Je t'aime et toi ? [pv; Akioninounet d'amoureuh 8D ]

Invité

- T’attend que la flotte te tombe dessus ou quoi ?

- Je sais des choses…que j’aurais préféré entendre de ta bouche…Plutôt que de cet abruti.

Il était revenu... Une fois de plus. D'après ce qu'il avait dit il avait eut « le plaisir » de croiser son cher et tendre. Vu l'état de son visage Takeo s'en était donné à coeur joie, mais il n'avait pas abandonné : Uruha avait dégusté. Il n'avait pas la force de son ex-amant et lui tout ce qu'il pouvait faire s'était subir. Il avait donc subit, en silence. Se disant une fois de plus, que ce n'était qu'un mauvais moment à passer. Cet homme était plein de haine et, apparemment, sa victime favorite était le guitariste. Il est vrai que violé un mannequin, c'est classe ça donne l'impression d'être un grand homme.
C'est ainsi qu'Uruha se retrouva à errer dans cette ruelle. Ruelle qu'il avait beaucoup côtoyé lorsque Kiyoshi était encore en vie. Il venait là à chaque fois que cette pourriture avait osé abusé de lui. C'était un peu son coins, en quelque sorte.
Quelques gouttes de pluies s'échouaient sur son visage, mais il resta là, assis dans l'ombre à réfléchir à sa vie. À tout ce qu'il avait vécu et donc à tout ce qu'il avait perdu. Ses yeux étaient humide. Le temps d'un viole il était redevenue le Akio qu'il était avant, celui qui n'osait pas se défendre. L'innocent. Il avait perdu la plupart de ses qualités avec sa fierté.
Il ne savait depuis combien de temps il était assis là, portant encore les vêtements et le maquillage de son dernier photoshoot, cela faisait bien deux heures, trois peut-être..Il s'en fichait.
Des pas se rapprochèrent et il n'esquissa même pas un mouvement pour voir qui était l'inconnu. Ça aussi il s'en fichait royalement. Tout l'indifférait.

- T’attend que la flotte te tombe dessus ou quoi ?

Alors ça, c'était une surprise. Que faisait-il, aussi tard, dans cette ruelle à une bonne demi-heure de son appartement? Uruha leva ses yeux embrumés par les larmes qui voulaient s'échapper vers lui.

- Je sais des choses…que j’aurais préféré entendre de ta bouche…Plutôt que de cet abruti.
Le mannequin inspira profondément avant de répondre.

-Je sais... Il est revenu ce matin, il en a profité pour m'en avertir. Je n'ai pas de quoi être fière de tout ça, pourquoi je t'en aurait parlé? Tu aurais eu quoi? Pitié? Ou alors tu aurais été dégoûté. Et je ne voulais pas de ça.

Invité

Le voir dans cet état faisait mal au cœur au bassiste, puis ce qu’il dit le mis dans une colère folle. Akio ne comprenait donc pas ? Cet abrutie en savais plus sur son ex que lui. Il aurait voulu l’aidé, le réconforté, le prendre dans ses bras mais sa fierté l’en empêcher. Il n’était plus le garçon arrogant et provocateur, il ressemblait plus à un chiot sans défense… Mais il reste clouer au mur, silencieux regardant le vide, incapable de soutenir le regard rougis de son ex.

Il savait que le guitariste était une victime…mais il avait aussi été le méchant. Il avait profondément brisé Reita. Mourrant d’envie de lui dire que ce n’était rien, il crispa ses doigts contre le mur et ferma les yeux. Le pluie se fit plus forte mais il ne bougeait toujours pas. Takeo voulait lui pardonnait mais se dire qu’alors qu’ils sortaient ensemble il se prostituait toujours, qu’il l’avait même tromper sans que se soit forcement de la prostitution… Il n’y arrivait pas, il avait eu tellement mal !

Takeo soupira et leva les yeux au ciel. Les gouttes d’eau s’acharnèrent sur son visage, tordu de tristesse et de colère. Il baissa les yeux, regardant son ex. Il avait l’air abattus. Il était en mauvais état. Il aperçue sur son visage, des traces de maquillages qui avait couler. Il se d »décida à reprendre la parole.

- Au final, il t’as encore fais du mal, j’ai pas tenue ma promesse.

Reita se souvenait parfaitement avoir dit à Akio qu’il ne laisserait personne lui faire du mal. Mais par ses mots il l’avait blesser, rien que l’expression de son visage ce soir la le montrer, et puis, cet homme l’avait encore violé. Il aurait du le mettre dans un tel état que son seul but fut l’hôpital. Mais il avait préféré ne pas être trop liard ne pas le battre à mort non plus.

