Une deuxième année commencait pour la jeune Noriko. Une année qui risque d'être encore plus mouvementée que la précédente, bien qu'elle en ait vu bien des vertes et des pas mûres. La route avait été si longue pour venir jusqu'ici, heureusement qu'elle n'y passait pas son temps. La limousine maintenant arrêtée, car oui elle en possédait une rien qu'à elle, cadeau de ses chers parents, elle descendit de celle-ci, bagages en main. Elle en avait beaucoup, un peu trop meme. À croire qu'on penserait qu'elle va partir en voyage pour des mois. Mais ce n'était pas le cas. Et seuls ceux et celles qui la connaissent, savent le parce que du pourquoi. Elle avait peut-etre attiré quelques regards pour ne pas dire tous ceux qui se trouvaient dans les alentours, mais là n'était pas le but. Il est vrai qu'on ne passe pas inapercue dans ce genre de chose, mais contrairement à d'autre, elle est humble alors elle n'allait pas se vanter de sa richesse. Elle avait seulement toujours vécue dans le luxe alors les regards n'étaient pour elle, que quotidien.
Bref, une fois prete elle prit le pas pour se diriger vers la porte d'entrée de cette énorme bâtisse. Cette bâtisse qui ne semblait pas vraiment avoir changé depuis la dernière fois et le fait fût confirmé lorsqu'elle y entra et scruta les alentours ne voyant rien de nouveau, si ce n'est que des nouvelles têtes dont certaines semblaient totalement l'ignorer alors que d'autre la dévisageait gentiment ou alors bizarrement, allez savoir la différence. À ce moment, une tonne d'interrogation envahi l'esprit de la demoiselle, cherchant à savoir comment sera cette nouvelle année. Que fera-t-elle, qui deviendra-t-elle et surtout avec qui aura-t-elle à faire. Tout cela dépendait d'une seule et meme chose. Alors intriguée, elle déposa ses valises sur le plancher déja bien usé. Quelqu'un finira bien par l'accueillir dans les quelques minutes qui suivent. Du moins, c'était à espérer puisque bien des gosses de riche sont d'un égoisme exaspérant et ne pense qu'à vivre à la facon "Je, Me, Moi". Par chance, elle ne faisait pas parti de ceux-là. Mais elle pouvait être patiente. En attendant, elle prit place sur un divan tout près de l'entrée, laissant ses bagages devant la porte. Quelqu'un réalisera bien qu'il y a une nouvelle venue. Et puis, elle avait l'air moins idiote assise plutot que debout sur ses deux jambes ayant l'impression d'attendre le messie.