Retrouvailles ♪ [ Pv: Akio ]

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Aujourd’hui ça faisait pile deux semaine et demi qu’il avait réussit à éviter comme il le fallait Akio. Bien sur lui ne comptait pas, sa tête était ensevelit sous d’autres choses plus ou moins importante. Examens plus la santé de sa grand-mère, ça avait des effets négatifs sur le blond qui se trouvait fatigué. Pour s’occupé de lui et de lui seul, il était aller faire un tour chez le coiffeur, rénovant une couleurs un peu foncé et coupant par ci par la, sa changer quand même de son ancien blond clair. Puis il était aller s’acheté de nouvelles fringues, dont le jean avec effets abîmé et sa chemise noire d’un style un peu gothique. Par-dessus il portait son habituelle veste de cuir noire et aux pieds ses doc martin. Ce matin il s’était lever de plutôt bonne humeurs, et il se promenait en ville depuis 11h. Il s’était arrêter manger dans un petit restaurant local et était repartis se promener. Il faisait beau, et le temps était doux, autant profitait un maximum de ce week-end tranquille.

Quand vint deux heures de l’après midi, il passa devant un café. La cartes des pâtisseries chocolats et cafés proposé plus au jeune homme qui entra dans le bâtiment. A l’entrée on le prévint qu’un séance photos se dérouler dans une partie du café mais qu’il ne devait pas faire attention, ils auraient bientôt finis. Reita ne s’en préoccupa pas, il partit s’installer à une table près de la fenêtre. Une fois assit, le coloré sortit son portable, neuf vu que les dernier s’était fait écraser après une bagarre acharné, celui-ci était quasiment identique au précédent. De toute façon, le bassiste ne se préoccupait que peu de l’apparence, tant que c’était utilisable ! On vient bientôt avec sa commande.

- Voilà pour vous, monsieur.

Reita adressa un vague signe de tête au jeune homme et remit son portable dans sa poche. Il retira sa veste et la posa sur le dossier sa chaise et concentra ensuite son attention sur son café et les quelques pâtisserie misent à côté. Ça avait l’air bien appétissant au yeux du garçon. Il mit deux sucres dans son café, et entama les petits gâteaux. Ah ! Qu’il était bien la, tranquille, au calme, personne pour l’ennuyait. Le pied quoi. Le bagarreur, mémorisa le nom du café et sa position, il y retournerait sûrement. Le décors intérieur dans les tons crème était très jolie et les tableau représentant diverses sucreries sur les mur donnaient faim. De plus c’était calme et le service très appréciable. Mais comme toute bonne chose a une fin, une voix plus élevé retentit dans le café et un homme slalomer entre les tables regardant tous les clients.

- Il me faut un figurant !

Cela faisait bien une heure qu'Akio était assis à la table de son café, le serveur était tout rouge et transpirant à chaque fois qu'il devait rapporter une tasse de café au mannequin, pour que la fumée continue de s'échapper de la tasse blanche. Autour de lui s'activait, coiffeurs, maquilleurs, et photographes. Il était habillé d'une chemise marron ouverte jusqu'environs la moiter de son torse imberbe. Un collier en argent représentant un serpent mangeant un crâne tombait dans l'ouverture de cette chemise. Son pantalons était noir et il portait des santiags marron également. Son maquillage était plutôt clair dans le coin de l'œil intérieur et très renforcé vers l'extérieur. Il était mitraillé par les appareils photos, obéissant aux ordres tels que « tournez légèrement la tête », « ne bougez plus » etc.
Un des photographes partit vagabondez dans le café en criant qu'il avait besoin d'un figurant. Uruha le regarda brièvement, l'air blasé, pas besoin de crier aussi fort les gens étaient à côté de lui après tout. L'androgyne continuait de se faire photographier alors que la voix du photographe se tût, il avait dût trouver son bonheur.
Pour une prise Akio plaça un de ses doigts devant ses lèvres légèrement entre-ouvertes, fixant l'appareil comme s'il allait lui sauter dessus d'un moment à l'autre. L'extra-sensualité était demandée pour cette prise et c'était de loin ce que préférait faire le jeune homme.

Alors que le photographe criard revint avec sa trouvaille et qu'Akio était toujours dans la même position, l'homme en train de prendre les photos déclara.

-C'est magnifique Uruha, baissez un peu plus la tête....