A nouveau prit dans ses pensées, il songea au mail. Ça l’avait toucher sur le coup, mais il avait peur de lui faire à nouveau confiance. Il se laissa glisser le long du mur, à côté du blond. Il voulait lui demander mais les mots ne semblaient pas vouloir franchir la barrière de ses lèvres. Avec un effort, et dans un demi murmure il lui demanda.

- Akio…le mail, étais-tu…sincère ?

Un silence qui parut durée une éternité pour le guitariste s'installa dans la ruelle. Reita semblait réfléchir et Akio n'avait rien à dire. Pourquoi le bassiste aurait voulu savoir quoi que ce soit sur son passé? Et que lui aurait-il répondu? Qu'il sortait avec un dealer? Qu'il était décédé? Qu'il avait été obligé de prostitué car son amant était malade et que ses parents l'avaient rejeté en apprenant qu'il sortait avec un autre homme? Le mannequin ne voyait pas en quoi ça l'aurai avancé de le savoir à par se rendre compte qu'il n'avait pas toujours été cet être arrogant.

- Au final, il t’as encore fais du mal, j’ai pas tenue ma promesse.
Un rire amer passa les lèvres du mannequin. Il avait envie de dire « et alors? » après tout ce n'était pas la première fois.

-De toute façon on n'est plus ensemble toi et moi. Ne te sens pas obligé de me défendre à chaque fois qu'il m'arrive une tuile.

Petit coup d'oeil puis il dévia tout en épongeant ses joues avec une de ses manches : son maquille avait à peine coulé. Ce n'était pas comme s'il hurlait de chagrin, juste quelques traîtres de larmes avaient voulu rouler sur ses joues.
Nouveau silence, puis Reita se laissa glisser contre le mur tout à côté du mannequin. Au bout de ce qui parut être une hésitation il lui demanda s'il avait été sincère dans son mail. Uruha tourna les yeux et le regarda longuement.

-Tu sais bien que oui sinon je n'aurais pas prit la peine de te l'envoyer.

Après hésitation à son tour il se lança :

-Et c'était bien avec cette fille?

Invité

- Et c'était bien avec cette fille?

- Et toi avec ce brun ?

- Je n’ai absolument rien fait à par parler avec elle.

Uruha attendit, son ex amant avait l'air de réfléchir à ce que le mannequin venait de dire. Mais en un sens, Akio ne souhaitait pas qu'il réfléchisse trop : il pouvait dire ce qu'il voulait ça lui plaisait que le bassiste s'inquiète de s'il souffre ou non, en un sens ça prouvait qu'il tenait toujours à lui, et qu'il se faisait du soucis pour son sort.. À Hakujoo, il avait toujours eu cette drôle de liaison avec Takeo; dès les premiers jours. Le fait qu'ils coupent les ponts lui faisait bizarre et il passait de moins en moins de temps dans ce qu'il qualifiait de son enfer personnel. Malgré tout, il y allait. Pour ses jeux puérils et vides de sens comme celui qui s'était passé dans la salle commune il y a quelques jours. Non pas qu'il aime que le bassiste se fasse draguer par n'importe quelle pimbêche mais surtout parce qu'il avait vu ce regard méchant qu'il avait lorsqu'il était jaloux d'un autre qui avait la pleine attention du mannequin. C'était un fait, désormais Uruha avait besoin de l'attention de Reita pour se sentir un minimum de bonne humeur.
À sa question, la tête de son ex avait subitement tournée dans sa direction, intérieurement le guitariste sourit : il avait franchement bien touché où il fallait pour avoir l'attention complète de son vis-à-vis

- Et toi avec ce brun ?

Mais la joie ne fut que de courte durée. Quel sens impressionnant de la repartie! Malgré tout, Uruha eut la drôle impression qu'il était sur ses gardes. Tant pis, il avait retourné la question ce qui signifiait que, mine de rien, il était intéressé par ce qui s'était passé. Sans doute pour savoir sur qui il devait reporté la violence qu'il avait en trop. Au final, c'était assez amusant tout ça. Mais, le mannequin ne prit, évidemment, pas le peine de répondre pour deux raisons; premièrement : s'il lui donnait ce qu'il voulait l'attention du bassiste risquerait de dévier sur autre chose de moins plaisant, deuxièmement la vérité lui ferai certainement du mal, inutile. Il lui en avait bien assez fait comme ça.

- Je n’ai absolument rien fait à par parler avec elle.

