Partie de Poker

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Hana arriva à son bar, oui c'était son bar elle le savait, ici personne ne résistait à son jeu et personne ne pouvait la vaincre. Elle était tout simplement imbattable au poker et elle le savait ce qui lui donnait un air prétentieux qui lui sciait à merveille. La jeune fille déguisée en homme en avait même oublié que Akio l'avait suivit, à vrai dire elle oubliait tout lorsqu'elle rentrait dans ce bar, l'odeur des cigares et cigarettes, l'odeur du wisky et autre alcool fort, le bruit des cartes sur la table et dans les mains des joueurs ou encore cette musique de fond ou ces gens ... Tout lui plaisait, elle se sentait dans son élément et ce bar le lui rendait bien. Elle adorait la patronne qui était une jeune femme trop maquillée et habillée de façon excentrique mais qui était tellement gentille et puis elle connaissait le secret de la jeune fille. Elle fumait toujours des cigarettes noirs au goût atroce et elle avait les dents un peu décalées et jaune pourtant son sourire restait tellement chaleureux. Hana s'approcha du bar pour voir la jeune femme et la saluer. Les deux femmes se donnèrent un sourire mutuelle, elles étaient très complices et ça tout le monde le voyait. Les gens pensaient même parfois qu'elles étaient un couple. Hana commanda un simple verre d'eau, elle aimait être sobre pour jouer. Elle montra du doit Akio à la femme pour lui indiquer qu'il l'accompagnait et qu'elle pouvait mettre sur sa note tout ce qu'il prenait. Le jeune homme n'apprécierait surement pas ce geste mais elle s'en foutait pas mal, si il n'était pas content il n'avait qu'à aller ailleurs. Elle n'avait plus la force de luter avec lui et ici elle était chez elle, il savait à quoi s'attendre. Hana se dirigea vers la table de poker et en un regard elle fit lever un jeune qui sentait qu'il n'avait plus sa place. Elle pris place à la table avec son verre d'eau et alluma une cigarette. Elle tapa sur la table pour récupérer des cartes. Bonne main comme toujours, un as et un valet. Le flop tomba, deux as et un trois. Brelan d'as pour Hana, elle mis une mise normal pour ne pas faire coucher ses adversaires. Petit à petit la partie se joua, Hana remporta le premier tour avec un brelan d'as, petite main mais qui rapporte. Plusieurs parties se déroulèrent et la jeune fille gagnait petit à petit de plus en plus d'argent. Au bout de quinze tours elle stoppa le jeu et se retira ce qui énerva un des joueurs qui commença à agresser la jeune fille. Hana détestait ce genre de situation, la patronne était sortie jeter les poubelles et les autres joueurs n'étaient pas des habitués, ils ne la connaissaient pas et ne l'aideraient probablement pas. Elle se recula en repoussant l'homme.

" - Bat les pattes ne me touches pas petit con ! "

Elle aurait mieux fait de tourner sa langue sept fois dans sa bouche une nouvelle fois. La colère de l'homme ivre s'agrandit et il poussa Hana qui tomba entrainant avec elle, chaise et table. Décidément elle s'était mis dans une situation difficile et la patronne ne revenait toujours pas. Pourvue qu'elle ne soit pas partie faire un tour, il fallait qu'elle tienne jusqu'à ce qu'elle revienne, c'était surement pas Akio qui allait l'aider, il était beaucoup trop égoïste et la détestait trop pour ça. Elle savait parfaitement que pour lui, voir son visage était un supplice. Un filet de sang coula de sa lèvre mais aucune larmes dans les yeux, elle crèverait peut être mais elle ne pleurerait jamais, elle avait oublié ce que c'était.

Voilà un bon point pour Hana : elle faisait découvrir son premier bar dans le coins à Akio. Et quelle bonne cation aux yeux du jeune homme, car c'est dans les bars que les beaux jeunes hommes trainent souvent. Malheureusement avec elle dans les parages il ne pouvait pas se permettre d'aller aborder un autre homme, il ne devait pas montrer qu'il était homosexuel. Après tout il ne savait pas comment cela était vu par ici, peut-être était-ce considéré comme une tare atroce. Bien qu'il ne se souciait pas du regard des autres sur lui il voulait d'abord savoir s'il se pouvait que d'autres hommes comme lui étaient présent dans et aux alentour de cette université. Uruha s'assit au bar et commanda un alcool fort, il avait compris qu'Hana payait pour lui mais il refusait d'abuser de ce fait. S'il voulait quelque chose de cher il avait largement les moyens de se le payer tout seul. Il sortit une cigarette de son paquet et commença à fumer silencieusement toisant le bar du regarde, pour trouver ses marques et pour, peut-être repérer de quoi l'occuper cette nuit, bien que ce ne soit pas recommander de découché le premier soir d'internat. Enfin il verrai bien, rien d'alléchant pour le moment.
Il porta son attention sur la jeune femme devenue homme pour la soirée. Alors comme ça elle se déguisait pour jouer aux cartes tout simplement? Son truc à elle c'était le bluff? Drôle de passe temps pour une fille à papa. Enfin ce n'était pas à lui de la juger pour ça, lui se prostituait bien pour occuper son temps libre.
Il reporta sa pleine attention sur son cylindre en train de consumer lorsqu'il entendit un vacarme infernal, bruit qui venait apparemment de la table où se trouvait la peste quelques instants avant. Lorsqu'il releva la tête il vit, qu'effectivement, le bruit provenait bien de là bas. Il roula des yeux, consterné en voyant Hana à terre parce qu'en plus il fallait que quelqu'un vienne la défendre? Lourdement partager entre le fait d'attendre qu'elle le supplie ou celui de prendre sa défense montrant ainsi qu'il n'était pas un être dépourvu de coeur Akio se décida tout de même à se lever. Il attrapa l'homme qui s'apprêtait à taper Hana à terre passa ses mains autour de sa taille comme pour un geste tendre et le retourna brusquement pour lui coller un coup de genoux magistral dans une partie fragile. Il sourit méchamment à l'homme qui le regardait avec un air mi-outré, mi-douloureux encré sur la face et déclara en regardant les autres hommes muets.