Sans se faire prier le blond baisse légèrement la tête, les yeux toujours fixer sur l'appareil, il posa son coude sur la table et passa sa main dans les cheveux, les mettant un peu en bataille, sa tête reposait sur cette main, ses yeux ne décrochaient pas de l'appareil.

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L’homme qui venait de parler à haute voix se rapprocha de sa table et s’appuya contre toisant, observant le bassiste. celui-ci leva un regard froid et effrayant vers lui. Mais comment osait-il venir le déranger ? L’homme continua son observation, murmurant divers mots, tournant presque autour de la table. Le jeune homme ne comprenait pas ce qu’il disait et ce comportement commencer à l’insupporté. Lui qui avait prévu de revenir ici, si c’était pour trouver des personnes aussi embêtante il changerait vite d’avis. Presque hors de lui il se leva tapant des mains sur la table. Alors qu’il allait envoyé l’énergumène, celui-ci le coupa net.

- Parfait, il faut que tu pose pour nous ! Tu sera très bien payé si c’est ça qui t’inquiète, tu sera superbe, couple parfait avec notre mannequin.

Reita haussa un sourcil. Poser ? Il voulait donc le photographier ? Le bassiste fut emporté près de l’endroit du café ou la séance se dérouler. Il n’eut pas le temps de trop protesté et décida de se calmer, il n’allait pas se gâcher la journée en se mettant de mauvaise humeurs. Sa pouvait toujours être amusant. Il arriva derrière celui qui semblait être le photographe principal et s’étrangla en l’attendant et en voyant qui était le mannequin.

- C'est magnifique Uruha, baissez un peu plus la tête....

Mon dieux, pas que la vision de son ancien amant, dans une position superbement sexy, et qui l’aurais bien plus chamboulé quelques temps plus tôt, soit horrible loin de la. Mais pourquoi lui ? Le hasard faisait mal les choses, ils s’étaient si bien débrouillé pour s’éviter et la PAF, à cause de ce fichu café et de ce fichu photographe il allait devoir poser avec lui. Car de toute façon Akio le verrait bien et il ne pouvait pas fuir, hors de question ! Il s’était retourner, ce mettant dos à Akio, soupirant et levant les yeux au plafond. Il se murmurait de rester calme et parfaitement impassible, il devait faire comme si il ne naissait pas Akio car c’est sûrement se que pensaient les photographes.

Il s’assit non loin deux femmes vinrent s’occupés de son visage et ses cheveux. Elles ne touchèrent pas au bandeau qu’il portait sur le nez, le photographe disait que sa serait super, ça ferait sois disant très mystérieux et plein de charme. Bien qu’il n’avait pas bien l’habitude de se faire maquillé il se laissa faire sans bronché, on ajouta quelques touche de noire à ses yeux et la coiffeuse rafraîchis la position de ses cheveux. Il fut enfin près. On lui demanda quand même son prénom, il préféra donner son prénom plutôt que son surnom. Le photographes principal lui pria d’aller s’asseoir sur la chaise à côté d’Akio. Ça serais l’occasion de le taquinait silencieusement comme ils le faisaient quelques semaines plus tôt. Il obéit docilement, prenant tout d’abord soin d’évité le regard du mannequin. Il se retrouva légèrement pencher sur le côté, sa main poser sur le dossier de la chaise de son compagnon, comme en train de lui parler naturellement.

- Bien ! c'est super !

Les flashes fusaient de l'appareil photo et Akio changeait de temps à autre de poses, des fois de quelques centimètre seulement. Un vit une silhouette se distinguer au côté du photographe en train de le le mitrailler, c'était sans doute le figurant qu'il recherchait tant. Dans tous les cas le mannequin espérait que ce n'était pas un laideron, il ne manquerait plus que ça. Les photos continuèrent environs cinq minutes de plus avant que le photographe ne déclare qu'ils allaient faire une pause en attendant que le petit nouveau ne soit prêt. À peine eut-il prononcer ses paroles que le serveur s'activait à apporter une bouteille d'eau à l'androgyne et au photographe. Alors qu'un des photographe vint lui parler pour lui expliquer le déroulement de la suite de la séance avec le figurant, Uruha tourna les yeux vers celui-ci. Inutile de décrire le choque lorsqu'il vit son ex-amant en train de se faire pouponner par les maquilleuses et coiffeuses. Depuis quand acceptait-il de faire des photos pour des magazines celui-là?
Alors qu'un autre photographe prenait place derrière l'appareil, le mannequin reporta son attention sur l'homme toujours en train de lui raconter la suite des événements, il acquiesça - bien qu'il n'avait pas la moindre idée de ce qu'il lui avait raconté - alors qu'il sentit Reita s'installer sur la chaise à côté de lui. Il ne lui adressa même pas un regard, bien qu'il sentit son bras se poser sur le dossier de sa chaise pour la photo.