Oh. Ça c'était une bonne nouvelle? Peut-être même LA bonne nouvelle de la journée.
Regardant son ex du coins de l'oeil, il vit que celui-ci regardait la plaque en verre qui les protégeait de la pluie. Quelle idée avait-il eut de rester avec le mannequin? Il n'habitait pas ici. Uruha regarda le ciel noir couverts de nuages menaçant :

-Tu devrais rentrer... Ton appart' est assez loin d'ici.

Même si, en un sens, il n'avait pas vraiment envie qu'il parte et qu'ils continuent de s'ignorer comme s'ils n'avaient jamais rien vécus tous les deux.

Invité

- T’as pas tord, je vais y aller.

- J’ai beau t détester et avoir envie de rentrer, j’peux pas te laisser seul ici avec cette averse.

Une fois n'est pas coutume, ce fut un blanc qui vint répondre à la phrase du guitariste. C'était juste un effet ou son ex donnait l'impression de réfléchir minutieusement à chaque paroles qu'il prononçait? Comme s'il s'agissait d'une quelconque technique destinée à le manipuler... Ridicule.
Restant sage, Uruha le fixait intensément, mais il n'avait pas l'air vraiment décider à répondre assez vite. Ce n'était pas qu'il voulait qu'il parte, c'est surtout qu'il avait envie de lui sauter dessus. Et il savait pertinemment qu'un tel écart de conduite le ferai se terrer dans un hôtel pendant un bon mois.

- T’as pas tord, je vais y aller.

Sage décision. Pour lui. Si le mannequin voulait attraper la mort en restant dehors en tenue de photoshoot c'était son problème, mais il ne voulait pas que Takeo risque la même. Et puis, la maison familiale du guitariste n'était qu'à quelques mètres de cette ruelle perdue. Au pire il passerait la nuit assis par terre à réfléchir. Rien de tel que le grand air pour ressasser les souvenirs horribles de la journée, n'est-ce pas?
Sortant de ses songes il leva les yeux et constata que le bassiste était toujours debout à le regarder, mais n'avait pas bouger d'un pouce. Il comptait prendre racine?

- J’ai beau te détester et avoir envie de rentrer, j’peux pas te laisser seul ici avec cette averse.

Ah, parce que maintenant il le détestait? Uruha essaya de contrôler ses yeux qui avaient la furieuse envie de se baisser suite aux paroles blessantes de son ex-amant. Certes il s'en doutait, mais les entendre en live faisait mille fois plus mal. Tout comme ses paroles qu'il avait prononcé le soir où il l'avait laissé tombé..
Le bagarreur était à moitié au sec et à moitié sous la pluie, le mannequin le dévora es yeux : vu sous cet angle il avait l'air de faire une pub pour le gel coiffant. Secouant brièvement se tête de gauche à droite pour chasser cette pensée idiote de sa tête.

-Pourquoi? Au pire qu'est-ce qu'il peut m'arriver? Que je tombe sur un psychopathe et qu'il m'assassine violemment? Ça devrait plutôt te réjouir.

Invité

- Pourquoi? Au pire qu'est-ce qu'il peut m'arriver? Que je tombe sur un psychopathe et qu'il m'assassine violemment? Ça devrait plutôt te réjouir.

- Tu comprend vraiment rien … Tu crois vraiment que je veux ta mort ? Que tu souffre ? Dans tous les cas, si c’est ça que tu crois, tu trompe gravement, Akio !

Le fixant toujours, Uruha se mordit la lèvre en voyant son ex amant lui tourner le dos et l'entendre, par la suite, expirer bruyamment. C'était sur : il avait du l'énerver, pourtant il n'y avait pas de quoi. Au fond de lui c'était certainement ce qu'il pensait; lui aussi éprouverait ce genre de rancoeur pour l'homme qui l'a trompé, c'était tout ce qu'il y avait de plus humain. Mais si on se fiait à son comportement Takeo n'avait pas vraiment envie de s'entendre dire qu'il était humain.
Puis, lentement, il se retourna vers lui, Akio le regarda avec un air très neutre, à la limite du « faudrait que tu te calmes là...»

- Tu comprend vraiment rien … Tu crois vraiment que je veux ta mort ? Que tu souffre ? Dans tous les cas, si c’est ça que tu crois, tu trompe gravement, Akio !

Le mannequin haussa les sourcils : mais il avait quoi dans la tête? Il ne l'avait pas insulté à ce qu'il sache. Il se leva donc à son tour, cédant à la colère contre lui même qu'il avait accumulé depuis leur rupture.

