La belle est la bête {bis} { titre by ichi u_u xD } ~ /!\ LEMON ~ [ PV Tagaki Takeo ]

À croire que le silence était devenu une des choses qu'ils appréciaient particulièrement. Bien que là, il y eût une raison bien préciser.
Akio ne préférait pas parler des blessures qu'abordait Reita sur son visage, déjà parce que le blond n'avait sûrement pas envie d'en parler avec quelqu'un qu'il connait à peine, ensuite parce qu'Uruha n'aimait pas être curieux à propos de la vie des gens, il savait que souvent cela l'agaçait. Il évitait donc de le faire avec les autres. Surtout qu'il détestait avoir cette attitude.
Tout le chemin se passa donc en silence jusqu'à ce qu'ils aperçoivent un bâtiment avec un nom anglais, ils étaient arrivé à destination.
L'homme bandé dit à Akio de l'attendre à l'entrée du couloir ce qu'il fit sans rechigner, depuis quand était-il si docile? D'ordinaire il n'aimait pas qu'on lui donne des ordres mais là il préféra s'écraser gentillement, faire une crise de gamin pourri gâté ne servirai strictement à rien. Il croisa donc ses bras dans son dos et attendit que son vis-à-vis revienne. Reita lui indiqua que leur chambre se trouvait au deuxième étage, la numéro 156.

Uruha entra dans l'ascenseur à la suite de l'homme, il demeura toujours autant silencieux. À leur arrivée devant la porte Reita laissa passer Akio devant lui, il le remercia légèrement et entra. C'était un bel hôtel il fallait l'avouer, il n'était jamais venu ici, du moins pas à sa connaissance.

- Fait comme chez toi.

Le mannequin regarda Reita s'enfermer dans la salle de bains, celui là était pressé de prendre sa douche dit donc.
Le blond n'attendit même pas d'entendre le son de l'eau marteler la douche pour sortir de la chambre : il avait une boutique de fringues plutôt chique en face de l'hôtel, il ne pouvait décemment pas rester habillé comme ça et se présenter à l'université dans cette même tenue le lendemain matin.
Il choisi rapidement une chemise noire classe, un pantalon noir également à franges et une veste blanche pour mettre par dessus la chemise, veste qu'il laissa ouverte. Il avait demandé à se changer dans la cabine et à garder les vêtements sur lui, il prit un sac du magasin, paya et retourna dans la chambre. Il posa le sac dans un coins de la pièce et se mis devant la fenêtre admirant le paysage de Tokyo tout en touchant machinalement la croix qu'il portait autour du cou.

Invité

Il se glissa dans la cabine de douche après s'être déshabillé. Que cela pouvait faire du bien une bonne douche chaude, il froter légèrement son visage ainsi que son torse, il se mordait parfois les lèvre de douleurs du au brulures qu'il ressentait. Ce soir, ses ennemis avaient envoyé la sauce, c'était bien le cas de le dire. A cause du bruit de l'eau il n'attendit pas le blond sortir. Il resta bien un quart d'heure sous la douche. Quand il sortit il constata dans le miroir un visage à bien meilleurs état. Il se sécha rapidement le corps, enfilant un peignoir. Il restait à moitié ouvert sur le torse, couvrant le reste de son corps. Il posa ses doigt sur la cicatrice qui barrait son visage, il soupira et tout en se sechant à moitié les cheveux sortit de la salle de bain.

- Si tu veux te doucher, j'ai finis.

Reita se laissa tomber sur le li, redressant un coussin derrière son dos. Il remarqua que Akio avait de nouvelles fringues, il était sans doute sortit en acheté. Reita attrapa la télécommande et alluma le grand écran plat, il s'étira et zappa de chaine en chaine. Rien de très interressant. Il s'arreta sur une chaine de musique, de rock plus précisement et la regarda sans vraiment que son attention ne soit focalisé sur ca. De temps en temps il regardé Akio, encore plus beau en chemise. Il n'aurait pas voulut qu'une si belle créature se soit fait abusé, il avait bien fait de le remmenait avec lui, surtout que jusque la, il avait était plutôt docile.

Puis il pensa au lendemain, ils avaient cours... Et Reita n'avait pas vraiment envie d'y aller, il était plutot fatigué, plutôt amoché et puis voila, il n'avait tout simplement pas envie d'y aller. Et Akio lui, qu'allait-il faire ? Si il avait acheté ces fringues c'est qu'il avait surement l'intention d'y aller demain, ou tout simplement avoir de quoi sortir sans passer suspect.

- Demain j'vais pas en cours, et toi ?

Akio était toujours plongé dans sa contemplation de la vue de la ville de Tokyo qu'il entendit à peine que le bruit de l'eau avait cessé. Ce n'est qu'en entendant le cliquetis de la serrure de la porte donnant sur la salle de bain qu'il en pris conscience. Il se retourna et regarda sortir Reita dans la pièce embrumée par la chaleur de l'eau. Le bassiste était vêtu simplement d'un peignoir blanc qui donnait sur son torse imberbe où on pouvait voir quelques petites cicatrices. Pour la première fois depuis le jour de leur rencontre Akio vit le blond sans son bandeau. Il pût apercevoir une cicatrice bien visible sur son visage. Il comprenait tout maintenant, pourquoi ce bandeau et pourquoi il était à Shimbashi : il faisait partit de ses gangs qui se battaient régulièrement pour de l'argent. Uruha tourna les yeux pour ne pas paraître impoli en le fixant d'avantage. Ce n'était pas dans la nature du guitariste d'être aussi calme.

- Si tu veux te doucher, j'ai finis.

Le blond reporta son regard sur son vis-à-vis et lui sourit.

-Merci.

Il avait pris une douche juste avant de se rendre dans la ruelle, et vu qu'il n'avait pas fait ce qu'il s'attendait à faire il ne s'était pas sali. Cela dit il allait sûrement en prendre une autre, histoire de se détendre après cette longue soirée. Akio aimait beaucoup être dans l'eau, donc la douche n'était pas de refus. Alors qu'il s'apprêtait à rentrer dans la salle d'eau il entendit Reita lui parler, il s'appuya sur l'encadrure de la porte et le regarda.

- Demain j'vais pas en cours, et toi ?

-Je sais pas... J'en doute. Je n'ai jamais eus l'intention d'être beaucoup présent aux cours. Je déteste ça.

Il sourit à Reita et pénétra dans la pièce.
Il retira tous ses vêtements et se mis sous le jet d'eau chaude. Akio aimait l'eau très chaude, si bien qu'il n'utilisait presque pas d'eau froide.
Uruha passa quelques minutes sous l'eau avant de vouloir se savonner, sauf que lorsqu'il saisit le flacon il se trouvait que celui là était vide.
Un sourire ironique se dessina sur la visage d'Akio avant qu'il ne se résigne : il devait appeler Reita pour qu'il lui en apporte un autre. Il attrapa une serviette à la va vite et se l'a mis autour de la hanche en appelant Reita. Il allait avoir l'air fin là u_u.