-Parfait! Uruha-san placez-vous près de l'oreille de Takeo et faite comme si vous lui murmuriez quelque chose.

Professionnel, il accepta de le faire, il se plaça près de l'oreille de son vis-à-vis, son souffle caressant involontaire la peau de Reita. Il baissa les yeux comme s'il disait quelque chose d'érotique aux oreilles du décoloré, qui ne l'était plus vraiment. D'ailleurs cette couleur lui allait à ravir.

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Sa commencer bien, mais bon, Reita n’était pas dans son milieu et il se demandait pourquoi au final il s’était laisser traîné ici. Ah oui ! Il s’était dit qu’il valait mieux rester calme et ne pas retourner le café et taper sur le photographe, oui il était très susceptible ces derniers temps. Mais sa s’embrouilla davantage quand il sentit son ancien amant se pencher contre son oreille, respirant contre celle-ci, suivant parfaitement les conseils du photographe. Il ne décontenança pas pour autant. Il devait zen, calme. Alors suivant lui aussi les ordres du photographe, il entourant le café de ses mains, baissant les yeux vers celui-ci prenant un air attentif au se que pouvait bien lui dire silencieusement Akio. Bientôt, un assistant apporta un journal au guitariste, celui-ci le prit entre les mains.

- Takeo, lève toi et place toi derrière Uruha, débrouille toi pour faire comme si tu lisais le journal derrière son épaule.

Reita se leva délicatement oui car il avait beau être brute épaisse, il pouvait se montrer très calme et doux, d’ailleurs Akio pouvait très bien témoigné. Mais ce n’était pas le moment de penser à ça Qu’Akio est soufflé intensionellement ou pas contre l’oreille de Reita, celui-ci allait se venger d’une manière ou d’une autre. Il s’appuya sur le dossiers de la chaise du mannequin et pencha sa tête à côté de la sienne. Son souffle décala quelque mèche contre sa nuque, celle qu’il aurait sans doute embrasser en temps normal. Puis il posa son regard sur le journal et afficha un air impassible, tranquille. Puis il murmura doucement pour que seul Akio n’entende.

- Ne te méprend pas, ce gars était déterminé, j’avais aucune envie de mettre le café sans dessus dessous.

Mais pourquoi se mettait-il sur la défensive ? Il faisait se qu’il voulait non ? Il n’aurais sans doute du jamais entrait dans ce café, et continuer sa promenade tranquillement. Les débuts, le revoirs, sa lui avait fais certes un choc, mais sa passer il s’y faisait. Mais il lui tarder quand même qu’ils n’aient plus besoin de lui ! Il n’avait pas du tout l’envie de renouer de lien avec lu, ils avaient trop bien réussi à s’évité pour tout gâcher maintenant. Les flashs ne cessèrent durant quelques minutes, on leur demanda de changer plusieurs fois de position, faisant des commentaires sur le couple parfait qu’ils formaient. D’ailleurs ces commentaires avaient pour don de mettre le bassiste hors de lui, mais il restait calme !

Enfin on libera les deux garçons. Il ne savait pas si la séance était finit pour l’autre mais lui s’empressa de sortir tout en refermant le haut de sa chemise. Une fois dehors il s’alluma une clope et s’appuya contre le mu près de l’entré du café. Il songeait à ensuite rentrer finir se qu’il avait commander comme si de rien n’était et rentrer chez pour y rester définitivement enfermer. Pourquoi pas changer d’Université par l’occasion ? Non il avait affreusement galéré durant les recent examens, il ne fallait pas tout gâcher quand même.

- Takeo, lève toi et place toi derrière Uruha, débrouille toi pour faire comme si tu lisais le journal derrière son épaule.