-Mais enfin alors qu'est-ce que tu ressent?! Tu devrais vouloir ma mort après ce que je t'ai fait pas me vouloir en vie, j'te comprend pas!

Il le vrilla du regard, incompréhensif avant de se retourner et se blottir contre le mur pour retrouver son calme mais aussi pour s'empêcher de lui sauter dessus, la colère camouflée le rendait très sexy aux yeux du mannequin. Mais il commençait vraiment à péter une durits à ne pas comprendre la gentillesse dont il faisait preuve à son égard.

Invité

- Mais enfin alors qu'est-ce que tu ressent?! Tu devrais vouloir ma mort après ce que je t'ai fait pas me vouloir en vie, j'te comprend pas!

- Mais putain Akio !! Quel demeuré voudrait la mort de la personne qu’il aime ?

- Je crois que je veux y aller.

Restant blottis, face contre mur, le guitariste priait pour ne pas avoir mis son ex-amant en rogne. Il ne l'avait jamais vraiment vu s'acharner sur quelqu'un - à part une fois, et pouvons nous vraiment appeler ça acharner? - mais il n'avait aucunement envie de le voir à l'oeuvre. Et surtout pas sur lui même. Quelle idée stupide que de lui avoir crié dessus, alors qu'il savait pertinemment que s'il le frappait il ne tiendrais pas très longtemps. Le mannequin était plutôt doué pour faire mal part les sentiments, donc verbalement, pas avec ses poings. Il avait toujours détesté ça, la violence gratuite, pour l'avoir vécu à une époque juste avant sa rencontre avec Kiyoshi.. En un sens c'était grâce à la violence qu'il avait reçu qu'il avait fait sa connaissance.
Bien vite, le mannequin se sentit attrapé par le col d'une façon peu violente mais qui le surprit quand même. Il mit quelques instants à recouvrer ses esprit et à réaliser la proximité qu'il y avait entre lui et Reita. N'osant plus bouger, il se contenta de fixer intensément le bassiste, la respiration devenue haletante à cause de la peur qu'il avait que ce poing, violemment posé à côté de sa tête, ne finisse par s'aplatir sur son visage. Mais haletante également à cause de cette proximité presque intime qu'avait mit son ex-amant entre eux.

- Mais putain Akio !! Quel demeuré voudrait la mort de la personne qu’il aime ?

Un demeuré nommé tout le monde sans doute. Pour Uruha il y avait des situations où l'amour ne suffisait plus. Et puis la haine aurait put être totalement plausible : la haine est une passion. C'est pourquoi il aurait très bien put le réduire en charpie pour l'avoir trompé, le meurtre n'est-il pas l'ultime crime passionnel après tout?
En une fraction de seconde, Takeo se retrouva à un peu plus d'un mètre du mannequin, comme s'ils n'avaient jamais été à cette distance réduite. Comme s'il ne lui avait jamais dit - de façon presque détournée - qu'il l'aimait toujours malgré ce qu'il lui avait fait subir.
Longtemps, le guitariste resta là, à vriller son vis-à-vis de ses prunelles dorées noyées d'incompréhension. Il respirait pas la bouche et ne pouvait détacher ses yeux du visage trempé du musicien.

- Je crois que je veux y aller.

Tétanisé, Uruha n'esquissa pas le moindre mouvement, se contentant de le fixer. Au moment où les paroles de son ex firent tilt il se dit qu'il devait réagir. Reita, lui, était déjà à quelques mètre de l'endroit où il s'était trouvé il y a quelques secondes à peine auparavant.
Prenant son courage à deux mains, le mannequin se rua derrière le bassiste et une fois juste derrière lui, sans prononcer le moindre mot, il l'attrapa par le bras et le retourna violemment - violence rendue possible face à la rage et à l'envie qui avait pris possession de sa tête à cet instant. Sans laisser au bassiste le loisir de dire ou de faire quoi que ce soit, le mannequin l'attrapa à son tour par le col et l'embrassa violemment, avant de le plaquer contre le mur d'en face - chose qui fut possible sûrement grâce à la stupéfaction de son vis-à-vis. Il l'embrassait comme si sa propre vie en dépendait, et quand il y réfléchissait, il se dit que c'était sûrement la scène la plus torride qu'il s'était passé entre eux jusque là.

Invité

- Écoute Akio, je serais près…à tout recommencer…mais…

- Si c’est pour que se qui c’est passer se reproduise…jamais.