Invité

Quand il lui dit qu'il détestait les cours et tout le blabla, Reita acquiessa d'un signe de tête, il en était de mêm pour lui. Si il était entré dans cette université c'était pour faire plaisirs aux trois membres proches de sa familles. C'est tout, les cours et étudier ne l'interessait pas vraiment.
Une fois qu'Akio fut enfermé dans la salle de bain, Reita reporta toute son enttention sur la télé, bien que ce n'était pas pationnant il n'y avait que ca à faire sur le moment. Il jeta la serviette qu'il avait utilisé pour se sécher les cheveux et se cala encore plus confortablement. Mais son calme fut troublé. Dans la salle de bain Akio sembla l'appellé. Alors il se leva, toqua un coup à la porte et entra, s'appuyant sur l'encadrure de la porte.

- Un problème ?

Il sourit en coin à la vue d'un Akio trempe de la tête aux pieds, une seule serviette autour de la taille pour le cacher. Il le regarda une seconde fois de haut en bas. Un torse parfaitement imberbe, pale et fin, des jambes toute aussi fine parraissant douce. Le décoloré remarqua qu'il tenait le flacon vide. Bah ouais dans les hôtel c'est comme ca, dose par dose, mais en général il y en à d'autre dans des placards non loin. Mais sur le coup, Reita en était sur, après tout il était habitué à venir ici, alors il savait très bien ou le trouvait, il aurait sans doute du prévenir Akio, au cas ou.

- Il devrait en avoir d'autre la

Le décoloré s'accroupit près d'Akio et ouvrit le placard se trouvant sous le lavabo, en effet il en sortit un autre flacon, quand il se releva ils étaient bien proche l'une de l'autre. Le décoloré redoubla son sourire et agita le flacon au dessus de l'épaule d'Akio. Il arqua un sourcil, toujours souriant. Mais que devait penser Akio à ce moment ? Il devait le prendre pour un imbécile ou en effet.
Alors il déposa le flacon dans sa main et fit un pas en arrière.

- J'vais te laissé te doucher à présent

Alors qu'il attendait Reita et qu'un frisson le parcourait, il commença à se demander s'il avait bien fait d'appeler l'homme. Il ne savait pas pourquoi mais il le sentait très mal, il se sentait déjà ridicule d'avance. Mais il n'eut pas le temps de débattre plus profondément car un Reita, toujours en peignoir, fit irruption dans la pièce en demandant s'il avait un problème. Ça aurait été quelqu'un d'autre Akio lui aurait sans doute répondu qu'il l'appelait juste pour le plaisir de le faire lever son derrière du lit évidemment. Il regarde le bassiste puis porta brièvement son regard sur le flacon en plastique, vide, qu'il tenait encore dans la main.
Il vit son vis-à-vis le reluquer légèrement mais fit comme si de rien n'était, ce n'était pas le moment de faire des remarques. Il suivit Reita du regard et le vit s'abaisser en face d'un petit placard sous le lavabo...

- Il devrait en avoir d'autre la

...« Bravo Akio, de mieux en mieux. » ce fût les pensées qui traversèrent la tête du guitariste à ce moment là. Il se sentait nul, comment n'avait-il pas pensé à regarder dans le placard avant d'appeler Reita? Le froid qui régnait dehors avait dût givrer tout son bon sens.
Akio continua pendant quelques secondes encore à se frapper intérieurement pour sa bêtise, à ce moment là le bassiste se releva et ils se retrouvèrent très près tous les deux. Akio lui lança un regard innocent à souhait alors que Reita, lui, ne cachait pas son sourire de psychopathe tout en secouant le flacon au dessus de l'épaule du blond. Ben quoi? Il ne voulait pas non plus une médaille pour son exploit, si?
Son vis-à-vis cessa enfin de le regarder comme un chat à l'affut de sa proie et recula d'un pas en disant qu'il allait le laisser se doucher maintenant.
Une bien gentille décision car deux minutes de plus avec la porte ouverte et Akio était bon pour attraper un bon rhume. Et ce n'était pas ce qu'il désirait pour l'instant. Une fois que le blond fût sortie de la salle de bain, le mannequin retira la serviette qu'il avait sur les hanches, ferma la porte et ralluma l'eau afin de se doucher correctement cette fois-ci.

Akio, contrairement à Reita, pris le temps de sécher ses cheveux au sèche-cheveux pour ne pas avoir à se battre avec le lendemain matin.
Une fois chose faite il sortit de la salle de bain en peignoir lui aussi et alla jusqu'à ce qui allait son lit pour la soirée. Il s'assit dessus et regarda silencieusement le blond qui avait l'air passionné par l'émission débile qui passait sur le petit écran.

Invité

Reita se jeta sur le lit se frappant la tête d'avoir eut un comportement si stupide. Il soupira d'exaspération et s'assit en tailleur tout en rflechissant. Il fallait avouez que le blond était plutôt beau, mais après l'avoir vu en serviette il le trouvait carrement attirant, pas du genre de Reita de craquer si facilement sur quelqu'un. Il se prit la tête entre les mains, la secouant légèrement, et lorsqu'il entendit la porte se réouvrir il s'assit direction la télé. Le décoloré devait paraitre impassible. Mais bon, qui n'aurait pas eu se comportement après avoir vue un si beau garçon dans une si légère tenue ?

Il remarqua que le blond s'était lui, completement sechait les cheveux. Ils étaient lisse et toujours aussi brillant. Sa couleurs était envanche plus foncé que celle de Reita. Son regard se reposa sur la télé et une une vive douleur lui traversa la poitrine, il remarque quel'une de ses blessure c'était ré ouverte. Il attrapa donc sa veste, ayant toujours de quoi se soigné au cas ou. Le garçon en sortit de quoi nettoyer la plaie, se qu'il fit. Puis une bande enrouler. Sauf que pour se la mettre, il laissa glisser le haut de son peignoir, laissant apparaitre tout le haut de son corps. Il n'eut pas de mal à faire un premier tour, recouvrant ainsi une partie de la plaie, mais eut plus de mal ensuite. Il lui falalit de l'aide mais n'osait pas vraiment demanderà Akio. En ce moment même, il en voulait à mort à l'enfoiré qui avait sortit un couteau en plein match alors que c'était totalement interdit. Il souffla un coup, pressant la blessure qui le faisait moins souffrir mais toujours quand même. Alors, le décoloré se retourna vers Akio et avec un sourire un peu gênée lui demanda:

- Tu pourrait....pas venir me donner un coup de main ?

Voila, le grand garçon ravale sa fierté, il n'y arrivait pas seul et n'y arriverait pas, il ne fallait plus qu'espéré qu'Akio accepte. Il allait surement répondre positivement non ? Après tout ce que Reita venait de faire pour lui... Toujours tourner vers lui, le décoloré attendit sagement une réponse.

