.

Avec difficulté le mannequin avala sa salive, les yeux fixés sur le parquet et les lèvres serrées. Que faire maintenant? Il était clair qu'il s'agissait là d'une "déclaration" pas besoin d'être un intellectuel pour le deviner. Pour une soirée qui avait commencé parfaitement normalement elle prenait des tournures biens bizarres. Le sentiment qu'éprouvait Uruha le déstabilisa quelques peu, en dépit de la perte de ses mots qui ne l'étonnait pas, une partie de lui était heureuse suite à la déclaration de son compagnon... Et ça c'était vraiment, vraiment étrange. Avec ça il ne savait vraiment que répondre.

-Ok, je crois que j'ai compris...

À dire vrai il était sur d'avoir compris où il voulais en venir. Il était désormais conscient qu'une partie de lui avait furieusement envie de lui dire qu'il voulait la même chose mais son autre partie, sans doute dominante pensait à ce que ça serait. Takeo devrait sortir avec un prostitué...qui passe chaque nuit avec un homme différent, et pour de l'argent. Ensuite, en égoïste profond il pensait à lui, s'il sortait avec le bassiste, ce dernier exigerait sans doute qu'il cesse de vendre son corps au plus offrant..chose qu'il savait qu'il n'arriverait pas à renoncer. Après tout n'était-ce pas tout ce qu'il méritait? faire le trottoir? Ensuite il pensait aux photos dénudées qui payaient bien, et dont il allait devoir se passer. Puis enfin, ses pensées revinrent sur Reita...Uruha savait comme il était excentrique, hautain et surtout à quel point il aimait être provoquant. Il savait d'ors et déjà que Takeo était jaloux....ça ne marcherait jamais entre eux. C'était sûr.

-Hum...tu sais, je crois pas que tu éprouves vraiment ce que tu crois éprouver pour moi. Réfléchis, c'est impossible.

Il releva les yeux et les encra dans ceux de son partenaire. Une lueur involontairement torturée s'y lisait.

-Je me prostitue. Et je suis l'être le plus égoïste et le plus provoquant qui existe. Ce que tu ressens ce doit seulement être... je sais pas. On s'éclate bien tous les deux mais...comment pourrais-tu m'aimer? C'est impossible, et je ne mérite pas cette attention.

Il se mordit la lèvre inférieure, malgré sa volonté il devait avouer que prononcer ces paroles lui faisait vraiment mal à la fois pour lui et pour le bassiste.

Invité

Il ne savait pas si il était rouge de gêne, de honte ? Était-ce si honteux de tomber amoureux d’un prostitué ? Avec le temps, Reita n’avais jamais vue Akio comme une simple pute. Au bout de quelques instant il détourna son regard, il n’avait pas la force de le soutenir. Il avait attentivement écouter son ex amant et se sentait simplement faible. Lui qui avait fais tant d’effort, qui avait enfin réussi à aimer quelque un il fallait que ça tombe sur ce garçon. Le bassiste avait l’impression qu’il allait exploser d’un moment à un autre. Le plus dur, le plus rabaissant, c’est qu’après tant d’effort, il se faisait rejeter. Il baissa la tête, ses mèches de cheveux commençant à sécher elles retombèrent sur son front et sur les côté de ses yeux, cachant ainsi son regard vide et déboussoler.

Qu’Est-ce qu’il pouvait bien faire, répondre ferait gros accros, et fuir…se serait lâche. Il fallait se reprendre en main ! Et plus vite que ça. Il se frotta le front du revers de la main et releva une tête plus proche de la normale. Non il n’était pas faible, il prendrait sur lui pour ses stupides sentiments… Stupides ? Car il tourmenté trop l’esprit du blond, il avait réussit à s’en détacher à presque oublier mais le hasard se décidé à relié chaque fois les deux garçons. D’une voix plus sereine et moins tremblante il reprit la parole.

- Que tu te prostitue, que tu sois arrogant ou je ne sais quoi, ça ne changera jamais rien à ce que je ressens… Tout…tout ce que je peux dire, c’est que…que c’est tel que tu es…que…

Gros blanc. Aller courage tu vas y arrivé. Des petites voix se disputaient dans sa tête. La macho bagarreuse lui conseillé des fins de phrase pas nette ou arrogante. Alors que l’autre, plus douce et mielleuse lui disait de se lancer, qu’il y arriverait, il se libérait d’un poids en lâchant ces trois mots qui lui torturaient la gorge. Mais, ils restaient bloquer, Reita n’avait jamais dit ça auparavant, et devoir le dire à une personne avec qui il pensait qu’il prendrait juste son pied de temps en temps, personne à laquelle il s’était attaché, trop attaché… Il ferma les yeux et les ré ouvrit fixant à présent une nouvelle cabine de douche. A la une, à la deux, à la….trois:

- Que…Je…Je t’aime.