-Pour des grands gaillards comme vous s'en prendre à un moustique comme lui c'est honteux, dit-il en montrant Hana du menton
Moi aussi je serai furieux de perdre devant un énergumène pareil, mais c'est surtout de votre faute...si vous n'avez pas de cervelle.

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Hana n'en croyait pas ses yeux, Akio venait de la défendre voir même de la protéger. Elle se sentit perdue, elle ne s'attendait pas le moins du monde à ce qu'il l'aide. Elle se releva tant bien que mal, et essuya sa bouche pour retirer le filet de sang qui continuait de couler. La patronne arriva comme une furie et poussa tout le monde sur son passage, elle attrapa l'homme qui avait poussé Hana et lui décrocha une droite d'un autre monde. Tout le monde écarquilla les yeux, la responsable du bar avait vraiment une force colossale et ici tout le monde la respectait car il savait de quoi elle était capable. La femme vociféra des insultes en poussant l'homme jusqu'à le jeter hors du bar en lui donnant des coups de pieds et en lui hurlant de ne plus jamais remettre les pieds ici. Elle revint alors vers Hana pour l'aider à se relever et l'entraina pour l'amener à l'arrière et la soigner. Hana la suivit donc puis lui fit lâcher son bras une minute en revenant vers Akio. Elle avait un visage triste et baissa la tête pour regarder ses chaussures. Elle sortit de l'argent de sa poche qu'elle avait gagné au poker et lui donna. Pour éviter qu'il lui balance au visage, elle prit une mine prétentieuse et lui décrocha quelques mots.

" - Ne t'imagine pas que c'est pour te remercier, c'est juste pour que tu paie la note ! "

C'était totalement faux il y avait bien plus qu'il n'en fallait pour la note mais elle ne voulait pas l'admettre, cependant Akio n'était pas bête et il savait compter, il le verrait immédiatement. Elle retourna en direction de la patronne en courant comme une enfant et recommença à marcher pour sortir par la porte de l'arrière. Elle se retourna vers Akio en continuant de marcher, avec un visage qu'il n'avait jamais vu sur elle, et fit bouger ses lèvres pour former un merci plein de gène et montra de la tête un jeune homme qui venait d'entrer dans le bar il y a quelques minutes, elle voulait montrer à son colocataire qu'il y avait une personne qui pourrait lui plaire. Elle n'était pas bête elle avait bien compris qu'il était attiré par les hommes et qu'il faisait des choses louches. C'était sa façon de lui montrer que ce soir il pourrait s'envoyer en l'air avec le petit homme qu'elle avait vue, et même qu'elle ne le dérangerait pas si ils le faisaient dans la chambre du dortoir. Dans sa tête tout lui semblait flou, elle détestait Akio alors pourquoi lui paraissait il si gentil tout à coup. Comme pour se convaincre qu'elle ne l'aimait pas, arrivée à la porte elle se retourna une dernière fois et tira la langue au garçon. Puis elle quitta les lieux sans demander son reste le sourire aux lèvres.

[ » Le Toit ]

Akio regarda, impassible, la patronne du bar débarquer comme une furie et frapper l'homme qui avait bousculé Hana. Il était inutile de faire toute une histoire pour si peu, elle ne s'était rien casser après tout juste une petite blessure à la lèvre qui n'y paraîtra plus, pas de quoi fouetter un chat. Alors qu'Akio allait retourner s'assoir au bar sans adresser un regard à celle qui partageait sa chambre mais lorsqu'il bougea la jeune femme s'approcha de lui et lui mit de l'argent dans la main. Uruha arqua un sourcil en regardant le contenu de sa main, il ne savait pas s'il devait bien r"agir ou on à ce geste. Il avait assez d'argent pour payer une petite note, surtout que cet argent n'étais pas que pour la note mais pour le "remercier" comme s'il avait ça pour elle... En y réfléchissant tout prêtait à dire ça mais non ce n'était pas du tout pour ça, il la détestait. Lorsqu'elle sortit elle lui montra un jeune homme du menton...serait-elle au courant que...? Non, impossible en une journée elle ne pouvait pas voir ce que d'autres personnes n'ont jamais vu en plusieurs années, d'autant qu'il n'avait rien fait pour mettre des doutes. Il lui fit une grimace en lui faisant signe qu'il ne comprenais vraiment pas où elle venait en venir.
Akio se retourna et alla en direction du bar en posant l'argent donner par Hana sur le bar en faisant comprendre du regard à la serveuse que c'était pour payer sa consommation, en plus de ça il commanda un autre verre d'alcool, il lui fallait bien ça après une journée comme celle-ci. Il prit place à côté d'un petit blond et attendit son verre en tapotant des doigts sur le bar de bois.

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Apparemment tout était redevenu calme, Ruki ce retourna pour voir la suite de la scène, et remarqua que la serveuse – qui était revenu en courant de son petit tour - qui égueulait le gros tarlouze et le fit sortir du bar pour avoir de l’ordre.
Le blond soupira et regarda le bar qui était bien brillant, tout était en marbre. Il regarda au tour de sois et remarqua les quelques énormes miroirs ou gigantesque, car tout était énorme ici de tout façon. Les tapis rouges partout, les table de jeux bien propre et net. Enfin tout était en super bonne qualité, ça n’allait pas déprimer les riches en tout cas.
Il remarqua que le petit – qui avait provoquer le gros – partir, il devait surement avoir gagner suffisamment d’argent pour aujourd’hui.
Tient, il donnait de l’argent à l’androgyne, peut être qu’il était dans la même combine, ou l’avait aidé à triché au jeux ? Enfin ça ne l’intéressait plus tout ça, et il se retourna encore une fois de plus et remarqua la serveuse qui était revenu, il releva les yeux vers elle car celle-ci demanda sa demande.