Vu que le silence &tait, une fois de plus, de la partie, Akio commença à jouer avec l'une de ses mèches de cheveux. Il avait les cheveux extrêmement longs pour un homme : ceux-ci arrivait jusqu'à la moitié de son dos, si ce n'étais un peu plus.
Se refusant donc à s'abrutiser devant le programme diffusé à la télévision, il n'avait trouvé que ce moyen de se distraire. Il replongea dans ses pensées. La situation y prêtait bien puisque Reita ne décrochait plus un mot. Akio ne savait pas s'il devait retourné dans cette ruelle... Ces hommes l'avaient vus une fois et il étaient bien capable de revenir pour le trouver. Certes Akio se trouvait dans cette ruelle pour ça, mais il n'avait pas confiance en tout les individu. Surtout qu'il ne choisissait que ceux qui l'intéressait donc il se méfiait quand aux actes que pourraient accomplir ses étrangers sous le coup de la colère. Plusieurs fois depuis le début de ce passe-temps Uruha avait pensé à abandonner, ne voulant pas s'avouer qu'il faisait ça à la mémoire de Kioshi. Beaucoup de gens penseraient sûrement qu'il n'était un gosse de riche que la vie à trop gâtée. Il était vrai qu'il avait tout ce qu'il demandait, en plus de ça il était mannequin, beaucoup de jeune dans la société actuelle auraient aimés être à sa place. Alors la prostitution pouvait passer pour un caprice de plus. Si seulement ce n'était que ça Uruha aurait décroché il y a bien longtemps. Pourquoi s'infliger une telle humiliation? C'est pourquoi il ne laissait jamais voir son visage à la lumière, les allées où il trainait étaient généralement peu éclairées, laissant donc apercevoir les traits fins d'Akio mais jamais il ne montrait tout. Il exigeait qu'aucune lumière ne soit allumée, il ne dormait jamais avec ses clients il leur donnait ce qu'il voulait et c'était tout. Il partait après. Ainsi donc personne ne pouvait entacher sa carrière de mannequin.

- Tu pourrait....pas venir me donner un coup de main ?

Le blond sursauta légèrement et leva vivement les yeux vers son vis-à-vis : il essayait de passer un pansement sur l'une de ses blessures qui, apparemment, s'était réouverte. Akio acquiesça d'un bref signe de tête et vint s'assoir devant le blond, il lui prit la bandage des mains et fit lui même passer la tissu blanc autour du corps du bassiste, pour voir ce qu'il faisait dans le dos de celui-ci Akio se mis sur les genoux et se colla un peu plus à Reita pour apercevoir ce qu'il faisait. Il répéta ce geste plusieurs fois jusqu'à arriver au bout du rouleau, il l'attacha pour qu'il ne parte pas pendant la nuit et recula tout en souriant à Reita

-Et voilà!

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Au plus grand plaisirs de Reita, il accepta. Il vint s'installer près de lui et lui prit le bandage des mains. Il se laissa tranquillement faire. Le décoloré sentait la plaie compressait par les couches de bandages et la douleur disparaitre peu à peu, il soupira légèrement, laissant Akio finir. Il se rendit que compte que parfois, Akio à genoux derrière lui, devait se coller à son dos pour faire passer le bandage devant son torse, cette sensation était loin d'être désagréable... Mais lui que pensait-il ? Ressentait-il comme Reita, peu à peu un certains désirs montait en lui, de plus on aurait presque dit qu'il le cherchait en se comportant ainsi. Lorsque celui ci eut finit, Reita lui lança un vague merci sans se retourné.

Bon c'était carrement clait, il désirait le corps du blond qu'il avait vue sous la plus part de ses formes. Mais il ne se reconnaissait pas lui même de flashé si vite, il était déjà excité à l'idée de possédé ce corps...Et si c'était le contraire, si il refusait ? Non il accepterait, Reita pouvait petre très...persuasif quand il le voulait et pour ce qu'il voulait, et en l'occurence, en ce moment il voulait Akio, corps et ame pour la nuit. Ou la la, à penser ainsi, il passait pour un obsédé sexuel non ? Mais il s'en fichait. Il se retourna, sans pou autant remonté son peignoir. Il approcha dangereusement son visage de celui d'Akio mais dévia vers son oreille pour y susurer.

- Merci...beaucoup.

Puis glissant sa main derrière la nuque du blond il s'empara tendrement de ses lèvres, sans y demander son avis. Pourquoi faisait-il ca ? Pour paser une delicieuse nuit, en compagnie d'une charmante créature. Lui qui avait prévue de faire un bon gros sommeil, il n'en était plus sur... Ils leur resteraient la journée de demain pour se reposait, qui sait. A présent que sa nuit était toute tracé, ou presque, il ne comptait pas loupé ca en dormant, oh noooon. Peu importe il se reposerait plus tard, d'un coup il avait l'impression d'avoir récuperait toute son énergie.

Akio n'eut pas l'idée immédiate de repasser sur son lit pour dormir, avant qu'il n'ait pu esquisser le moindre mouvement son vis-à-vis se retourna et rapprocha très dangereusement son visage de celui d'Akio. Le mannequin prit tout d'abord ça pour un mouvement trop brusque et donc d'involontaire.

- Merci...beaucoup.

Akio fronça les sourcils et s'apprêta à demander à Reita ce qu'il lui arrivait soudainement mais il n'en eût pas l'occasion puisque quelques secondes plus tard il eût la réponse à sa question muette et son vis-à-vis emprisonna les lèvres d'Akio, la main sur sa nuque.
Uruha écarquilla les yeux de surprise. Mais que lui arrivait-il tout d'un coup? Alors que le baiser se faisait plus insistant Akio abandonna quelques instants ses pensées et répondit au baiser du bassiste. Car même s'il était surprit il ne pouvait nier ne pas en avoir également envie. Ainsi il céda son opposé aucune résistance l'entrée à sa bouche à la langue de Reita. Sans s'en rendre compte il passa ses bras autour de la nuque de son vis-à-vis. Rapprochant ainsi le corps du blond au sien. À un moment le manque d'air se fit ressentir et ils se séparèrent faisant resurgir les nombreuses questions d'Akio. Pourquoi faisait-il ça? Avait-il envie de lui parce qu'il avait découvert qu'il se prostituait? Si c'était ça il ne voulait avoir aucune relation avec lui... Ce passe-temps était la plus grande faiblesse d'Uruha, car il n'arrivait à lutter contre. Il n'acceptera pas qu'une de ses connaissances abuse de ça consciencieusement.
Il se recula de quelques centimètre du visage de Reita, enlevant ses bras d'autour du cou de celui-ci.
Akio encra son regard chocolat dans celui de Reita et le regarda, septique. Il ne savait pas quoi penser.

-Écoute, si tu fais ça parce que tu as découvert ce que je faisait pendant mon temps libre je ne peut pas. Jamais je ne ferai ça.

Il ne fallait pas que Reita prenne ça pour une façon de lui dire qu'il n'en avait pas envie, parce que c'était un fait : il en avait envie. Mais pas en tant que prostitué.

Invité

Reita en était à porésent sur, son envie était récirpoque. Le blond s'accrocha à son cou et ils échangèrent un autre baiser, plus long, plus profond et plein de désirs. Ils étaient tous les deux la, assis sur le lit, l'un contre l'autre. Mais quand, se séparant pour reprendre de l'air, Uruha sembla reprendre consience et se détache de lui, le regardant soudain d'un air plutôt sérieux. Le décoloré arqua un sourcil.