Et la, la petite voix mielleuse faisait la fête en ce moquant de sa congénère qui hurlait sur Reita. De drôle de chose se passaient dans la tête du bassiste. Il préféra se calme et détourner le visage, espérant que ses joux n’étaient pas trop rouge. Il fallait bien une première à tout ? Après je ne sais combien de temps à avoir fréquenté Akio, je ne sais combien de temps à avoir commencer à éprouver de drôle de sentiments pour lui, oui après tout ce temps il se décidait enfin à vraiment mettre les choses au clair. Mais en même temps, la peur lui tordait les entrailles, ce n’étai pas la même peur que lorsqu’il se retrouvait à un adversaire de taille, la c’était de l’anxiété, du stress…Comment allait-il réagir lui ? Akio ? Il se mordit la joue de l’intérieur, sa respiration était irrégulière et malgré qu’il faisait tout pour se calmer il n’y arriverais pas avant d’avoir entendus un quelconque mot de la part du guitariste.

S'en suivit un long blanc. Le silence, son ami. Le mannequin se forçait à rester calme même s'il avait une grande envie de céder à la panique. L'amour... depuis le décès de celui qu'il avait toujours considéré comme l'homme de sa vie, il avait toujours tout fait pour rejeter ce sentiment. À quoi bon aimer si ce n'est pour souffrir? En gros, amour rimait pour lui avec masochiste. Et il avait renoncer à l'être depuis longtemps déjà. Alors pourquoi maintenant?
Rapidement le bassiste détourna les yeux et, un bref instant, Uruha eut peur d'avoir été trop dur sur ces mots... mais s'il ne fallait que ça pour que Takeo comprenne à quel point ce qu'il disait était stupide.

- Que tu te prostitue, que tu sois arrogant ou je ne sais quoi, ça ne changera jamais rien à ce que je ressens… Tout…tout ce que je peux dire, c’est que…que c’est tel que tu es…que…

Non d'un chien mais faites le taire! Encore trois mots de plus et Uruha serait bon pour la panique totale. Pourquoi une déclaration? Pourquoi maintenant? Il n'avait rien de plus que d'habitude ce soir pourtant... Sans même s'en rendre compte, ses dents avaient commencer à se mordre violemment la langue.

- Que…Je…Je t’aime.

...Ce fût comme si le cerveau du mannequin avait subitement enclenché le mode veille prolongée. Il faisait soudain très chaud dans la salle. Uruha fronça les sourcils et expira lentement, tentant de calmer son coeur un peu trop bruyant. Tellement bruyant qu'il se demandait si Reita l'entendait de là où il était, c'était comme s'il voulait sortir de sa cage thoracique. Son regard était maintenant posé sur une des fenêtres en face de lui...
Après ce qu'il lui parut une éternité, il reprit conscience et compris qu'il devait répondre.

-Euhhh...ok. Admettons que tu m'aimes vraiment. Que feras-tu le jours où, en allant te balader chez un libraire, tu tombes sur des photos de ton cher et tendre à moitié dénudé? Ou carrément nu avec un autre homme pour une pub sensuelle? Parce que j'en ai fait des tonnes des séances comme ça! Tu pourrais vivre avec mon quotidien?

Le but de cette tirade était bien évidemment, de faire ouvrir les yeux à son vis-à-vis. Mais il doutait sincèrement qu'un argument aussi peu convainquant puisse venir à bout de la ténacité de son compagnon. Une nouvelle expiration et Uruha se pinça l'arrête du nez, essayant de faire le tri dans ses pensées.

Invité

Il y eut un moment de silence, la température et la tension semblait sans cesse augmenté dans la pièce. Ca devenait presque insoutenable pour le bassiste qui était à bout de nerf. Il aurait préféré une réponse courte et simple quitte à ce qu’elle soit négative au lieux de poireauté dans l’espérance. Mais Akio semblait décidé à argumenté, donnait des raison pour lui montrer que c’était impossible d’aimer un gars comme lui. Oh et pourtant…

-Euhhh...ok. Admettons que tu m'aimes vraiment. Que feras-tu le jours où, en allant te balader chez un libraire, tu tombes sur des photos de ton cher et tendre à moitié dénudé? Ou carrément nu avec un autre homme pour une pub sensuelle? Parce que j'en ai fait des tonnes des séances comme ça! Tu pourrais vivre avec mon quotidien?