« Un verre de citron s’il vous plait »

La femme arqua un sourcil, elle devait surement être surprise que des gosses de riches demandais ça.
Le blond sourit intérieurement ,il s’était mit au régime car il se trouvait trop gros. Le jus de citron ça brule les calories, enfin c’est ce qu’avait dit sa cousine.
Quand la serveuse venait ramener sont verre elle pris la commande d’un autre garçon, qui apparemment c’était mit à côté de lui sans qui le remarque.

Ruki le regarda sans qui le remarque, il voulait pas se retrouver dans al même situation que la tantôt avec Young Im.
C’est lèvres avaient une belle formes et étaient fines, ses yeux était légèrement maquillé de noir avec du gris et ça peau devait surement être douce, car celle-ci avait l’air bien laiteuse.
Il pris une gorgée de citron et regarda ensuite encore la pièce. C’était bien calme ici en fin de compte, après la rencontre avec Young Im et Jin il aurait aimé connaître d’autres personne.
Il regarda l’androgyne encore une fois et ce dit que c’était peut être pas une mauvaise idée de le connaître, ça ferai encore une personne de plus connu.
Par contre c’est le début des conversations qui était chiant. Soudain lui apparu une idée et il s’exclama :

« Vous êtes quelqu’un d’habitué ici ? Car enfaite j’ai besoin de quelqu’un qui connaît l’école et qui pourrait me la faire visiter. »

Enfin seul dans un bar. Sans personne qui ne le connaisse, ou du moins peut-être de vue, certaines personnes ont déjà dût le voir sur certaines pancartes ou certains magazines, après tout il était mannequin et plutôt demandé. Un bruit sec sur le bar lui fit comprendre que sa commande venait d'être posée devant lui, mais il ne releva pas les yeux, pas tout de suite. Quelle journée de malade. La plus nul que l'univers n'est jamais créé sans doute, sa grande maison vide dans laquelle il pouvait faire ce que bon lui semblait lui manquait. Bien évidemment il pouvait y retourner quand il voulait mais être réduit à vivre dans un internat 365 jours lui donnait une nausée monstre. Une université qui regorge de fils et de filles à papa et maman qui se croient roi du monde, chacun à leur manière. Bien qu'Akio soit généralement quelqu'un de peu sympathique il ne se considérait pas comme tel. Il aimait sa fortune, aimait le monde dans lequel il avait grandit bien entendu mais il ne prenait pas la moindre petite chose au sérieux, il était réputé pour son je m'en foutisme à tout ce qui se passait. Prenons l'exemple des filles à papa par exemple : elles se cassent un ongle et ça y est elles se voient déjà ensevelis sous l'océan. Attitude purement féminine soit dit en passant (il n'y avait que les filles pour être aussi courgettes).
Le blond pris son verre et bu une courte gorgée avant de redescendre sa main. Il fit tourner le liquide et le regarda comme passionné par ce geste débile. Car oui il l'avouait : faire ce genre de truc était tout simplement pathétique. Il reposa son verre à cette pensée. Quel idiot.

« Vous êtes quelqu’un d’habitué ici ? Car enfaite j’ai besoin de quelqu’un qui connaît l’école et qui pourrait me la faire visiter. »

Ah. On lui parlait. Que de gens qui parlent dans ce coins. Akio hésita longuement à répondre, la dernière fois qu'il avait répondu à quelqu'un qui lui parlait c'était à cette débile d'Hana. Il aurait mieux fait de s'étrangler avec sa salive avant de commettre ce geste inconsidéré. Avant de répondre Uruha sortit une cigarette de son étui et ne regarda que brièvement l'homme à côté de lui avant de lui répondre.

-Je viens d'arriver ici. Si vous voulez connaître Hakujoo, j'ai peur que vous ne vous adressiez à la mauvaise personne.

Le blond fût attiré par un tract qu'une personne venait de déposer à côté de lui, sans demander la permission de le prendre il s'en empara et vit que c'était bien ce qu'il avait anticipé, c'était un tract pour une publicité dont il avait fait le modèle. Encore. Il soupira fortement, blasé, et reposa le papier à l'endroit où il l'a trouvé, comme si de rien n'était.

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Et elle continuait de se consumer petit à petit, sa cigarette. Le jeune mannequin écoutait d'une oreille distraite tout ce qu'il se passait dans la bar. Demain il avait sa première journée de "cours", auxquels il n'assisterait pas. Il était loin d'être bête et lisait beaucoup pour quelqu'un d'aussi froid, il abordait des résultats à peu près convenable même sans lire les cours qu'on lui avait envoyé, puisqu'avant il faisait tout par correspondance, c'est tellement moins fatiguant. Personne derrière pour vous taper sur le système, pas d'obligation d'être présent, et surtout pas la difficultés de supporter toutes ses faces de débiles qu'on trouve dans toutes les universités. Il essayait de se convaincre que c'était bien car il pourrait rencontrer des charmantes personnes, mais, et il le savait pertinemment, il n'avait pas besoin de se retrouver dans une école de gosse de riche pour trouver une charmante compagnie. Triste vie.

« vous êtes nouveau aussi alors ici ?. »

Être méchant ou gentil? Gentil. Après tout il ne fallait pas se le mettre à dos lui aussi, il se pourrait que par le plus grand hasard qu'il soit lui aussi son camarade de chambre --' C'est alors qu'une idée écœurante vint en tête d'Akio : et s'il n'y avait que des filles dans sa chambre? Damnation. Il faudrait payer le proviseur pour qu'il change de chambre... Enfin n'imaginons pas tout de suite le pire.

-Oui... nouveaux, pour mon plus grand malheur. J'aurai voulu ne jamais rejoindre cet établissement miteux.

Que lui prenait-il de déballer son état d'esprit à un parfait inconnu? Décidément il devait avoir de la fièvre. Mais alors que le perspective qu'il devait être fou à lier lui effleurait doucement l'esprit il entendit la seconde réplique de son "voisin de bar"

-Hum... À vrai dire je ne me lève pas plus tôt ni rien. L'équipe s'adapte à mon bon vouloir. Je fait juste ça pour occuper mon temps libre.