- Écoute, si tu fais ça parce que tu as découvert ce que je faisait pendant mon temps libre je ne peut pas. Jamais je ne ferai ça.

Il se détendit et rigola légèrement. A vrais dire, il avait presque oublier se que justement Uruha faisait durant son temps libre. Il n'y avait plus trop pensée, et s'en fichait légèrement. Si il voulait faire ca, c'étais par envie, désirs... Il se laissa tomber sur le côté, bras derrière la tête il fixa le plafond silencieux. Akio pensait que Reita voulait faire du chantage en quelque sorte.
Bah, avait-il l'air si tordu que ca ? Certes, il était passer par toutes les formes de son caractère devant le blond: froid, distant, gênée ou presque et à présent désireux. Il soupira légèrement. Il esperait aussi qu'Akio ne croyait pas que Reita avait tout manigancer...Non il n'était pas si calculateur.

- Tu as tord, j'en est tout simplement...envie

Le décoloré fixait toujours le plafon, comme si d'un cou, il y trouvait une marque d'interet.
Aussi, peut-être avait-il eu tord de croire que son envie était réciproque, Akio l'avait peut-être réembrasser pour le faire languir puis refusé tout simplement qu'il se passe quelque chose entre eux. Si c'était le cas, cela mettrait sans doute Reita en colère, il n'aimait pas se faire menait en bateau ou même utiliser. Il ferma les yeux un instant puis reprit la parole:

- Mais si cette envie n'est pas réciproque, je te forcerais pas, j'susi pas comme ca...

Ca sonnait plutôt comme de la provocation dit ainsi. Si Akio persistait à croire que Reita menté, il lui prouverait le contraire d'une façon ou d'une autre. De plus ce n'était pas dans ses habitude de mentir, en revanche de bluffé quand il s'agissait d'ennemis c'était différent. Mais se qui se trouvait en ce moment sur son lit, se n'était pas un ennemis, loin de la !

- Tu as tord, j'en est tout simplement...envie

C'était quoi ce blanc en plein milieux de la phrase? Il en avait envie où il n'en avait pas envie?
Il ne se montrait pas très sûr de lui en tout cas. Mais s'il disait qu'il avait tord alors il le croyait, il n'avait pas l'air d'un homme totalement dépendant au sexe et qui n'attendait que ça depuis des mois (et pour cause ils ne se connaissaient que depuis quelques jours)
Akio le regarda s'allonger et baissa ses yeux sur lui, toujours assis sur les genoux. En se levant ce matin il n'aurait jamais cru que la soirée se finirai ainsi. Lui qui pensait passer la nuit avec un parfait inconnu, il était bien loin de la vérité. Ce soir il n'avait pas besoin de se prostituer.
Ça lui arrivait parfois, il rencontrait de charmants jeunes hommes et préférait passer la nuit avec en tant qu'amant plutôt que de la passer avec un client en tant que "pute". C'était toujours mieux, il n'avait pas juste la sensation d'être un vidoir dans ses cas là et c'était très agréable.

- Mais si cette envie n'est pas réciproque, je te forcerais pas, j'suis pas comme ça...

On passait d'un grand blanc au milieu d'une phrase à une provocation grosse comme une maison. Reita avait-il la sensation de s'être fait piéger? C'était rare quand Akio se faisait désiré pour partir juste ensuite, ça lui était déjà arrivé. Il lui arrivait de le faire soit pour frustrer une personne qu'il haïssait au plus profond de son âme (ce qui n'était pas le cas de Reita), soit quand il était d'humeur très joueuse (ce qui n'était pas le cas ici).
Ce soir il était même très sage, comme un enfant qui découvrait les choses. Ça lui donnait un petit côté mignon.

Bon! Il était temps de réagir. Akio ne rajouta rien de plus et monta à califourchon sur Reita, l'embrassant fougueusement. Tout en continuant de prolonger le baiser il mis son genoux entre les jambes du bassiste appuyant sur sa virilité. Il lacha les lèvres de Reita et s'approcha doucement de son oreille et murmura d'une voix sensuelle

-Bien sûr que c'est réciproque...

Invité

Il réouvrit les yeux en sentant un poid sur son bas ventre. Lorsqu'il ouvrit les yeux, se redressant sur ses coudes, Akio était assis à cheval sur lui et l'embrassa fouguesement. Il sourit à travers le baiser qui s'approfondit bien vite. Le baisers dura et dura encore. Le décoloré s'accrocha au cou du blond, l'attirant un peu plus vers lui. Il frissona et se mordit la lèvre inférieur quand il sentit le genoux d'Akio préssé sa virilité. Il agrippa fermement le peignoir à moitié ouvert de son partenaire et lui donne un langoureux coup de bassin avant de le ré embrassé. La nuit s'annoncer être bien longue. Tout comme le balet enflammer que dansaient leur deux langues. Ce fut à son tour de répondre.

- Ca me rassure

Bien que non habitué à se trouvait en dessous et donc dominé, être entre les douces mains d'Akio ne le dérangeait pas. Il fit glissait le peignoir du blond sur ses épaules puis son dos, pour pouvoir glissait ses mains sur sa douce peau qu'il avait contemplait il n'y avait pas si longtemps que ca. Il faisait glissait ses doigts avec tendresse...Un tendresse qui pouvait surprendre vu l'être prutal qu'il pouvait être des fois. Mais il voulait conservé Akio si il voulait avoir l'occasion de repassé des nuits en sa compagnie. A la suite d'un énième baiser, il s'attaqua à son coup, le lechant, le mordillant sans pour autant abimer sa peau lisse et pale.

D'un coup il commençait à faire incroyablement chaud dans la pièce. D'un mouvement de tête il replaça ses cheveux encore humide et contempla le visage d'Akio. Il fallait dire qu'il était plutôt fier de sa "conquête", de plus les joue légerement rougis, le peignoir presque entièrement ouvert...dans cette position il était incroyablement sexy, Reita s'en mordit la lèvre. Il regardait son partenaire ardement, montrant dans l'état de feu dans le quel il était. Montrant qu'il en voulait plus, bien plus. Alors, il échangea les rôles, se retrouvant alors au dessus du blond. A présent dominant, il embrasse une dernière fos Akio avant de dessendre jusqu'à son cou. Fut ensuite le tour son torse, il lechait sensuellement, torturant ses boutons de chairs...Akio devait savoir à quoi s'attendre... Reita aimait sentir le corps du blond frissonait sous ses gestes. Il mordillait ses tétons, faisant glissé sa main droite le long des hanches du blonnd, dessendant toujours bas, tout comme sa bouche.