Il baissa à nouveau les yeux. Akio ne semblait pas croire que Reita l’aimait vraiment et puis il utilisait des arguments… Il fallait avouer que le blond était jaloux, oui il l’avait déjà était à sachant qu’Akio ne lui appartenait en aucun cas, il lui avait même involontairement montrer, et même à ce moment même il se sentait bouillir de colère à l’image du guitariste nue avec un autre…Pas en colère contre le guitariste lui-même mais bon. Reita était du genre colérique, jaloux, borné…

Une petite phrase survint dans sa tête « l’amour rend aveugle »…Mais merde, depuis quand il naissait ce genre de phrase lui ? Mais malgré tout, il savait qu’il serait près à quelques sacrifice pour ce sentiment étrange. Mais non, Akio ne voulait pas de lui, ça se voyait non ? Il faisait tout pour le repoussait en douceur, aux yeux de Takeo. Les yeux rivés sur le sol il essayait tant bien que mal de réfléchir, mais ce n’était pas gagner. Il souffla plus bruyamment prit inspiration et releva les yeux. Non il ne fallait pas abandonner si vite ! Il était un battant, pas un fuyard, non non et non.

Pour Reita, il était temps de passer à l’action, il ne pouvait rester la sans rien faire, sans rien répondre. Ajoutons que durant toute cette conversation pleine de blanc il était à présent en jean mais toujours torse nue. Un nouveau soupir s’échappa d’entre ses lèvres et il prit son courage à deux mains. Il s’éloigna du lavabo contre le quel il était appuya et se dirigea vers Akio. celui-ci, appuyer contre un mur était légèrement plus petit que lui, alors qu’à la normale il le dépassait de quelques centimètre. Reita attrapa le menton de son ex amant pour remonté son visage vers le siens. Il encra ses prunelle chocolats dans celle noisette de celui qu’il, il en était sur à présent, aimait.

- Quoi que tu fasse dans ta vie, c’est toi que je veux, Akio…

Puis il déposa un baiser sur ses lèvres, bien différent des autres. Il n’eut pas à forcé le passage pour approfondir le baiser. Son autre main se posa sur la hanche du guitariste alors qu’il frissonnait comme si c’était la première fois qu’il embrassait le garçon.

C'était véridique ce qu'il avait dit, il avait déjà eu un aperçu du Takeo jaloux, alors qu'il était clair pour Uruha qu'il n'avait jamais été sa « chose », d'ailleurs il n'avait jamais été la chose de quelqu'un même en sortant avec. Il se considérait comme libre et voulait le rester. Cependant, il sentait qu'il n'allait pas pouvoir repousser le bassiste encore très longtemps, ou alors, s'il le faisait, il se pouvait que ce soit assez violent. Mais il appréciait Reita et il ne souhaitait pas lui infliger ça...

Étudiant chaque petite partie du parquet de la salle, il ne vit Reita s'approcher que lorsque celui-ci se retrouva devant lui, lui soulevant le menton, ses yeux vrillant ses prunelles.

- Quoi que tu fasse dans ta vie, c’est toi que je veux, Akio…

Uruha se sentait affreusement vulnérable face au bagarreur, il avait l'impression de revenir à une autre époque. Époque qu'il pensait révolue à jamais. À peine la phrase, aussi belle soit elle, de son vis-à-vis terminée, il cherchait déjà un autre argument pour le convaincre qu'il n'était pas celui qu'il lui fallait, celui qui le rendrait heureux. Mais un baiser infiniment tendre de la part du bassiste lui fit perdre le bout de ses idées. Il ne pouvait pas l'éconduire désormais, c'était impossible. Lorsqu'il le relâcha, Akio se mordit doucement la lèvre inférieure, une mine torturée sur le visage. Il baissa les yeux

-Je veux bien essayer...

De toute façon il n'avait plus aucune détermination désormais. Le voilà désormais « en couple » son célibat était mort ce soir. Mais malgré tout il savait qu'il ne pourrait pas cesser de se prostituer, c'était comme une drogue pour lui...Qui plus est, en acceptant d'être le petit ami de Takeo, il avait l'impression de le trahir, s'il arrêtait la prostitution il risquait d'oublier ce qu'il était. Et il en était hors de questions. Il décida alors de ne pas mettre Reita au courant de ses plans, histoire de le préserver.

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