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Il aimerait être mannequin... Ça n'avait jamais été son rêve à lui. C'était juste que lorsqu'il a compris qu'il était bel et bien seul avec personne pour le surveiller il avait commencer à ramener pleins de types chez lui, des fois quelques femmes pour changer. Puis il s'est dit que tant qu'à faire d'être fils de mannequin et d'avoir un physique avantageux autant s'en servir. C'est à cette époque là qu'il avait commencé à ne plus suivre les cours renvoyant simplement les interos quand il en avait. Après, toujours dans le but de s'occuper, alors qu'il était bien bête il s'est laissé convaincre par un homme qu'il appréciait beaucoup de se prostituer. Non pas pour l'argent non, juste pour le fun. Et il l'avait fait, et continuait toujours lorsqu'il se sentait mal ou seul. Mais il en avait toujours voulu d'avoir été aussi bête à l'époque et d'avoir laisser cet homme auquel il était épris le traiter comme une vulgaire morceau de viande, comme un magnifique morceau de viande certes, mais dépourvu de sentiments. Si ses parents savaient ce qu'était devenu leur fils unique ils auraient certainement très peur, mais ne rejetteraient en aucun cas la faut sur eux, non : tout ça c'est la faute de la génération de maintenant. Le fait qu'ils n'aient jamais été présent pour leur fils n'avait rien à voir avec le fait que celui-ci faisait payer des hommes pour avoir l'honneur de le toucher. Chaque semaine il recevait une somme de la banque de la part de ses parents et une lettre pré-imprimée pour son anniversaire, toujours la même : juste l'âge changeait et c'était tout. Tous les gens le reconnaissaient par son nom de famille reconnu mais lorsqu'on lui parlait de ses parent, lui, ne pouvait rien répondre : il ne les avait jamais réellement connu.
Prenant compte que le petit bond lui parlait il se présenta à son tou en regardant de nouveaux arrievtn entré dans le bar

-Takahashi Akio. On m'appelle Uruha.

Il daigna enfin tourner les yeux vers son vis-à-vis et pencha légèrement le tête pour tout signe de politesse.

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«Takahashi Akio. On m'appelle Uruha.»

Beau prénom, mieux que Akihito déjà. Il avait tout de bien celui la, une beauté parfaite ,un nom parfait ,la pose parfait. L’homme était appuié contre le bar les mains croisé posé légèrement sur son ventre. Très bel mannequin. Pas comme Ruki était, déjà il n’aimait pas qu’il était petit ,tout le monde se moquaient de lui et il se sentais vexé, ensuite son corps, pas la joie non plus, corps d’adolescents alors qu’il y a des garçons qui courent avec un beau torse bien bâtit.
Il regarda encore une fois le blond qui regarda au tour de lui, Ruki aurait vraiment être comme lui, il avait la devant lui le plus bel homme de l’internant sûrement. Les riches savent se refaire grâce à la chirugie mais à quoi bon ? Uruha n’en avait aps besoin lui.

Ruki ce raprocha de lui encore un peu plus comme un gamin curieux, et pris encore une gorgée. Soudain sont téléphone se mit à sonner. Mauvais timing.
Il le pris son portable dans sa veste de cuir et ouvra le clapait du portable noir argenté.

«Moshi ?.»
«J’ai aps le temps mais je voulais te le dire, ano , tu avais oublié tes textes, je sais que tu les adore, alors je l’ai ai envoyé avec un express. Normalement il sont la demain à la première heure.»
«Mes ses surement des vieux textes...»
«Oui, oui, oui, au revoir.»

D’un coup sec son père venait de raccrocher. Il était sûrement très occupé, mais c’était sympa de sa part de téléphoner pour lui dire qu’il avait oublié ses chansons.
Ses balades pourri qu’il n’aimait plus trop enfaite , son père ne faisait vraiment attention à rien. Enfin peut être que quand il allait les relire il continuera.
Il remis son portable dans sa vest qui pendait à la chaise haute du bar, et pendant qu’il remettais son portable un papier venait de tomber de sa poche, il la pris et la regarda un bref instant. Puis sans faire attention il lisa à haute voix :

«Internant d’Hakujoo. . .Akihito. . .Chambre 1°.»

Akio vit que le jeune homme, Akihito, n'arrêtai pas de l'observer minutieusement. Il ne releva pas et fit comme s'il ne le voyait pas et comme s'il ne sentait pas le regard insistant de son vis-à-vis sur lui. Pour une fois il n'allait pas être désagréable, il était trop fatigué d'avoir fait ça avec Hana toute la journée. Car en vrai Akio n'étais pas du tout méchant, pas du tout froid. Seulement ça il ne voulait pas qu'on le sache, il voulait d'ailleurs que rien ne se sache à son sujet, si des gens venaient à connaître son caractère et donc ses faiblesses cette personne pourrait s'en servir contre lui. Et tout ce qu'il voulait c'est qu'on lui fiche la paix. Après tout la paix il l'a eu pendant vingt-et-un ans ce n'est pas maintenant, parce qu'il intègre une école spéciale bourgeois, qu'il allait perdre ça.
Il n'avais ressentit qu'une seule fois dans sa vie le besoin et l'utilité de s'attacher à quelqu'un...À Kioshi. Cet être infâme qui l'avait fait devenir un être froid, qui l'avait fait se prostituer et qui était partis à cause de la drogue. Il l'avait lâchement abandonner dans ce monde cruel. Une fois le deuil de son amant décédé fait il s'était mis à le détester sans aucune raison apparente. Depuis il n'avait que des relations d'un soir, changeant toujours de partenaire.
S'il avait eu ses parents peut-être aurait-il sût à qui raconter sa tristesse et cette rage qui l'envahissait quand il pensait qu'il l'avait abandonner. Seulement à l'époque il n'avait que Kioshi.

«Internant d’Hakujoo. . .Akihito. . .Chambre 1°.»

Akio tourna la tête : regardant Akihito puis baissa son regard hautain sur le bout de papier que lisait à haute voix le jeune homme. Et voici donc la seconde personne à partager sa chambre. Il regarda autre part et dit sur un ton neutre.