Akio sentit son partenaire sourire lors de leur baiser, sûrement heureux d'avoir ce qu'il voulait, normal diriez-vous. Plus les secondes passaient et plus le baiser devenait passionné, et plus le désir l'un pour l'autre ressortait. Il se sentit attiré par la nuque vers le corps du bassiste mais n'opposa aucune résistance. Se fût au tour d'Akio de sourire lorsqu'il sentit Reita réagir à la pression qu'exerçait son genoux contre sa virilité sans doute douloureuse. Mais son sourire se transforma bien vite en un léger gémissement qu'il ne pût retenir tellement il s'attendait peu au coup de bassin que Reita venait de lui demander. Uruha sentit le sang monté à ses joues alors qu'il fermait les yeux pour se contrôler un minimum. Dire qu'il pensait venir à l'hôtel en toute innocence. Depuis quand Reita avait cette idée derrière la tête?
Un vague « ça me rassure » parvint aux oreilles du mannequin mais celui-ci ne réagit pas, bien trop occupé à essayer de contrôler la vague de désir qui montait en lui. Alors qu'ils s'embrassaient encore, Akio sentit le tissu de son peignoir glisser le long de son dos, ce qui provoqua des frissons le long de son échine. Le blond se mordit la lèvre en fermant les yeux sous les paumes de Reita qui le caressait doucement, il n'était pas habitué à autant de douceur. D'ordinaire ses nuits étaient bestiales, violente et intense. Celle-ci présageait d'être tout autant intense mais pas de la même façon qu'à son habitude. Uruha, lui, se laissait faire, appréciant cette facette du blond, il se laissa attaquer son cou de baiser sans rien dire, haletant.

La respiration du blond devenait de plus en plus courte, la chaleur le submergeait totalement, il avait la sensation d'être dans un autre monde. Il ne pensait plus à ces deux hommes qui l'avaient, il fallait l'avouer, effrayer, ni à cette université qu'il détestait tant. Akio ouvrit les yeux en sentant le regard insistant de Reita sur lui et, en effet, lorsqu'il les ouvrit il aperçu les deux prunelles du bassiste le regarder entièrement avec envie. Alors que leurs yeux se rencontrèrent Reita inversa les rôles d'un coup de bassin et Akio se retrouva en dessous, totalement offert à son amant de ce soir. Le mannequin était plus habitué à avoir la position de dominé, donc il ne s'offusqua pas du choix de Reita de prendre les choses en mains.
Son partenaire se mit alors à glisser lentement le long de son torse, Akio passa ses mains dans les cheveux encore humides de celui-ci et se cambra contre lui quand il atteignit son bas-ventre. Il tourna la tête sur le côté gauche, la bouche entre-ouverte et les yeux clos.

Invité

Reita deffit le noeud qui tenait le peignoir encore attacher, ravie de sentir contre lui, corps haletant du blond. Il s'offrit don le corps entièrement nue du blond sans pour autant commencer à le torturé. Il prit soin de bien se frotait à lui pour remontait et lui arracher un autre baisers. Il reprit le même chemin sur le torse d'Akio, à présent cambré par le désirs et l'envie. Il goutait avec délice à chaque partie de son corps, arrivant à la plus demander. Le décoloré jeta un bref regard à son partenaire, celui-ci avait tourner la tête sur le côté, avait les yeux clos et haletait la bouche entre ouverte. Caressant doucement ses cuisses, il lecha la virilité d'Akio de bas en haut, plutôt lentement. Il répeta cette action plusieurs fois, empoignant les hanches du blond.

Ennivré par le désirs, Reita ne se posait plus trop de questions, cela devait être de même pour son partenaire. Mais après cette nuit, comment cela se passerait-il entre eux ? Continueraient ils à se voir, à se fréquenté, se parler comme si de rien n'était, comme si rien ne c'était passer ? Reita était du genre à ne pas fréquentait ses conquete, la plus part du temps il en trouvait une à son gout le soir, en sortant faire la fête. Quelques heures plus tard ils étaient dans un lit, et le lendemain le décoloré était persuadé de ne plus jamais la revoir. Mais dans le cas d'aujourd'hui c'était bien différent. Son partenaire de la soirée était une connaissance et un étudiant de la même université que lui. Ils s'enttendaient plutôt bien, malgré les fréquent blanc durant leurs conversations. Mais bien sur en ce moment sa n'éffleurait même pas leur cervelles, bien trop concentré sur ce qu'ils étaient en train de faire.

Après sa douce torture il prit le membre entièrement dans sa bouche. Ses vas et viens étaient d'abord lent, puis il acceléra. D'une main libre, il carressa le ventre et le torse du blond haletant et frémissant, celui ci poussait aussi de petits gemissements...de plus en plus fort. Sa main dessinait lentement des arabesque invisible sur la peau claire et sa bouche faisait de long va et viens sur le membres tendus au maximum du blond qui ne se retenait plus.

Il rouvrit les yeux pour regardé, la tête toujours tournée sur le côté, sa conquête retirer le nœud qui maintenait son peignoir fermé et qui cachait sa nudité par la même occasion. Le nœud de tissu lâcha rapidement sous les doigts fins de Reita, Akio le regardait toujours comme passionné par ce qu'il faisait. Puis il sentit une paire de lèvres se posée sur les siennes, Akio mis sa main sur le côté du visage du bassiste pendant leur échange passionné et charnel. Puis, d'une seul coup, le jeune homme qui le dominait depuis le début lâcha ses lèvres pour redescendre le long de son torse laissant un sillon humide, marque de ses baisers. Il était réellement très doux avec Uruha et celui-ci appréciait plutôt bien cette nouveauté. Il avait tellement rien à voir avec les hommes qu'il fréquentait d'ordinaire, déjà il savait quelques petits trucs sur lui, alors que ça, ça ne lui était arrivé qu'en de très rares occasions. Mais il se fichait de comment allait évoluer les choses après cette nuit, enfin il ne s'en fichait pas vraiment, disons que ce n'était vraiment pas ce à quoi il pensait pendant qu'il s'apprêtait à coucher avec sa rencontre de quelques jours.
Alors qu'il était toujours autant excité mais que sa respiration s'était quelques peu calmer il sentit quelque chose d'humide sur son sexe : la langue de Reita se baladait de eau en bas sur sa virilité durcie. Uruha se mordit brutalement la lèvre inférieur retenant in extrémis le gémissement de plaisir qui menaçait de sortir d'entre ses lèvres. Cette fois-ci Akio secoua doucement la tête de droite à gauche sur le matelas comme pour dire à son partenaire que c'était une mauvaise idée : s'il continuait comme ça, il risquait de jouir avant que rien n'est commencé. Mais c'était tellement sensuel.
Il continua de secouer la tête, se mordant toujours la lèvre pour se retenir de gémir son plaisir, les yeux fermés et les joues rouge par ce trop plein de désir. Reita, lui, continuait ses caresses linguales sur le membre d'Uruha ce qui le rendait ivre de plaisir malgré le fait que le mannequin ne voulait pas forcément l'avouer.

-R-Reita...

Il ne pût se résoudre à finir sa phrase, le blond attrapa un cousin et se le mit sur le visage, le retenant d'un bras pour étouffer ses gémissements qui se faisaient de plus en plus insistant. Ce geste paraissait peut-être légèrement enfantin, mais au point où il en était c'était tout ce qui marchait pour qu'il ne cri pas.