Le dit Uruha vit le désormais châtain se lever et faire comme le photographe lui avait demander, sagement. Wow, mais c'est qu'il lui obéissait au doigt et à l'œil, la seule personne avec qui il l'avait vu être aussi calme et appliqué c'était avec lui. Aurait-il fait quelques progrès pendant ses deux semaines et demie? Toujours est-il qu'il sentit le bassiste se positionner derrière lui, soufflant sur une mèche de ses cheveux, comme son partenaire il resta totalement impassible, après tout c'était un professionnel.

- Ne te méprend pas, ce gars était déterminé, j’avais aucune envie de mettre le café sans dessus dessous.

Ben voyons, la bonté même ce type! Il voulait peut-être qu'on lui décerne une médaille? Akio eut une soudaine envie de sourire : le pauvre se sentait obligé de se justifier quand à sa présence dans le café, Uruha ne lui avait rien demandé.

La séance photo prit fin un bon quart d'heure après et Takeo ne se fit pas prier pour quitter les lieux, Uruha lui, s'approcha de l'ordinateur portable pour regarder les photos de lui seul et avec le bassiste. Il fallait avouer qu'elles respiraient le glamour ces photos, son ex-amant s'était plutôt bien prêté au jeu. Le photographe lui dit qu'ils allaient faire encore quelques prise mais qu'il pouvait prendre une pause en attendant, il allait devoir se changer pour la suite des événements.
Il se dirigea donc dehors, une cigarette dans la bouche et il vit Takeo, qui faisait de même. Même s'il l'avait évité pendant plus de quinze jours il décida d'aller lui parler quand même.

-Alors comme ça on devient pacifiste?

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Bon ben l’idée de partir sans avoir à adressé la parole au blond était foutu. Celui-ci venait de sortir, la clope au bec et de plus il lui adressait la parole, comme si de rien n’était. Tant mieux !

- Alors comme ça on devient pacifiste ?

Foutage de gueule ? Bon il était rester calme jusqu’à présent alors il allait le rester. Avouons qu’il avait un peu raison, Reita faisait bien plus attention, sans doute marre de se retrouver plein de bandages certaines fois. Mais bon, c’était bien mieux pour lui et son corps, qui commençait déjà à supporter de moins en moins les coup, il avait un peu trop enchaîner les dernier avant et après sa dernière nuit avec Uruha et donc il avait décidé de se calmer un peu, de devenir plus pacifiste comme disait le mannequin. Il se décida donc à lui répondre.

- Ouais ta vue, j’ai même pas frappé criard, même si ce n’étais pas l’envie qui m’en manquer.

Il sourit en coin, remettant la cigarette entre ses lèvres, sortant son portable de la poche de sa veste. Il était 14h 36, je temps était passer bien vite à son goût. Mais bon, plus le temps passer, plus sa voulait dire qu’il allait se barrer loin d’ici. Mais bon, leur début de conversation n’était pas du détestable non plus, bien que sa lui faisait bizarre de tenir une discussion avec son ancien aman. Pas que sa lui manquer non plus hein, enfin ça il n’en était pas sur non plus, au départ sa lui avait fait bizarre de ne plus fréquenté Akio, mais il s’était en quelque sorte habituer. Mais il avait minimiser ses relations, ayant sans doute peur que ça fasse comme avec Akio.

Le blond étira ses bras derrière son dos et tira une bouffé de sa cigarette. Il leva les yeux vers le ciel reprenant le cylindre entre ses doigts. Il aurait du arrêter ça en même temps que sa relation avec Akio, ça ne lui aurait sans doute pas fait de mal. Les nuages découvrirent le soleil et Reita baissa les yeux nous ne pas se les brûler, il faisait très bon aujourd’hui, il avait choisi la bonne pour sortir, en revanche pour le café, il n’était pas persuadé d’avoir bien trouver.

- Ouais ta vue, j’ai même pas frappé criard, même si ce n’étais pas l’envie qui m’en manquer.