-Chambre une... Tu es donc un de mes "camarade de chambre".

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«Chambre une... Tu es donc un de mes "camarade de chambre°.»

Ruki releva ses yeux du papier vers le bel androgyne. Alors les valises de l’homme était de lui. Il avait bien raison de s’être installé juste à côté de son lit. Peut être que au fil du temps il se parlerai un peu plus que maintenant.
Il remis le papier dans sa poche et se remit sur sa chaise.

«Ah !Vous êtes la deuxième personne que je rencontre qui sera dans ma chambre. .»

Sur le visage de Ruki on pouvait apercevoir une sourire, le premier de la soirée d’ailleurs. Il s’imaginait que peut être cette année ne serait aps aussi terrible qu’il ne l’avait pensé.
Il redemanda un verre de citron avec beaucoup d’eau en plus, et se retourna vers le grand blond.

«Vous allez faire quoi comme études ? .»

Qu’elle bête question enfaite, il serait peut être dans le côté, posage ou photographie, Ruki n’’en savait rien, en tout cas lui il allait continuer en musique et en écriture c’était sûr. Rien n’est meilleur que d’écrire tout ce qu’on ressent sur papier.
Il espérait avoir une belle carrière après l’internant, ce retrouver dans un group qui sait, ou être connu en publiant ses textes ?

Il remarqua un couple rentrer dans le bar. Déjà au début de l’année, vraiment tôt, à moins qu’il se connaissait déjà depuis l’année d’avant ? Ruki repensa a ses amours à lui, il en avait eu quelqu’une et quelqu’un. Appart que Ruki n’était jamais s’attifait d’eux, il trouvait que parfois c’était des énormes pot de col ou qu’il donnait pas assez d’affection. Rien n’était bon.
Il espérait que vivement il trouverai la bonne personne. Qui sait, il ou elle courait dans se bâtiment ?

«Vous avez une petite amie ici ?*.»

* Hs: Tu l'as ton bavage! mdr xD

D'un bref mouvement de tête Akio chassa de son esprit toute trace de son passé qui le hantait un peu trop aujourd'hui. Pourquoi repenser maintenant à ce qui était sûrement la plus sombre période de toute sa vie? Ça ne servait à rien.
Uruha se retourna du côté du bar et commanda une vodka caramel, ça faisait un bout de temps que son précédent verre était vide. Et tant qu'à faire d'être coincé dans cet internat pour gosses de riche autant profiter de la boisson alcooliser. Car chez lui il n'en achetait jamais, où alors ceux contenant le minimum d'alcool possible, lorsqu'il buvait c'était essentiellement lorsqu'il recherchait un homme avec qui il pourrait passer la nuit.
Après quelques seconde la serveuse revint et posa un verre propre sur la table avant de versé le liquide légèrement doré à l'intérieur. Akio la remercia d'un hochement de tête et bût une brève gorgée.

«Ah !Vous êtes la deuxième personne que je rencontre qui sera dans ma chambre. .»

Akio le regarda brièvement du coins de l'œil

-Hum. J'ai déjà rencontrer une personne de notre chambre aussi. Je m'en serai largement passé.

Uruha baissa les yeux, reprit son verre et le fini d'une simple gorgée. Il le reposa et regarda de nouveau la serveuse, lui intimant de le resservir.
Il soupira et arqua un sourcil en entendant la question du petit blond. Pourquoi voulait-il savoir ça?

-Je ne suis pas très doué dans les relations amoureuses, je n'aime pas m'engager.

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Ca faisait déjà de nombreuses minutes que Dong Su tournait en rond dans les couloirs de l'établissement, ne sachant pas trop où il allait, découvrant simplement à sa guise son nouvel environnement.
Visiblement la réputation de cette université égalait son niveau d'infrastructure... quand il vit que même un bar était présent en ces lieux quelle ne fut pas sa surprise!
Non vraiment... c'était inespéré. Il en poussa la porte avec curosité tout en gardant sa démarche assurée et son air profondément ennuyé et blasé imprimé sur son visage.

Comme le reste de l'établissement, l'endroit était luxueux mais pas d'un genre aussi tapageur que le grand, hall, c'était chaleureux et la lumière tamisée donnait l'impression d'intimité qu'il fallait.
Encore une fois, il s'étonnait lui même d'apprécier cet endroit.... on le verrait sûrement souvent ici.

Il s'avança vers le comptoir, sans même faire attention à une quelconque présence, il s'en tapait complètement. Son regard tomba néanmoins sur deux personnes qui semblaient discuter, ils n'avaient visiblement pas remarqué sa présence..... et Su avait à ce moment même une furieuse envie de se faire remarquer. Il n'y pouvait rien si son tempérament provocateur et emmerdeur se réveillait dans ce genre d'endroit, le cadre s'y prêtait bien diront-nous.
Il se cala contre le comptoir, appelant la serveuse d'un vague geste ennuyé de la main, avant d'observer plus en détails la faune locale. Devant lui se tenaient deux personnes qui semblaient tout aussi abruties que son cher colocataire autiste, un grand type aux cheveux blonds et aux fringues voyantes et un espèce de nabot surexité qui semblait parler autant que cela était possible.... encore des types soulants à n'en pas douter.

Il commanda, d'une voix forte et assurée, non sans jeter un coup d'oeil aux deux autres visiblement en pleine conversation. Impossible qu'on ne l'entende pas.... il se mit à siroter lentement sa commande en faisant mine de les ignorer superbement.
ça ne se voyait peut être pas mais là, il s'amusait vraiment! Voir les réaction des gens face à ses comportements ça le passionait, et il faut dire que pour l'instant, il n'avait pas grand chose d'autre à faire à part de martyriser son camarade de chambre associal. Enfin... niveau associabilité, Su se posait là lui aussi, mais c'était un autre genre et.... Ohla!! mais qu'est-ce qu'il lui prenait en ce moment à s'auto-analyser comme ça?
Sur ces pensées il reprit son air morne tout en remettant distraitement quelques mècehs de cheveux qui lui tombaient devant le visage, on est pas des porcs tout de même.