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Il le sentait gigoté sous lui mais ne cessait ses intenses vas et viens. Tout en caressant son torse, il le sentait bouillonait et cela le faisait sourire intérieurement. Il leva les yeux quand son partenaire murmura son prénom. Avec amuusement il constata dans quel état d'exitation était le blond. Il éttoufa ses gemissement dans un coussin qu'il pressa contre son visage. Le dominant griffa légèrement les hanche du blond, reprenant ses vas et viens avec ardeur. Il le sentait arrivée, ca aller pas tarder et Reita avait trouver ca bien rapide. Mais bo, ca ne le dérangeait pas non plus. Les gemissements d'Akio se faisaient enttendre à travers même le coussin au plus grand plaisirs des oreilles du décoloré. Puis, le dominé vint complètement dans la bouche de Reta qui n'avait pas lacher l'objet de ses désirs. Lechant le liquide qu'il rester sur la virilitéde son partenaire, il lui enleva les coussin des mains, puis remonta jusqu'à son cou en bisoutant son torse.

Il lui mordilla le cou, et INVOLONTAIREMENT y laissa une marque rouge/violette du à un baisers peut-être trop profond. Mais peu lui importé, il ne cessait de frotté son corps contre le sien. Abandonnant son cou, il jeta son devoulu sur ca bouche qu'il embrassa avec fougue. Qu'est ce qu'il pouvait les aimé ses lèvre, pulpeuse et douce, un vrai délice. Il dégagea quelques mèches du visage d'Akio, lui caressant tendrement la joue ainsi que sa nuque. Leur baisers dura, et même quand il fallait prendre de l'air quelques secondes, leurs bouches se recollaient l'une à l'autre immédiatement. Les yeux clos, leurs respirations s'étaient un peu calmer, mais loin de la leurs désirs. Au bout de quelques secondes, minutes à s'embrassé Reita se releva, assis sur le bah ventre de Uruha, il s'amusait à bouger légèrement le bassin, provoquant frustration et envie cher les deux blond. Ainsi dréssé sur le garçon il continua ses légers mouvement, les excitant davantage.

Fixant Akio d'un regard brulant, il defit cette fois ci, la ceinture de son peignoir, mais celui ci ne s'ouvrit pas seul. Il se mordit sensuellement la lèvre inférieure, a présent il avait envie de sentir son partenaire près de lui, contre lui...en lui ? Il ondula du bassin, restant dans une position plutôt désireuse. Pour une fois, il voulait échanger les placer, être dominé lui plairait peut-etre plus qu'il ne le pensait.

Le mannequin s'était finalement relâché dans la bouche de Reita, il n'aimait pas ça il se donnait l'impression de jouir pour un rien. Bien que le bassiste qui se tenait au dessus de lui n'était pas rien. Alors qu'il serrait toujours le coussin blanc contre son visage il sentit celui-ci partir et ses yeux rencontrèrent une touffe de cheveux blond : Reita attaquait doucement son cou à coup de baisers. Puis, ses yeux rencontrèrent les prunelles pleines de désir de sa conquête avant que leurs lèvres s'unissent de nouveau, Akio se laissa faire encore un peu sonné par son dernier orgasme.
Mais alors qu'ils se séparèrent après plusieurs baisers de quelques secondes, voir quelques minutes, leurs yeux se rencontrèrent une fois de plus et Uruha vit quelque chose qui l'étonna de la part de son vis-à-vis : apparemment celui-ci avait la soudaine envie de se faire dominé.
Le mannequin resta allongé sous Reita quelques secondes sondant ses yeux pour voir s'il avait bien comprit. Ce qui était bien le cas.
Il s'assit donc retrouvant son visage à quelques centimètres de celui du bassiste puis il le regarda du regard le plus hautain et sensuel qu'il avait en stock avant de poser sa main sur le torse de Reita pour le pousser sur le matelas. Alors que le dos de Reita rentrait à peine en contacte avec le tissu Akio l'embrassa doucement tout en le faisant s'allonger de sorte à ce qu'il puisse, à son tour, s'allonger sur lui.
La température de la pièce s'était très clairement réchauffée depuis que les deux blonds s'adonnaient à leur petit jeu, une odeur de sexe commençait à remplir les lieux, l'ambiance était des plus torrides.
Le mannequin se sépara du jeune homme et pris ses poignets dans ses mains puis les plaqua sur chaque côté de la tête du bassiste, souriant. Sourire qui voulait tout dire. Puis il descendis le long du torse de Reita, toujours en lui tenant les poignets de chaque côté de son visage, avec sa langue il traça un long sillon humide. Puis il se consenti à lâcher les poignets de sa "victime" et introduit sa langue dans le nombril de celui-ci relevant des yeux joueurs vers Reita.

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Akio avait l'air d'avoir comprit le message de son partenaire. Il l'avait onguement fixait avant de se relevé, se retrouvant quasiment colé à lui, le visage proche du siens. Son regard avait bien changer, passant du soumis docile au dominateur hautain. Reita aimait se regard, il rendait son partenaire mystérieux et attirant. Il effleura ces lèvres des siennes, mélange leur deux souffles chaud l'espace d'une instant. Lorsqu'il sentit les mains chaudes d'Akio contre son torse il frissona et le fixa intenssement, se laissant tombé sur le matela, ne resistant pas à la pression des deux maisn sur son corps. Le blond à présent dominé goutta une nouvelle fois les lèvres de son partenaire, leur langues s'entremélèrent une fois de plus pendant que Uruha se retrouvait mieux installé au dessus de Takeo. Reita balanca ses cheveux en arrière, ils restaient encore humide du à la sueur de son froid, dans la pièce la chaleur était intense. Les deux amants formaient une vrais boule de feux. Malheureusement, le plaisirs des lèvres sucrets du mannequin ne dura pas longtemps pour le bassiste, il se sépara, empoignant ses poignet et les plaquant de chaque côté de sa tête. Affichant se terrible sourire qui faisait fondre le soumis il dessendit, traçant un chemin similaire à celui qu'avait prit Reita sur le corp d'Akio précédement. Il commençait déjà à haletait sous les caresses de la langue de son compagnon. Puis une fois arrivé au niveau du nombril il libéra ses poigné.

Il se redressa alors sur ses coudes et observa Akio faire. Celui ci introduisit sensuellement sans langue dans le dans le nombril du bassiste qui fut d'abord surpris et découvrit d'étrange sensation [ c'est pas ca faute, c'ets la première fois qu'on lui fais ce genre de chose ua petio x3] puis répondit au regard joueur du blond et s'occupé de son corps. Il avait l'air de le faire languir, peut-être pour se vanger de la petite torture de Reita. Celui ci sourit et rejeta sa tête en arrière, fremissant des actions de son dominant