Uruha gémit de plaisir en sentant les mains de son ex se poser ses hanches. C'était sans doute involontaire de sa part mais c'était là tout de même. Il se serait écouter, le mannequin aurait tout abandonné pour continuer d'embrasser Reita comme ça. Mais il savait bien que leur histoire était atrocement compliquée et que tout ne pouvais pas se régler avec un simple baiser, aussi agréable fût il.
D'ailleurs, le bassiste semblait penser la même chose puisque, trop rapidement pour Akio, il le repoussa sans aucune difficulté. Le guitariste haletait et le regardait avec des yeux gourmand, la colère lui donnait vraiment envie de ne plus lâcher le bagarreur. Seulement il y a des fois où il ne faut pas se comporter comme un animal.

- Écoute Akio, je serais près…à tout recommencer…mais…

Évidemment, il y avait un "mais". Il y avait toujours un "mais" dans ce type de phrase ça ne se finissait jamais en "je serais près à tout recommencer."; ce serait trop beau et surtout trop simple. Or, la vie n'est jamais simple, le mannequin le savait pertinemment.

- Si c’est pour que se qui c’est passer se reproduise…jamais.

En gros il voulait bien reprendre leur histoire mais à la condition qu'il cesse la prostitution et donc l'adultère?
Uruha n'avait pas vraiment envie de réfléchir, même s'il savait aussi qu'il avait vraiment envie de reprendre sa relation avec Reita, malgré tout ils formaient un beau couple, tout le monde le disait.

-Tais toi, tu gaches tout!

Une fois de plus, sans prévenir, il se colla contre lui et l'embrassa à pleine bouche.
Avant de les lâcher lorsque le manque d'air se fit sentir et d'allé murmurer un « je t'aime... » au creux de son oreille.

Invité

Akio ne semblait d’avis à réfléchir ou même à répondre à son ex amant ( voir futur =D ). Pourtant il aurait eu envie de savoir ce qu’il pensait. Il eut droit à l’ordre de se taire. Quelque chose de mieux: il eut droit au corps du guitariste contre le sien et à un langoureux baiser. Reita y prit part en posant sa main derrière la nuque du guitariste. Il ne les aurait jamais lâcher si le manque d’air n’avait pas été la. Les mots qu’il entendit au creux de son oreilles lui firent écarquiller les yeux. C’était la première fois qu’Akio lui disait vraiment. Puis il ferma les yeux et sourit. Il colla sa bouche à l’oreille du guitariste pour y déposer un baiser et murmura à son tour un « moi aussi …». Il le garda un moment serré contre lui, une main contre sa nuque l’autre sur son dos, respirant son parfum avec adoration.

Finalement il se détacha un peu de lui, faisant glissé ses mains sur ses hanches et collant son front au sien. Il souriait, peut-être bêtement mais, il était si heureux de retrouver son amant, qu’il en avait oublier toute la peine subit auparavant. Il caressait les hanches de son amant du bout des doigts tout en le fixant intensément ne faisant même pas attention au fit qu’il étaient trempés par la pluie.

- Sa te dirais qu’on aille se mettre à l’abris chez moi, on va choper la crève, si c’est pas déjà fait.

Il rigola doucement et attrapa la main de son amant. En fait il ne lui laissait pas le choix, son appart était à bien 20 minutes une demis heure d’ici, en trottant un peu ils ne devraient pas mettre plus de 20 minutes. Au moins ils pourraient se changer, voir prendre une douche. Donc, Reita le prit par la main et le fit traversait la rue, il marchait d’un pas rapidement, passant de temps en temps sa mains dans ses cheveux trempe. Alors que la pluie battait plus fort il se stoppa un moment sous un porche en attirants Akio contre lui.

- Mon appart va être dans un état lamentable, en plus je crois que j’ai laisser la fenêtre de la cuisine ouverte --’

Reita soupira. Il faisait si beau lorsqu’il était partit, il ne se doutait pas qu’une telle averse allait s’ab sur la ville dans la nuit. Il plaqua sa main contre son front espérant que les dégâts ne seraient que minimal. Oh et puis il y avait le chat. C’te boule de poil que lui avait remmenait sa sœur quelques jours plutôt. Elle lui avait fait un discours sur la solitude, et que vivre seul dans un appart c’était triste. Elle lui avait donc remmenait une petite boule de poil rousse qui squoité son lit la nuit, son balcon les jours de beau temps. Il allait être traumatisé si la flotte entrait dans la cuisine. Il reprit son chemin, tenant la main d’Akio arrivant en fin devant l’immeuble ou se situer son appart, ils se mirent vite à l’abris à l’intérieur, heureux d’enfin y être.

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