Akio continua d'écouter ce que lui disait Akihito tout en faisant tourner le liquide au caramel au fond de son verre. Oui ce geste était purement ridicule mais il faisait ce qu'il pouvait pour s'occuper les mains.
Le petit blond continua sa tirade et Akio l'avouait sans aucun remord : il ne l'écoutait que d'une oreille. Parler de l'amour c'était pas son truc mais alors pas du tout. Mais il fût comme captiver par une partie de la phrase de son vis-à-vis : « La vie est simplement un jeu qu’on joue de toute manière. » Cette phrase lui rappelait quelque chose ou plutôt quelqu'un. Il l'avait prononcer des années avant et ça l'avais marquer. Il n'aimait pas ça, lorsque les gens ressortait des phrases qu'il avait dit, alors que, jeune, Akio était passionné par ses dires, croyant que l'homme dont il était follement épris était l'artisan de ses phrases qui le captivaient. Pourtant il le savais qu'il n'avait rien inventer, mais il se complaisait dans son aveuglement.

-C'est étrange ce que tu dis...

Tant qu'à faire, autant rester imperturbable. Il n'allait pas montrer que ce qu'il avait dit le perturbait il ne manquait plus que ça.
Alors qu'il allait répondre autre chose un nouvel arrivant entra dans le bar. Peu de classe, un air peu amical encré sur le visage, il sortait d'où celui-là?
Cette université regorgeait d'énergumènes tous plus bizarres les uns que les autres, et il n'avait pas tout vu. Il regarda du coin de l'œil qui commanda (ou plutôt beugla) sa commande à la serveuse, se croyant seul au monde. On arrête pas le progrès, pensa ironiquement Akio. Il avait déjà un mal de crâne énorme il fallait en plus que ce crétin se ramène avec son allure de dégénéré et se mette à parler aussi fort que sa grand-mère (à demie sourde ce n'est qu'un détail.)
Uruha soupira en passant que cette année allait bien longue, si tous les étudiants étaient comme ça.

HS: Ça me réussit pas de rp avec toi pixel, ça va dégénéré me connaissant. Tu peux répondre tout de suite après si tu veux Aki reviens que Lundi

Finalement, son petit coup d'éclat n'avait provoqué aucune réaction particulière mis a part un léger coup d'oeil dédaigneux de la part de la blondasse... non mais franchement, y'avait pas idée de faire une couleur aussi affreuse que ses fringues? Su' fronçat légèrement les sourcils en rajustant sa chemise de marque, on ne lui lançait pas ce genre de regard, même entre jeunes prétentieux pétés de tunes.

Il décidat de laisser passer l'affront silencieux et classa ce léger incident dans un coin de sa tête. Il avait l'air encore moins enclin à la discussion que Tas de chiffon ce type! Et oui, Su avait la mauvaise habitude de juger au premier coup d'oeil, enfin... était-ce vraiment une mauvaise habitude? Tout le monde le faisait sans jamais l'avouer, au moins lui il avait le tact de s'en rendre compte.
Il soupira pour la énième fois de la journée, il ne faisait décidement que ça depuis qu'il était rentré dans l'université.... déjà que ça l'ennuyait profondément de devoir revenir dans sa deuxième patrie au moment où ses amis avaient probablement besoin de lui il devait en prime se taper toute la jeunesse dorée profondément perturbée du coin? Franchement c'était pas un peu beaucoup là?
Il avalat son verre d'une traite, et lança un regard supérieur aux deux autres, loin de lui l'idée de vouloir leur parler ou quoique ce soit mais le fait est qu'il s'ennuyait profondément.
Ah.... l'ennui, ça vous emmène à faire des trucs complètement débiles, c'est d'ailleur ce qu'il fit quand il déclara d'un ton légèrement sarcastique mais néanmoins assez neutre pour ne pas paraitre agressif.

- Hé le duo de comiques, vous êtes du coin?

A l'instant même où il s'entendit prononcer ses mots, il s'en serait bouffer les doigts tellement c'était ...pas lui! Merde quoi! Le Japon avait définitivement la fâcheuse tendance de ramollir....c'est pas comme ça que le nom de Su finirait par être respecté. Un peu plus et il passait vraiment pour un con, ce qui ne lui était vraiment jamais arrivé soit dit en passant.
Il prit le parti d'assumer sa sortie désastreuse par un demi sourire amusé et moqueur, à quoi lui servait sa belle assurance sinon à ça vraiment?

[HS : c'est nimp'!xDDD On est douées vas-y!! *un peu d'autopersuasion*]

Content de son effet, Akio reporta son attention sur son verre et non sur son voisin devenu totalement silencieux. Peut-être avait-il un beug? Qu'importe.
Le blond décida d'ignorer totalement la face d'ahuri posé à côté d'eux. Il ne s'attardait pas sur les pauvres attardés sans aucuns intérêt. Car avec une tête pareil il ne pouvait être stupide, et encore il se trouvait sympa quand à l'usage du terme employé.
Le silence... Son ami. Enfin le petit blond cessait de jacasser et ne risquaient donc plus de sortir des phrases qui sont classés comme des "mythes" dans les pensées d'Uruha. Au bout de quelques secondes le blond avait déjà oublié l'énergumène beuglant assis au bar. Mais ce trou noir fût rapidement gâché...

- Hé le duo de comiques, vous êtes du coin?

C'est ainsi que les doutes d'Akio quand aux étudiants de cette école se confirmaient : ils étaient tous des cas sociaux, tous excepté lui évidemment.
Il leva des yeux blasés à souhait qui semblaient lui demander de quel droit un crétin comme lui se permettait le droit de converser avec sa noble personne.
Son regard changea ensuite en un regard compatissant montrant qu'il comprenait à quel point ça devait être difficile de ne pas savoir réfléchir et d'avoir autant d'argent. Après toutes ses expression Uruha se décida enfin à répondre, oui il le sait, il bien trop gentil.

-À ton avis si on est là c'est qu'on vient tout droit du Vanuatu?