Pendants quelques courtes secondes encore Akio continua de regarder le blond dans les yeux, affichant un regard atrocement arrogant. Le mannequin savait à quel point ce regard pouvait plaire dans ce genre de situation, il sous entendait qu'il ne comptait pas en rester là. Reita avait choisi lui-même d'être dominé par Uruha seulement celui-ci aimait faire languir son partenaire lorsqu'il tenait les rênes. Il sortit sa langue du nombril du bassiste et fit un léger baiser dessus avant de baisser les yeux et de regarder la virilité tendue de Reita pour lever les yeux vers le visage de Reita les yeux joueurs.
Il continua de descendre et écarta le peignoir de Reita pour qu'il puisse découvrir les cuisses de celui-ci. Akio se mit alors à morde de façon sensuelle, presque obscène, les cuisses blanches de sa conquête, ses prunelles chocolatées toujours encrées dans le regard de Reita.
Puis il détourna les yeux mais ne cessa pour autant de mordiller la chair du blond, celle-ci rougie par endroits : certes traces de dents, plus accentuées que les autres, ressortait. C'était pour la marque qu'il avait au cou ça.
Mais lorsqu'il sentit que Reita ne le regardait plus Akio passa à l'action écarta subitement les genoux du décoloré et introduit sa langue dans l'intimité de celui-là, rentrant et sortant sa langue. Il aurait peut-être dût le prévenir que lorsqu'il était dominant il se transformai en vrai démon de luxure. Il s'amusait beaucoup des gémissements de son partenaire et continua donc son petit jeu quelques temps jusqu'à s'en lasser.
Sans relever la tête Akio introduisit alors un doigt à l'intérieur de Reita, le faisant légèrement bouger, sans prévenir il en introduit un deuxième et daigna enfin relever la tête pour voir dans quel état se trouvait son partenaire.
En continuant de faire bouger ses doigts en Reita pour l'habituer et pour l'exciter encore plus Akio reprit ses caresses linguales mais cette fois-ci sur la partie de chaire entre son intimité et son membre.

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Reita l'observait en silence, de toute façon sa respiration était déjà un peu haletant, il ne tentait pas un mot au risque de bafouiller complètement. Il regarda attentivement les lèvres du blond se posait au dessus de son nombril et se mordit la lèvre inférieure. Bizarrement il se sentit un peu gênée quand son amant "contempla" sa virilité mais ses joues était rougis par le désirs donc la gêne ne se re verrais surement pas, du moins il l'espérait. Ensuite, Akio écarte totalement le peignoire, s'attaquant au cuisses. Il l'est mordillé, lançant parfois des regards pervers à Reita. Le soumis s'en mordait les lèvres, le voir ainsi tourner autour du pot...si sensuellement. Rectification, il le fixait carrement, une once de défis dans le regard, et il essayait tant bien que mal de soutenir son regard. Il remarqua quelques marque rouge ressortant et sourit adressant un clin d'oeil eu guitariste. Mais haletant de plus belle, il pencha la tête en arrière lachant son amant du regard.

Il écarquilla les yeux en sentant la manière subite dont Uruha entreprit de s'attaqué de plus belle au blond. Il se cambra complètement sous les cou de langue qu'il exerçait sur son intimité. Au contraire d'Akio, Reita ne retenait pas les gemissements qui sortaient de sa bouche, biens qu'il faisait attention à ne pas être trop bruyant, sa tête étant au pied du lit, il n'avait rien pour étouffait ses cris. Sa poitrine se bomba davantage quand il sentit un doigt puis un deuxième penetraient en lui. Il se mordit une fois de plus la lèvre pour ne gemir de plaisirs et de douleurs à la fois. Après avoir reprit un peu de souffle il releva la tête, croisant le regard amusé du blond. Il fit comme si il se maitrisait complétement et le va un sourcil du style "c'est tout ce que tu a à offrir ?". Mais il fut vite servit caril se mit à lecher les boules de chair se trouvant entre son membre et son anneaux de chair. Il se cambra alors de plus belle, gemissant plus fort.

Satisfait des gémissements que poussait le bassiste, Akio continua de le fixer tout en continuant son occupation à côté du sexe de Reita. Mais comme toutes les bonnes choses ont une fin le mannequin stoppa net ses caresses linguale ne prenant pas en compte le gémissement de frustration qu'il cru entendre de la part de son partenaire. Il remonta le long du corps pâle du blond et piqua brièvement ses lèvres en un baiser pour redescendre presque immédiatement. Les yeux toujours encrés dans ceux de Reita il caressa du bout des doigts le sexe irrigué ce celui-ci, traçant des arabesques qui montait pour redescendre lentement vers la verge.
Cette fois sans regarder sa "victime", Akio introduit un ultime et troisième doigt à l'intérieur de lui. Pour les deux premiers doigts il n'avait pas entendu le gémissement de douleur du bassiste là en revanche il l'entendit distinctement et le regarda brièvement. Sans doute avait il l'habitude de prendre et non de se faire prendre. Uruha n'avait même pas pensé qu'il pourrait avoir mal, il se fiait à son cas sauf que lui avait l'habitude d'être à la place de son partenaire. Pour qu'il ne souffre pas trop, ou du moins pour limiter les dégâts, Akio referma fermement ses doigts sur la virilité du bassiste commençant à y exercer un lent mouvement de vas et viens.

Alors qu'il bougeait ses doigts en lui pour l'habituer à sa présence et qu'il continuait sa douce torture sur son sexe, Akio décida qu'il avait fait assez de préliminaire pour la soirée. Il retira ses doigts de l'intérieur de son amant de la soirée et se leva rapidement pour aller chercher de quoi les protéger.
En un sens c'était plutôt une chance qu'il avait choisi de se prostituer, sans ça il n'aurait jamais eu de préservatif. Certes il se prostituait, mais il faisait vraiment attention à se protéger pour ne pas attraper toute sorte de maladies.
Il se dépêcha de revenir sur le lit, le petit carré dans les mains et embrassa brièvement les lèvres de Reita, avant de déchirer le petit carré et d'en tirer le préservatif pour se le mettre. Une fois chose faite, Akio ne fit plus de préliminaires et pénétra le bassiste jusqu'à la garde.

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Lorsqu'il se stoppa, Reita poussa un grognement de frustration, c'est qu'il était sadique quand il menait ce Akio. De plus, de la façon dont il le regardé, Reita s'en mordait les lèvre jusqu'a ce les faire saigné. Mais dans tout ca, le bassiste ne regrettait pas de lui avoir laissé la main, il sentait si bien lorsque celui ci s'occupé de lui. Puis quand son dominant remonta pour lui arracher un baiser, il n'eut presque pas le temps d'y prendre plaisirs tellement il était redessendu vite. Le blond ferma les yeux quand Akio déposa ses doigts dessus puis le regarda à nouveau, haletant des douce caresses qu'il lui infligé, oubliant presque la douleur qu'il avait ressentit précédement.

Pourtant un troisième doigts vint lui rappellé la douleurs des deux premiers, lui arrachant un grognement bien distinct, vois plus aigue. Il avait la tête sur le matela, les yeux fermer, la bouche entre ouverte...Cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas été à la place du dominé... Cette fois, le guitariste sembla se rendre compte de la douleur du blond, et sans doute ppour lui faire penser à autre chose empoigna délicatement sa virilité pour y exercé des vas et viens. Peu à peu il oublia completement la douleur et se laissa aller dans le plaisirs que lui procurait la main du dominant. Puis il ne sentit plus aucune présence en lui, ni plus rien sur lui du tout, il leva les yeux sans vraiment demander pourquoi à Akio et avait compris. Il en profita pour reprendre son souffle, ferma les yeux, inspirant et exspirant tranquillement.Le dominé sourit en l'entendant remonté sur lui, et le retint légèrement faisant durée le baiser un peu plus longtems que ne l'aurait prévu Akio. Il enttendit à travers son esprit embrumi, le plus du papier se dechirant... En y repanssant il était mieux de se protégeait et ce soir, Reita n'était pas sur d'en avoir eut sur lui.