Eh ben il y avait du progrès. Où était passé la brute qu'il avait trouvé un soir complètement amoché par une barre de fer? Le mannequin reporta son cylindre de nicotine entre ses lèvre tirant une petit bouffée. Malgré tout, il devait avouer que ça lui faisait bizarre de reparler avec le bassiste, ils avaient fait beaucoup d'efforts pour s'éviter - car il ne doutait pas que Reita aussi avait tout fait pour l'éviter depuis cette fameuse nuit dans l'ascenseur. Enfaite, Uruha ne pensait pas vraiment l'"éviter" il avait surtout été dégouté de voir qu'il pouvait apprécier les petites midinettes comme il avait vu dans le hall de l'hôtel. Même si, sans se l'avouer,ça lui avait fait tout drôle de ne plus fréquenter le décoloré, il avait continué de se prostitué et de multiplier les amants.

-Bravo, je suis fière de toi. Ça a dût être dur d'apprendre à te contrôler non?

Peut-être est-il inutile de préciser que cette question avait un double sens? Bien qu'il le faisait ressentir en le disant, il pouvait très bien n'avoir aucune critique derrière la tête. Une légère brise souffla sur eux faisant retomber une mèche dorée devant le visage maquillé du blond qu'il s'empressa de la rejeter en arrière. Il fini rapidement sa cigarette, se retournant et l'écrasa contre le mur de pierres du café. Il soupira en se détachant du mur.

-Aufaite, ils veulent te revoir pour savoir où ils envoient le chèque.

Il haussa des sourcils pour lui dire qu'il n'avait pas le choix de toute façon, du moins s'il voulait être payé pour avoir eut à supporter la présence de son ancien amant. Le blond rentra dans le café et alla directement dans les toilettes où l'attendait une nouvelle tenue : t-shirt blanc, imprimé en noir et gris, pantalon gris tout aussi moulant que le précédent, veste en cuire noire et mitaines noires également. Il sortit de la cabine et se regarda dans l'immense miroir pour vérifier que tout était bien mis.

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Une tension pesante était installer entre les deux. Bien sur aucun ne l’assumer ou n’y prêtait attention. Ils se contentaient de tiré sur leur cigarettes et de parler sur un ton purement blasé, comme d’habitude en fait. Ces retrouvailles faisaient presque penser au jour de leur rencontre, plutôt calme et très distant. Halala, les quelques semaines durant les quelles ils ne s’étaient pas vue n’avaient rien changer à leur comportement l’un avec l’autre. Perdue dans ses pensées, il n’écouta qu’à moitié le blond. Okay il s’était calmer, enfin il faisait attention à ne pas s’énerver trop facilement mais il ne cessait de participer à des tournois par ci par la, gagnant ou perdant. Il secoua la tête, sa cigarette s’était consumé sans qu’il n’y touche ces dernières secondes, il la reporta à ses lèvre tout en écoutant le blond lui ré adresser la parole.

- T’sais, c’est pas si compliquer que ça finalement, sauf quand on à affaire avec un emmerdeur de première.

Il parlait d’un ton plus ou moins neutre, mais un petit sourire en coin était venu ornait son visage. Le coloré ajusta sa chemise et écrasa sa cigarette contre le mur avant de jeter le mégot dans une poubelle fautes pour près de l’entré du café. Si il restait trop longtemps dehors dans cette tenue il risquait de choper mal. Il avait beau faire beau, un vent frais souffle sur sa chevelure, et c’était pas vraiment le moment de tomber malade. A nouveau le guitariste prit la parole après avoir lui aussi jeter sa cigarette et s’être décoller du mur, il avait l’air bien las ma foie.

- Au faite, ils veulent te revoir pour savoir où ils envoient le chèque.

Le bassiste acquiesça d’un bref signe de tête. Akio rentra, l’autre le suivit sans retenir un petit regard discret. Il avait toujours jolie petit cul le mannequin. A nouveau, Reita sourit pour lui et releva ses yeux, fallait pas non plus qu’on le voit en train de mater les fesses de Uruha le fameux mannequin, il allait en prendre pour sa pomme >>. Il s’arrêta pour discuter avec les photographes quelques minutes puis une fois le tout arranger retourna à sa table finir se qu’il avait commencer. Quelques minutes plus tard il observa Uruha sortir des WC dans une nouvelle tenue. Il était d’autant plus séduisant dans celle la que dans l’autre ! Mais bon, le bassiste rabaissa les yeux sur les petits gâteaux qu’il lui rester. Lorsqu’il eut finis il se leva et renfila sa veste. Il laissa l’argent sur la table et sortit, ne jetant même pas un œil à Akio qui devait encore se faire mitraillé de photo.