Question débile, réponse débile que voulez vous, il faut bien parler son langage sinon il risquerait de ne pas comprendre un traite mot de ce qu'Akio venait de dire.

HS: Ça part en cahuèèèète xD

C'était quoi ça? Bon ok, sa sortie n'était pas d'une profondeur sans nom mais hors contexte la réponse de Mr.Décoloré était d'une connerie affligeante non?
Plutot facile mais efficace, il ne put s'empêcher de sourire largement (à défaut de rire à gorge déployée, c'était pas vraiment son genre.), montrant ainsi son accord pour le plutot logique "à question débile - réponse débile" tout en laissant filtrer une pointe de moquerie.

Peut mieux faire, tout de même. Sa question avait plutot pour but de savoir si ils connaissaient l'établissement ou étaient de simples nouveaux fortunés ejectés dans ce monde doré.
Pas que ça le dérange que le machin déguisé en face de lui le prenne pour le dernier des imbéciles, il n'avait que faire des considérations de ce genre d'énergumènes.
Ceci dit sa réponse était plutot intérréssante, il n'avait pas fait preuve d'un sens de la répartie sans borne mais pour une réponse au tac au tac à une question aussi peu dévelloppée, c'était plutot bien joué.

Su savait reconnaitre une certaine médiocrité à son vis à vis.

- C'est bon rengaines tes phrases à la con, moi non plus j'ai pas envie de faire connaissance.

Il avait dit ça sans même un regard vers l'autre qu'il devinait fulminer sur place, il rajoutat même avant qu'il n'ai le temps de répondre quoique ce soit, tout en se tournant vers lui et encrant son regard dans le sien histoire que le message passe bien.

- Et juste une chose.... arrète de me prendre pour le dernier des imbéciles et je te laisses tranquille toi et ton copain le nain. J'ai déjà croisé assez de cas spéciaux pour la journée, merci bien.

Il posat de quoi payer sa consommation sur le comptoir et s'apprétait à partir, l'endroit n'était finalement pas aussi agréable qu'il le pensait avec ce genre de type éxaspérant dans les parages.
C'était lui où cette école semblait peuplée de débiles profonds?

[HS : pauvre Su, il a aucun allié et tout le monde le prend pour un con!xD... comment ça il le cherche?xD Soit pas vache allez!xD]

Vraiment bizarre ce type. Et d'une amabilité à couper au couteau. Lui aussi avait vu assez de cas sociaux pour la journée il croyait quoi? Que môssieur faisait exception à la règle peut-être? Et lui qui a dit qu'il le prenait pour une imbécile à celui-là? Certes son regard avait clairement affiché qu'il le prenait, sur le coup, pour un demeurer profond mais vu sa question tout le monde en aurait fait autant. Il n'avait cas réfléchir avant de sortir une connerie aussi grosse.

- Et juste une chose.... arrète de me prendre pour le dernier des imbéciles et je te laisses tranquille toi et ton copain le nain. J'ai déjà croisé assez de cas spéciaux pour la journée, merci bien.

S'il continuait sur cette voie c'est sûr que l'étiquette de demeurer lui serait bel et bien attribuer.

-Soit pas susceptible. Si tu veux pas qu'on te prenne pour un con prouve le contraire. Parce que si tu veux te faire respecter, sans vouloir te juger, t'es vraiment mal barré.

Et en plus il avait l'air coléreux. Quel drôle d'énergumène celui là. Il devait sûrement être nouveau lui aussi pour faire preuve d'un savoir vivre aussi développer que celui d'une mouche.

Sentant peut-être le vent venir il se risque quand même à poser la question :

-C'est quoi ton nom?

[ HS : Fais le un peu plus aimable et je le prendrais pas pour un con xDD Mais t'as vu je l'ai pas agresser je suis gentille. (j'avoue avoir grave galéré pour répondre quand même xD ]

Son nom? Là, comme ça tout de suite il lui demandait son nom? C'était quoi cette soudaine tentative de sociabilité là?
Bon, aprés tout autant lui dire, ça ne l'avançait à rien, un nom reste un nom, rien de plus; il commençait déjà à pousser la porte du bar pour fuir cette ambiance pourrie quand il suspendit son geste, se tournant vers son soudain interlocuteur pour lui répondre d'une voix calme, les bras croisés sur son blouson montrant bien qu'il n'était pas du tout impressioné par l'air de chef de gang de l'autre truc.

- Appelle-moi Su. Inutile que je te donne mon nom complet.

Il avait finit sa phrase par un léger haussement de sourcil, montrant bien à son vis à vis que ce n'est pas parce qu'il se présentait qu'il devenait coopératif ou une autre connerie du genre. Cest juste qu'il était un minimum civilisé, aussi bizarre que cela puisse paraitre, même avec les abrutis qui pensaient tout savoir..... il faut savoir faire des sacrifice dans la vie.
Il n'avait néanmoins pas prit la peine de formuler la question-retour attendue dans ce genre de situation... la blondasse devait bien comprendre qu'à présentation formelle répondait une présentation non?
Quoiqu'il en soit c'était la deuxième fois de la journée qu'il donnait son nom, et de manière incomplète.... de toute façon c'était inutile de préciser, il avait toujours trouvé que toutes ces formalités liées aux noms étaient complètement ridicules et inutiles.
Particulièrement dans ce genre de situation improbable. Non mais franchement, ils faisaient un concours d'élevage de crétins au mêtre carré dans cette putain de baraque?

Su savait bien que c'était le stres et la fatigue psychologique liée au voyage qui lui faisaient penser ce genre de chose mais il ne pouvait s'en empêcher, on reste un petit gosse de riche prétentieux à vie parait-il... tant mieux, ça l'arrnageait, il se voyait trés mal en malheureux larmoyant. Quelle horreur.
Il pensait vraiment à n'importe quoi quand même.

Sans se l'avouer il était quand même curieux de savoir à qui il avait à faire.... autant son colocataire l'avait étonné par sa bizarrerie autant celui là l'agaçait par son ....mimétisme. Bien ennuyé de devoir l'admettre ce type avait le typique comportement qu'il aurait pu avoir dans les mêmes circonstances... les fringues hideuses et la décoloration en moins bien entendu.