Il ferma les yeux, retint sans respiration essayant tout de même de se détendre pour ne pas paraitre trop étroit ou souffrir le moins possible. Lorsque le guitariste se stoppa, Reita poussa un long soupir et esséya de se relevait tant bien que mal. Il se retrouva donc assis, les jambes entourant le bassin de son amant ety bientot se fut de même pour son cou entouré de ses bas et dans le quel il enfouit son visage y déposant de petits baisers. De lui même il ondula un peu du bassin, donnant le signal à Akio: "il était près".

Uruha ferma les yeux s'habituant doucement à l'étroitesse de Reita. Il attendait que celui-ci lui donne son feu vert pour ne pas lui faire mal non plus.
Ce n'était pas le but. Alors qu'il sentit une goutte de sueur perlée dans son dos le mannequin sentit Reita remuer doucement le bassin, s'empalant lui même sur le sexe irrigué du guitariste. Akio le rallongea sur le dos, gardant ses jambes autour de ses hanches et reprit le contrôle de la situation avec quelques coups de bassins mal maitriser avant d'adopter un rythme endiablé rentrant toujours plus profondément en son amant.
Akio rejeta sa tête en arrière, les yeux clos et la bouche entre-ouverte, généralement dans ces cas là il préférait s'imaginer, c'était tellement mieux. C'était donc ce qu'il faisait. Alors qu'il toucha la prostate de Reita il ressaisit le sexe gonflé de désir de celui-ci et y adapta la même vitesse que ses coups de reins. Cette fois sans coussins pour retenir les sons de sa voix qui sortaient involontairement de se bouche, Akio n'opposa plus aucune résistance et gémissait de bien être.
Il faisait atrocement chaud maintenant dans la chambre d'hôtel numéro cent-cinquante-six, des gémissements dépassaient la barrière dressée par la lourde porte de bois et par les murs en bétons. Les deux jeunes gens ne faisaient plus attention à leurs gémissements de plus en plus forts, en tout cas pour Akio c'était certains, il ne savait pas vraiment pour le bassiste.
Dans un ultime coup de bassin plus violent que les Uruha se libéra en un long gémissement rauque, suivit de près par Reita qui jouit dans sa mains.
Le mannequin resta plusieurs secondes immobile, reprenant son souffle, les yeux clos, le visage en sueur et les lèvres à demies-ouvertes. Puis, lorsque sa respiration se calma il sortit de l'inimité de Reita et retira le préservatif usagé. Il fit un nœud et le jeta dans la poubelle non loin de là avant de s'étaler sur le matelas frais.

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Suivant le signal de Reita, il le recoucha et entama des mouvements de bassins d'abord maladroit puis, plus précis et rapide. La douleur s'instompa vite laissant place au plaisirs provoquer par le rythme endiablé du guitariste. Le soumis abordé la même expression que son amant, laissant ses gemissements parcourir la pièce sans se retenir. Et lorsque que le guitariste attein sa prostate, il lui arrache un gemissement plus rauque et plus puissant que les autres. Mais apparement ce n'était pas finis car le dominant s'empara de la verge toujours dréssé de Reita, y exercant des vas et viens au même rythmre que ses coups de reins.

A travers la chaleur de la pièce, leur gemissements se mélé l'un à l'autre, preuve de leur plaisirs et desirs bientôt assouvis. La sueur coulé sur leur deux fronts, leurs torses, leur dos... Ils perdaient totalement conscience, ne se rendait plus compte de rien, seul leur plaisirs les aveuglé, les poussant à aller plus loin sans se posé de questions. Ils étaient comme dans un sauna, mais le sauna finirait bien par se refroidir.

Un dernier coup et se fut le libération pour Akio, suivit par Reita qui gemit et se laissa tomber sur le matala, s'y étalant complétement. Il arracha un baiser au blond avant que celui ci ne retire sa protection et ne se couche à ses côtés. Ils restèrent silencieux, la allonger, la tête au pied du lit. Finalement le décoloré se redressa un peu, toujours essouflé, il avait chaud mais renfila son peignoir et se leva du lit. La bassiste se dirigea vers le fenêtre qu'il ouvrit la fenêtre et s'y accouda, respirant l'air frais de la nuit glaciale. Cela changer de l'ancienne boule de chaleur qu'il avait fermer avec son amant de la nuit.

Akio vit le bassiste remettre son peignoir et se diriger vers la fenêtre pour l'ouvrir un courant d'air frais parcouru la pièce. Après être resté quelques instants sur le lit , les yeux fermés, calmant sa respiration Akio mis son peignoir à son tour et s'assit sur le lit en refaisant le nœud qu'avait retiré Reita au début de leur nuit. Le mannequin se passa la main dans ses cheveux perdu dans ses pensées. Après chaque nuit de sexe passée comme ça, sans se prostitué, il y avait comme un malaise qui le parcourait. Il n'avait jamais vraiment sût pourquoi, mais ça ne l'empêchait pas de recommencer, il ne considérait pas que le Akio de tous les jours était la même personne que ce Akio qui se prostituait sans aucune honte, laissant des hommes totalement inconnus lui passer sur le corps en échange de sommes d'argents.
Le problème aujourd'hui est que Reita étudiait dans la même université que lui et donc ils allaient être contraints de se revoir... Non pas qu'il n'ai pas envie de reparler avec lui mais c'était la première fois qu'une chose pareille lui arrivait, coucher avec quelqu'un qu'il ne connaissait pas beaucoup certes, mais qu'il connaissait un peu tout de même. Il regarda brièvement le blond accoudé à la fenêtre, l'air de la ville faisait peu à peu disparaitre la chaleur de la chambre mais aussi l'odeur de sexe qui y régnait. Uruha soupira et se leva du lit pour se diriger dans la salle de bain, l'air frais de Tokyo ne suffisait pas à le rafraichir. Ainsi il s'appuya au lavabo et se regarda quelques minutes dans le miroir... Sa douche n'aura finalement servit à rien, il devra en reprendre une le lendemain matin..pas ce soir, il n'en avait pas la force. Il tourna doucement le robinet d'eau froide et passa ses mains dedans avant de s'en mettre sur le visage. Dieu ce que ça pouvait faire du bien. Il se retourna et prit une serviette blanche sur la chauffe-serviette et le passa sur le visage pour le sécher. Lorsqu'il retira le linge blanc il vit quelque chose sur son cou il tourna légèrement la tête vers la gauche et regarda : il avait une trace violette bleutée sur la peau, une œuvre du bassiste. Il sourit légèrement et replaça ses cheveux avant de sortir de la salle de bain pour aller s'allonger sur son lit cette fois. Un silence de mort régnait dans la salle, Uruha détestait ce genre de silence, surtout après le sexe c'était pesant. Mais il pensait que Reita ne savait pas quoi dire non plus, qu'allait-il se passer après?

[ Post pourri, et peu intéressant désoléééé TT ]

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