[HS: ouais mais bon ça le fait vraiment pas si il est trop sympa, j'imagine même pas quoi!xDD Note le mini-effort, il peut le faire ça va venir!xD]

Oui totalement inutile en effet. Il devait venir de Corée celui là vu la dégaine qu'il abordait là. Il ne fallait pas avoir peur du ridicule, il avait au moins ça en sa faveur. Uruha le scruta des pieds à la tête en fronçant les sourcils, ils avaient vraiment des goûts étranges vers chez lui. En admettant qu'il soit habitué à ce genre de fringue tout à fait space, il devait trouver les siens très horrible, ou très beau qui sait?
Le blond soupira, il n'allait pas faire le mal poli, c'était la moindre des choses que de dire son nom, enfin puisque "Su" n'avait pas dit le sien en entier il allait faire de même. Histoire de parler un peu son dialecte.

-Uruha.

Il ne lui adressa même pas un regard et tendit son verre à la serveuse en face de lui pour qu'elle le resserve. Il sentait déjà qu'il allait devoir passer souvent ici pour oublier la catastrophe qu'était cette université. Qui étais le bouffon qui avait eu l'idée de créé une université pour gosse de riche? Tellement bourrés de frics tout le monde doit avoir un QI qui égale à un à tous les coups. Une fois servit il releva les yeux vers Su qui avait l'air presser de sortir de ce trou, puis tourna le regard vers Akihito qui demeurait muet. Serait-il impressionner par l'énergumène? Il avait un certain charme malgré son look, il fallait le reconnaitre. Enfin le reconnaitre mais pas trop quand même, il se contenterai de le penser.
Akio soupira longuement quelle longue soirée en perspective. Il sortit une cigarette d'un air totalement blase (puisqu'il l'était) et commença à fumer en regardant Su qui était toujours sur le pas de la porte en train de les regarder

-Bon tu rentres ou tu sors? On va pas te bouffer.

C'était quoi cette réplique débile totalement bateau? LE blond leva les yeux au ciel et remis sa cigarette entre ses lèvres. Cela faisait une journée qu'il fréquentait ce bordel remplis de fils à papa et il devenait déjà totalement barge. Bravo.

[ Déjà qu'il a l'air d'un débile en étant aimable comme une porte de prison alors avec un bon caractère il aurait très certainement l'air du parfait bouffon xD ]

Uruha? c'est quoi ça Uruha? ah oui d'accord, le nom, ça ne lui allait pas vraiment, enfin soit, les présentations d'usage étaient faites.
Le personnage en lui l'intriguait, est-ce que ce type était juste un prétentieux lambda, un petite frappe qui passait son temps à impressioner les gens avec son copain le nain ou bien un renfermé de base qui avait vu en Su une manière de faire ses preuves?
Hmm, quoiqu'il en soit il s'en tappait bien, ça ou autre chose il n'allait pas faloir le chercher longtemps.

Bon, puisque toutes ces bonnes choses avaient été dites il pouvait y aller maintenant, c'est pas qu'il avait l'air con planté devant la porte du bar mais presque. Et Su' n'est jamais con, du moins pas en public. Il n'eut pas le temps d'esquisser un geste que déjà son vis à vis en remettait une couche.

-Bon tu rentres ou tu sors? On va pas te bouffer.

Su' ne put empêcher un sourire moqueur se dessiner sur son visage et rajoutat d'une voix quasi inaudible mais qui se distinguait clairement dans le calme de l'endroit conffiné :

-Chacun son tour hein?

Il avait dit ça plus pour lui qu'autre chose, alors comme ça on sortait aussi des phrases débiles maintenant... non pas que la blonda.... euh... Uruha semblait destabilisé mais on avait tous nos petits moments de solitudes! Qu'oiqu'il en soit, il se promit de faire désormais attention à ce qu'il dirait en la presence d'Uruha, ce n'est pas lui qui sortirait une connerie en premier! ça non!
Il venait de se lancer un défi interne, comme souvent, et là il avait juste envie de destabiliser le décoloré, de le pousser à bout.
C'était mal? il cherchait la merde? tss tss, votre notion du bien et du mal, ça lui passait bien au dessus de la tête, tout ceci lui avait toujours parut trés abstrait et complètement réducteur comme vision des choses de toute façon.
C'est donc pour cela qu'il lançat un regard de defi à...comment c'était déjà? ah oui, Uruha.
Bon, aprés réflexion il n'était pas vraiment en état de se lancer dans une bataille mentale ou quoique ce soit d'autre mais c'était parfois plus fort que lui. Il faut savoir assumer ses bassesses pafois non?

- Et bien Uruha, ce fut un plaisir . A une prochaine fois peut être mais cette fois j'me casse... l'ambiance est un peu trop ... 'Hakujoo' par ici. Merci de la discussion.

Y'avait-il vraiment un coin où on pouvait être tranquille dans cette putain de baraque? Avec un soupir et un dernier regard condescendant et Ô combien moqueur vers le dénommé Uruha, il passa la porte du bar ne sachant pas trop où le ménerait ses pas. Il avait juste besoin de bouger, et d'explorer en détail son nouvel environnement.
Avec de tels cas dans cet établissement ce serait un avantage de connaitre les différents endroits du champ de bataille. En tout cas, il venait de se trouver un premier "ennemi", et venant de Su' c'était loin d'être une mauvaise chose. Il consentait à défier les gens qu'il estimait capables de comprendre ses provocations muettes.
Donc dans ce cas, soit le dénommé Uruha comprenait et s'engageait alors un bataille sourde et follement amusante pour qui veut passer le temps dans ce genre d'endroit, soit il se mettait à gesticuler et à s'offusquer de cette attention.

Là commençait la selection

[>> Chambre 2]

[HS : purée de purée!! Je suis désolée j'ai jamais fait un post' aussi naze mais j'men sortais plus! Désolée, ça ressemble à rien mais c'est venu comme ça!xD....bref. :/]